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VOLUME 4 du Livre du Ciel sur la Volonté de Dieu - la neuvième et dernière partie de CE VOLUME, qui a été écrit au cours de l'année 1900. Le prochain VOLUME 8 datera de l'année 1907. Nous avancerons …Plus
VOLUME 4 du Livre du Ciel sur la Volonté de Dieu - la neuvième et dernière partie de CE VOLUME, qui a été écrit au cours de l'année 1900. Le prochain VOLUME 8 datera de l'année 1907. Nous avancerons donc de SEPT ANS dans le TEMPS. Luiza avait 35 ans au tome 4. La prochaine fois, elle aura 42 ans, c'est-à-dire qu'elle aura passé la moitié de sa vie terrestre. IL RESTERA SUR TERRE PENDANT 40 ANS DE PLUS. J'ai écrit ces messages pour nous faire réaliser l'ACCOMPAGNEMENT DU SEIGNEUR JÉSUS dans la vie spirituelle de Luisa Piccarreta et pour CROIRE QUE LE SEIGNEUR JÉSUS FAIT LA MÊME DANS LA VIE DE NOUS INDIVIDUELLEMENT, TOUT COMME DANS SA VIE CATHOLIQUE ET SACRAMENTELLE. , même si nous n’avons pas de TELLES expériences mystiques. Cela ne veut pas dire que nous devons lui envier de telles expériences, car NOUS VOYONS dans nos âmes combien ÇA LUI LUI COÛT et soyons reconnaissants envers ELLE D'avoir PERSÉVÉRÉ SON APPEL AUQUEL ELLE A ÉTÉ APPELÉE, et remercions le Seigneur Jésus de NOUS VOULOIR. à travers ELLE, le ministère d'ÉCRITURE laisse le Livre du Ciel sur la Volonté de Dieu POUR NOTRE BIEN. *Litanie au Saint-Esprit* Kyrie eleison, Christe eleison, Kyrie eleison. Christ écoute-nous, Christ écoute-nous. Dieu, notre Père céleste, aie pitié de nous. Fils, Rédempteur du monde, Dieu, aie pitié de nous. Saint-Esprit de Dieu, aie pitié de nous. Sainte Trinité, Dieu Unique, ayez pitié de nous. Saint-Esprit, Troisième Personne de la Sainte Trinité, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui vient du Père et du Fils, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui planiez sur les eaux au début de la création du monde, ayez pitié de nous. Saint-Esprit, qui, sous la forme d'une colombe, est apparu sur le Christ dans les eaux du Jourdain, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui êtes descendu sur les Apôtres sous forme de langues de feu, ayez pitié de nous. Saint-Esprit, qui avez rempli de zèle le cœur des disciples du Seigneur, ayez pitié de nous. Saint-Esprit, qui nous faites renaître dans l’eau du Saint Baptême, ayez pitié de nous. Esprit Saint, qui nous a fortifiés dans le sacrement de Confirmation, aie pitié de nous. Saint-Esprit, par qui Dieu fait de nous ses enfants, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui déverse l’amour divin dans nos cœurs, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui nous enseigne la vraie piété, aie pitié de nous. Saint-Esprit, source de joie, aie pitié de nous. Saint-Esprit, gardien de nos consciences, aie pitié de nous. Esprit Saint, présent en nous par Ta grâce, aie pitié de nous. Saint-Esprit, donneur de sagesse et de compréhension, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui donne conseil et force, aie pitié de nous. Saint-Esprit, dispensateur de connaissance et de piété, aie pitié de nous. Saint-Esprit, qui donne la crainte de Dieu, aie pitié de nous. Saint-Esprit, donneur de foi, d’espérance et d’amour, aie pitié de nous. Saint-Esprit, inspiration de la repentance et de la douleur des élus, aie pitié de nous. Sois miséricordieux envers nous, pardonne-nous, Saint-Esprit. Aie pitié de nous, écoute-nous, Esprit Saint. Sois miséricordieux envers nous,délivre-nous, Saint-Esprit. Du doute