Pourquoi François n'a pas parlé de Hong Kong

Le ministre chinois des affaires étrangères Zhao Lijian a nié les allégations selon lesquelles Pékin aurait "fait pression" sur François pour qu'il ne parle pas de Hong Kong lors de son discours à l'Angélus dimanche dernier.

Zhao a déclaré le 9 juillet que "la Chine continuera à s'engager dans des dialogues constructifs avec le Vatican" [aux dépens des catholiques].

Dimanche, le bureau de presse du Saint-Siège a distribué au préalable une copie sous embargo des propos de François, y compris un paragraphe de 150 mots traitant de Hong Kong que François a omis.

Edward Pentin pense que la raison en est que François est imprévisible et agit sur l'impulsion du moment en se basant sur ses sentiments personnels : "Ce qui s'est passé dimanche pourrait bien n'être que le dernier exemple en date".

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