sur l’action salvatrice de la grâce, délivre-nous, Esprit Saint. De la rébellion contre la vérité chrétienne, délivre-nous, Esprit Saint. Du manque de cœur envers notre prochain, délivre-nous, Esprit Saint. De la dureté des péchés, délivre-nous, Saint-Esprit. De la négligence de la repentance, délivre-nous, Saint-Esprit. De toutes choses et pensées mauvaises et impures, délivre-nous, Saint-Esprit. De la mort subite et inattendue, délivre-nous, Esprit Saint. De la damnation éternelle, délivre-nous, Esprit Saint. Nous pécheurs, nous T'en supplions, écoute-nous, Esprit Saint, pour que Tu gouvernes Ta Sainte Église et la préserve, écoute-nous, Esprit Saint, pour que Tu nous confirmes dans la foi catholique, écoute-nous, Esprit Saint, pour que Tu accordes nous la persévérance et le courage, écoute-nous, Esprit Saint, pour que tu nous accordes notre esprit daigné nous inspirer le désir d'avoir le ciel, écoute-nous, Esprit Saint, pour que tu daignes te préparer une demeure digne en nous. , écoute-nous, Esprit Saint, pour que tu daignes nous réconforter dans nos souffrances, écoute-nous, Esprit Saint, pour que tu nous confirmes dans ta grâce, écoute-nous, Esprit Saint, pour que tu daignes nous fortifier, daigne conduire tous au salut, écoute-nous, Esprit Saint, Agneau de Dieu, qui enlève les péchés du monde, pardonne-nous, Seigneur. Agneau de Dieu, qui ôtez les péchés du monde, écoute-nous, Seigneur. Agneau de Dieu, qui ôtez les péchés du monde, ayez pitié de nous. . *Prions :* Saint-Esprit, qui as rassemblé toutes les nations dans l'unité de la foi, viens remplir le cœur de Tes serviteurs de Ta grâce, allume en nous le feu de Ton amour et protège-nous de tout mal. *Amen.*
vobiscum
Le Seigneur a prêté serment et ne reviendra pas en arrière : Tu es prêtre pour toujours selon l'ordre de Melchisédek .
La Lettre aux Hébreux définit précisément le prêtre, en disant qu'il est pris parmi les hommes, désigné pour les hommes dans les affaires qui concernent Dieu, pour offrir des offrandes et des sacrifices pour les péchés ( Hébreux 5 : 1). Le prêtre, en tant qu'intermédiaire …Plus
Le Seigneur a prêté serment et ne reviendra pas en arrière : Tu es prêtre pour toujours selon l'ordre de Melchisédek .
La Lettre aux Hébreux définit précisément le prêtre, en disant qu'il est pris parmi les hommes, désigné pour les hommes dans les affaires qui concernent Dieu, pour offrir des offrandes et des sacrifices pour les péchés ( Hébreux 5 : 1). Le prêtre, en tant qu'intermédiaire entre Dieu et les hommes, est donc étroitement lié au Sacrifice, car il s'agit de l'acte principal d'adoration par lequel la création exprime l'adoration du Créateur.
Dans l’Ancien Testament, des sacrifices étaient offerts à Dieu en guise d’expression d’appréciation pour son règne et de gratitude pour les dons reçus. Ils impliquaient l'incinération totale ou partielle des cadeaux sacrificiels sur l'autel. Ils étaient un symbole et une image du véritable sacrifice que le Christ a offert au Calvaire avec l’arrivée de la plénitude des temps. Institué pour toujours comme Souverain Sacrificateur, Jésus s'est offert comme un sacrifice agréable à Dieu, d'une valeur infinie : il est devenu lui-même le Prêtre, l'Autel et l'Agneau sacrificiel [2] . « L'homme doit honorer le Créateur avec gratitude et adoration pour tout ce qu'il a reçu de Lui. L'homme ne peut pas perdre le sens de cette dette que lui seul, parmi les êtres terrestres, peut reconnaître et rembourser en tant que créature faite à l'image et à la ressemblance de Dieu. En même temps, compte tenu de sa nature limitée de créature et du fait qu'il est marqué par le péché, l'homme ne serait pas capable de cet acte de justice envers le Créateur si le Christ lui-même, le Fils consubstantiel au Père et un vrai Homme, n'avait pas pris cette initiative eucharistique . Au Calvaire, Jésus, le Souverain Sacrificateur, a offert à Dieu le sacrifice le plus agréable de louange et d’action de grâce. Le sacrifice du Christ était si parfait qu'aucun sacrifice plus élevé est impensable [4] . C'était aussi un sacrifice d'expiation et de réparation pour nos péchés. Une goutte du Sang du Christ suffirait à expier les péchés de l’humanité tout au long de l’histoire. La demande du Christ sur la Croix pour ses frères humains a été entendue par le Père avec le plus grand plaisir et reste maintenant la même au ciel, car le Christ vit encore pour intercéder pour eux ( Hébreux 7 :25) . Jésus-Christ est véritablement prêtre, mais prêtre pour nous, et non pour lui-même, offrant ses désirs et ses sentiments religieux au Père éternel au nom du genre humain. De même, il est un sacrifice, mais pour nous, s'offrant lui-même à la place du coupable. Eh bien, ces paroles de l'Apôtre : pour que vous suiviez l'exemple du Christ, exigez que tous les chrétiens recréent en eux-mêmes, autant que possible, les mêmes sentiments qu'éprouvait le Divin Rédempteur lorsqu'il s'offrait en sacrifice, c'est-à-dire , pour imiter Son humilité et offrir devant la Majesté Suprême de Dieu, louange, honneur, gloire et actions de grâces. Cela exige aussi qu'ils partagent d'une manière ou d'une autre le sort du sacrifice, en renonçant à eux-mêmes selon les commandements de l'Évangile, en se vouant volontairement et volontairement à la pénitence, chacun renonçant à ses péchés et les confessant [5] . Prenons cette résolution aujourd'hui.
« Le CHRIST JÉSUS, Prêtre Suprême et éternel, a voulu que son sacerdoce unique et indivisible soit partagé par son Église » [6] . L'Église entière participe à la mission rédemptrice du Christ Prêtre « et il est recommandé à tous les membres du Peuple de Dieu de devenir, par les sacrements d'initiation, participants au sacerdoce du Christ afin d'offrir un sacrifice spirituel à Dieu et de rendre témoignage de Jésus-Christ aux hommes » [7] . Tous les fidèles participent à ce sacerdoce du Christ, bien que d'une manière fondamentalement différente des prêtres. Grâce à une âme véritablement sacerdotale, ils sanctifient le monde par leurs actions terrestres, accomplies de manière humainement parfaite, et luttent pour la gloire de Dieu en tout : une mère qui prend soin du foyer, un soldat qui donne l'exemple d'amour. pour la patrie à travers les vertus militaires, un entrepreneur qui s'efforce de développer son entreprise et de pratiquer la justice sociale et tous les gens en réparant les péchés commis chaque jour dans le monde et en offrant pendant la Sainte Messe. votre vie et vos œuvres.
Les prêtres - évêques et prêtres - étaient clairement "mis à part en quelque sorte du Peuple de Dieu, non pas cependant pour s'en séparer ou pour s'en séparer ou de toute autre personne, mais pour se consacrer entièrement à l'œuvre à laquelle le Seigneur les appelle". eux. Ils ne pourraient pas être des serviteurs du Christ s’ils n’étaient pas témoins et intendants de la vie autre que terrestre ; mais ils ne seraient pas non plus capables de servir les gens s’ils restaient étrangers à leur vie et à leurs conditions . » [8] Le prêtre a été enlevé au peuple et doté d'une dignité qui étonne les anges eux-mêmes, mais il est rendu au peuple pour le servir spécialement dans les affaires concernant Dieu, qui est sa mission spéciale et unique dans l'œuvre de salut. Dans de nombreuses circonstances, le prêtre remplace le Christ sur terre. Il a le pouvoir de pardonner les péchés, enseigne le chemin du ciel et, surtout, prête sa voix et ses mains au Christ au moment capital de la Sainte Messe : dans le Sacrifice de l'Autel, il consacre in persona Christi , dans le personne du Christ. Aucune dignité n’égale la dignité sacerdotale. Seule la maternité divine de Marie dépasse ce mystère divin.
Le sacerdoce est un formidable don de Jésus-Christ à l'Église. « Tandis que le sacerdoce commun des fidèles se réalise par le développement de la grâce baptismale, par la foi vivante, l'espérance et l'amour, par la vie selon l'Esprit, le sacerdoce ministériel est au service du sacerdoce commun. Elle contribue au développement de la grâce baptismale de tous les chrétiens. C'est l'un des moyens par lesquels le Christ construit et guide continuellement son Église » [9] Le prêtre est « un instrument quotidien et direct de la grâce salvatrice que le Christ nous a conquise. Si cela est bien compris, si cela est réfléchi dans le silence actif de la prière, comment le sacerdoce peut-il être considéré comme une résignation ? C'est un profit qui ne peut être calculé. Notre Sainte Mère Marie, la plus sainte des créatures - plus grande qu'Elle seule est Dieu - a un jour mis Jésus au monde. Les prêtres l'amènent chaque jour sur notre terre, sur nos corps, sur nos âmes : le Christ vient nous nourrir, nous donner la vie, être, dès maintenant, le début de la vie future » [10] .
Aujourd'hui, nous devrions remercier Jésus pour ce grand don. Merci, Seigneur, pour les vocations sacerdotales que tu adresses aux gens chaque jour ! Prenons la résolution de traiter les prêtres avec toujours plus d'amour et de respect, en voyant en eux le Christ qui passe , nous apportant le don le plus précieux qu'un homme puisse désirer : la vie éternelle.
CONSCIENT DE LA DIGNITÉ et de la responsabilité des prêtres de St. Jean Chrysostome s'est d'abord opposé à l'ordination sacerdotale et s'est justifié par ces mots : « Si le capitaine d'un grand navire, plein de rameurs et chargé de marchandises de valeur, m'ordonnait de m'asseoir à la barre et m'ordonnait de traverser la mer Égée ou la Tyrrhénienne Mer, je refuserais immédiatement. Et si quelqu'un me demandait pourquoi, je répondrais immédiatement : parce que je ne veux pas couler le navire " [11] Mais, comme l'a bien compris le saint, le Christ est toujours proche du prêtre, près du navire. De plus, il a souhaité que les prêtres reçoivent constamment le respect et les prières de tous les fidèles de l'Église. « Que les fidèles eux-mêmes (…) les traitent, ainsi que leurs bergers et pères, avec un amour filial. En participant à leurs préoccupations, qu'ils aident leurs prêtres, autant que possible, par la prière et l'action, afin qu'ils puissent mieux surmonter les obstacles et accomplir leurs tâches avec plus de fruit » [12] Ils doivent prier pour que les prêtres donnent toujours l'exemple et fondent leur efficacité sur la prière et célèbrent la Sainte Messe. avec beaucoup d'amour, à soigner avec zèle la catéchèse, à conserver toujours la joie qui naît de la dévotion et qui aide tant même ceux qui sont les plus éloignés du Seigneur.

Aujourd'hui, nous pouvons prier pour les prêtres avec plus de ferveur que d'habitude, afin qu'ils soient toujours ouverts à tous et détachés d'eux-mêmes. Un prêtre ne s'appartient pas à lui-même, comme il n'appartient pas à ses parents et amis, ni à une patrie spécifique. Ses pensées, sa volonté et ses sentiments ne lui appartiennent pas, mais au Christ qui est sa vie.
Le prêtre est un instrument d'unité. Le Seigneur veut, ut omnes unum sint, que tous soient un ( Jn 17, 21). Il a lui-même souligné que tout royaume divisé contre lui-même est dévasté et qu’une ville sans unité ne subsistera pas. Les prêtres doivent s'efforcer de maintenir l'unité. C'est l'appel du Saint. Paul « s'applique principalement à ceux qui ont reçu l'ordination sacerdotale pour continuer la mission du Christ » [13] . C'est le prêtre qui doit assurer l'harmonie entre les frères, en veillant à ce que l'unité dans la foi soit plus forte que les antagonismes provoqués par des divergences de vues sur des questions sans importance et temporelles. Le prêtre doit, par son exemple et ses paroles, faire prendre conscience à ses frères qu'aucune question humaine n'est si importante qu'elle puisse détruire cette merveilleuse réalité de l'unité. Cor unum et anima una ( Actes 4, 32), que vivaient les premiers chrétiens et que nous devrions également pratiquer. Cette mission d'unité peut se remplir facilement si vous êtes ouvert à tous, si vous êtes apprécié par vos frères. « Priez pour les prêtres, ceux qui sont présents et ceux qui viendront, afin qu'ils aiment vraiment, toujours plus, leurs frères humains, quelle que soit leur personne, et qu'ils puissent gagner leur amour pour eux-mêmes » [14] .
Jean-Paul II, s'adressant à tous les prêtres du monde, les a encouragés par ces paroles : « En célébrant l'Eucharistie sur tant d'autels à travers le monde, remercions le Prêtre éternel pour le don qui nous est fait dans le sacrement du sacerdoce. Et dans cette action de grâces, on pouvait entendre les paroles que l'évangéliste met sur les lèvres de Marie à l'occasion de sa visite à sa parente Elisabeth : Le Tout-Puissant a fait de grandes choses pour moi. Saint est son nom ( Luc 1:49). Remercions également Marie pour le don inexprimable du sacerdoce, grâce auquel nous pouvons servir chaque personne dans l'Église. Que cette action de grâce réveille aussi notre zèle (...) !
Rendons grâce pour cela constamment, de toute notre vie, de tout ce dont nous sommes capables. Rendons grâce avec Marie, Mère des prêtres. Que dois-je donner au Seigneur pour tout ce qu’il a fait pour moi ? Je lèverai la coupe du salut et j'invoquerai le nom du Seigneur ( Ps 116(115), 12-13) » [15] .
vobiscum
Benoît XVI a institué la fête du Christ Prêtre Suprême en 2010, pour le premier jeudi après la Pentecôte ! Il fut donc contraint de quitter le trône papal. Après avoir écouté l'émission d'aujourd'hui, je suis tombé sur cette interprétation de « l'abdication du pape Benoît ». Il y a de grandes et sérieuses tentatives dans le monde et parmi les nations autrefois chrétiennes pour annihiler le …Plus
Benoît XVI a institué la fête du Christ Prêtre Suprême en 2010, pour le premier jeudi après la Pentecôte ! Il fut donc contraint de quitter le trône papal. Après avoir écouté l'émission d'aujourd'hui, je suis tombé sur cette interprétation de « l'abdication du pape Benoît ». Il y a de grandes et sérieuses tentatives dans le monde et parmi les nations autrefois chrétiennes pour annihiler le sacerdoce du Christ. Les descendants de Caïphe et d'Anne font tout depuis le Golgotha pour empêcher que Jésus-Christ soit reconnu comme LE SEUL PRÊTRE, NOUVEAU ET ÉTERNEL PAR LA VOLONTÉ DIVINE, le SAUVEUR de toutes les créatures humaines après le péché originel (tragédie). Dans cette tentative, l'œcuménisme, outre les actes pédophiles d'une petite partie des prêtres catholiques, constitue une manière insidieuse d'éliminer le SACRAMENT DU SACERDOCE dans l'Église catholique romaine. La prochaine étape sera et est le sacrement du mariage, une attaque contre les FAMILLES SACRAMENTALES. L'émission d'aujourd'hui est une explication opportune ! S’écarter des sacrements du Christ est une apostasie ! La Foi Catholique et Apostolique UNE FOIS DONNÉE est comme un ROCHER ! L'Antéchrist fera tout pour écraser la Foi !

POUR EXPLICATION tiré du LIVRE DU CIEL, je mets ici la FIN du TOME 4! Jésus-Christ dialogue avec Luiza de cela "ECCE HOMO"!

Et cet état d'expiation, moi Je l'ai souffert à Gethsémani, au point où J'en suis arrivé à dire: "S'il est possible, que ce calice s'éloigne de Moi,
mais que ta Volonté soit faite et non la mienne."
Pourtant, durant tout le cours de ma vie, J'avais désiré cet état jusqu'à me sentir consumé.»

En entendant cela, il me semble que je me suis tranquillisée et que j'ai repris des forces.
J'ai prié Jésus qu'il déverse en moi son amertume.
Je me suis approchée de sa bouche et, malgré mes efforts pour aspirer, rien ne venait sinon uniquement une haleine très amère qui rendait amer tout mon intérieur.

Alors, en voyant que Jésus ne déversait rien, je dis:
«Seigneur, tu ne m'aimes plus?
Si tu ne veux pas déverser en moi ton amertume,au moins, déverse en moi tes douceurs. »

Jésus me répondit :
«Au contraire, Je t'aime même davantage.
Si tu pouvais entrer dans mon intérieur, tu verrais dans toutes les parties de mon être l'amour particulier que J'ai pour toi.

Parfois, Je t'aime tellement que J'arrive à t'aimer autant que Je m'aime Moi- même.
Parfois, cependant, Je ne peux pas supporter de te regarder, car tu me donnes la nausée. »

Quel coup de tonnerre ces dernières paroles furent pour mon pauvre cœur !
Penser que je n'étais pas toujours aimée de mon bien-aimé Jésus et que j'arrivais même à être pour lui une âme abominable.
Si Jésus n'était pas accouru lui-même pour m'expliquer la signification de ces paroles,
je n'aurais pas pu continuer de vivre.

Il me dit:
«Pauvre fille, cette parole est-elle trop dure pour toi?
Tu viens d'expérimenter mon propre sort.

Moi, J'étais toujours qui J'étais:
-un avec la Trinité très sainte en nous aimant d'un amour éternel indissoluble.
Pourtant, comme victime, Je fus couvert de toutes les iniquités des hommes. Mon extérieur était abominable devant la Divinité,
tellement que la Justice divine ne m'a épargné dans aucune partie de mon être.
Elle fut inexorable au point de m abandonner.

«Quant à toi, tu es toujours qui tu es avec Moi. Et comme tu occupes l'état de victime,
ton extérieur apparaît devant la Justice divine couvert des péchés d'autrui. Voilà pourquoi Je t'ai dit ces paroles.
Donc, calme-toi, car Je t'aime toujours. »

Cela dit, Jésus disparut.
Il me semble que cette fois-ci, Jésus béni a voulu me troubler, bien qu'Il m'a donné immédiatement la paix. Qu'Il soit toujours béni et remercié !

Ce matin, je me sentais presque libérée de mes souffrances.
Je ne savais pas quoi faire quand je me suis sentie hors de mon corps. Je voyais des personnes de notre ville qui, en plus des paroles et des calomnies
qu'elles disaient, complotaient pour passer aux actes.

Pendant ce temps, j'ai vu Jésus béni et je lui ai dit:
« Seigneur, tu donnes trop de liberté à ces hommes infernaux.

Jusqu'à présent,
il n'y a eu que des paroles infernales mais, maintenant,
ils veulent en arriver à mettre la main sur tes ministres. Empêche-les et aie pitié d'eux.
En même temps, protège ceux qui t'appartiennent.»

Il me répondit:
«Ma fille, cette liberté leur est nécessaire pour qu'ils puissent distinguer le bien du mal.

Sache cependant que Je suis fatigué de l'homme
Je suis tellement fatigué que Je partage cette fatigue avec toi. Ainsi,
-quand tu éprouves de la lassitude à cause de cet état de victime et
-que tu éprouves presque la volonté d'en sortir, tu viens vers Moi
Je t'avertis de demeurer attentive pour ne rien faire de ta propre volonté.
Car Je vais à la recherche de la volonté de la créature pour châtier les rebelles.

Néanmoins, essayons de nouveau.
Je te ferai souffrir et, ainsi, ces rebelles resteront sans force. Ils ne pourront rien accomplir de ce qu'ils veulent.»

Qui pourrait décrire ce que j'ai souffert.
Qui pourrait compter le nombre de fois où Jésus a renouvelé pour moi la crucifixion.
Pendant qu'Il faisait cela, il m'a dit en élevant sa main vers le Ciel:

«Ma fille,
Je n'ai pas fait l'homme pour la terre, mais pour le Ciel.
Son esprit, son cœur et tout son intérieur devaient être dans le Ciel.

S'il se comportait ainsi,
-il recevrait l'influence de la très Sainte Trinité dans ses trois facultés,
-elle serait imprimée en lui.

Mais, puisqu'il se préoccupe des choses de la terre, il reçoit en lui
la fange,
la pourriture et
tous les égouts de vices que la terre contient. »

Me trouvant dans mon état habituel, je me disais:
«Est-il possible que, pour quelques souffrances de ma part, le Seigneur
-puisse suspendre les châtiments et amoindrir les forces humaines de sorte que les hommes ne puissent pas arriver
à faire des révolutions et à former des lois iniques?

Qui suis-je pour mériter tout cela avec si peu de souffrance ? » Pendant que je pensais à cela, Jésus béni vint et me dit:

«Ma fille, ni toi, ni ceux qui te dirigent n'avez compris ton état. Dans cet état de souffrance, c'est vrai que tu disparais totalement. Et c'est Moi seul qui,
non d'une façon mystique, mais dans une chair vivante,
reproduis les souffrances que J'ai souffertes dans mon Humanité.

Ne sont-ce pas mes souffrances
-qui ont affaibli les démons,
-qui ont illuminé les esprits aveuglés, en un mot,
qui ont réalisé la Rédemption de l'homme ?

Et si elles ont pu le faire à ce moment-là dans mon Humanité,
-ne peuvent-elles pas le faire à présent dans ton humanité?

Supposons qu'un roi aille habiter dans une masure et
que, de là, il dispense des grâces, du secours, de la monnaie, et continue son office de roi. Si quelqu'un n'admettait pas cela, on dirait qu'il est sot.

Car, puisqu'il est roi, il peut faire du bien autant d'une masure que de son palais royal.
On admirerait même davantage sa bonté du fait que, étant roi,
il n'a pas dédain d'habiter des masures et de viles cabanes. Il en va ainsi en ce qui te concerne.»

J'ai compris tout cela avec clarté et j'ai dit :
«Mon Seigneur, tout est bien comme tu le dis.
Mais toute la difficulté de mon état réside dans la venue du prêtre. »

Jésus répondit:
«Ma fille,
même si un roi habitait une masure,
à cause des circonstances, de la nécessité et de son état royal, il conviendrait que ses ministres
-ne le laissent pas seul,
-mais lui tiennent compagnie
en le servant et en lui obéissant en tout. »

Je suis restée tellement convaincue par ce que Jésus venait de me dire que je n'ai rien pu ajouter.

Ce matin, je me sentais tout opprimée parce que Monseigneur était venu me visiter et
il avait dit qu'il n'était pas certain que c'était Jésus Christ qui opérait en moi.

Lorsque Jésus béni est venu, Il m'a dit:
«Ma fille,
pour bien comprendre un sujet, il est nécessaire d'avoir de la foi. Parce que, sans la foi, tout est sombre dans l'intelligence humaine Le seul fait de croire allume une lumière dans l'esprit.

Au moyen de cette lumière, on peut percevoir clairement
-la vérité et la fausseté des choses, pour discerner si c'est
la grâce qui opère,
ou la nature,
-ou le diable.

Vois-tu, l'Évangile est connu de tous.
Mais qui comprend la signification de mes paroles? Qui comprend les vérités que l'Évangile contient?

Qui conserve ces vérités dans son cœur et en fait un trésor pour acheter le Royaume de Dieu?
Ceux qui croient.

Pour tous les autres,
-non seulement ils n'y comprennent rien, mais ils s'en servent
pour s'en moquer et
pour plaisanter sur les choses les plus saintes.

Ainsi, on peut dire que tout est écrit dans les cœurs de ceux
-qui croient,
-qui espèrent et
-qui aiment.

Pour tous les autres, on peut dire que rien n'est écrit pour eux. Il en est ainsi de toi.

Celui qui possède un peu de foi voit les choses avec clarté et découvre la vérité.
Celui qui ne croit pas voit les choses dans la confusion.»

Ce matin, après m'être donné beaucoup de peine, la Reine Mère est venue avec l'Enfant Jésus dans les bras. Elle me l'a donné en me demandant de l'entourer de continuels actes d'amour.

J'ai fait tout ce que j'ai pu et, pendant ce temps, Jésus m'a dit:
«Ma bien-aimée,
les mots qui sont les plus agréables à ma Mère et qui la consolent le plus sont le « Dominus tecum « (« le Seigneur est avec toi »).

Parce que, à peine furent-ils prononcés par l'Archange,
ma Mère a ressenti que tout l'Être divin se communiquait à elle.

Elle s'est sentie revêtue du Pouvoir divin. Et, devant celui-ci, le sien s'est dispersé.
De sorte que ma Mère est restée avec le pouvoir divin dans les mains. »

Mon confesseur m'avait demandé de prier aux intentions de Monseigneur. Je vis, en me trouvant hors de mon corps, que ses intentions ne regardaient pas seulement Monseigneur, mais d'autres personnes également.

Parmi ces personnes, je vis une très bonne dame qui était toute consternée et qui pleurait. Je vis Monseigneur sous les bras d'une croix sur laquelle le Christ était cloué.
Monseigneur le défendait.
Et il devait avoir l'occasion de combattre pour la religion, puisque je vis Jésus béni lui dire : «Je les confondrai. »

Je me trouvais dans mon état habituel et il me sembla voir la très Sainte Trinité.
Les trois Personnes divines se regardaient mutuellement; elles étaient d'une telle beauté qu'elles étaient en extase seulement à se regarder.
Pendant qu'elles étaient dans cet état, elles débordaient d'Amour à l'extérieur. Elles étaient comme frappées par cet Amour.
Ceci les rendait encore plus intensément extatiques.
Tout leur bien et tout leur bonheur se trouvaient en elles-mêmes.

-Toute leur Ve éternelle,
toute leur Béatitude et
toutes leurs opérations se résumaient par ce mot unique : Amour.
Toute la béatitude des saints était formée par l'opération parfaite de la très Sainte Trinité.

Pendant que je voyais cela,
-le Fils prit la forme du Crucifié.
Sortant du milieu des trois Personnes divines,
Il vint vers moi pour me faire participer aux souffrances de la crucifixion. Ensuite, Il retourna vers les Trois
en offrant à la très Sainte Trinité ses souffrances et les miennes.

Il suppléait ainsi à l'amour que toutes les créatures devaient à la Trinité trois fois sainte.

Qui pourrait décrire
-le Bonheur des trois Personnes divines et
-combien Elles étaient satisfaites de l'offrande du Fils.

Lors de la création des êtres humains, rien d'autre ne sortit de l'intérieur de la Sainte Trinité que des flammes continuelles d'Amour.

Il semblait que,
-pour donner un épanchement à cet Amour,
les trois Personnes Divines créèrent beaucoup d'autres images d'Elles-mêmes.

Alors, elles ne sont satisfaites que lorsqu'elles reçoivent ce qu'elles ont donné:
-Elles ont donné de l'Amour,
-Elles veulent de l'amour.

Ainsi,
le plus cruel affront que l'on puisse faire à la Trinité Sainte, c'est de ne pas L'aimer.

Cependant, ô Dieu trois fois saint, qui t'aime vraiment ?

Après cela, les trois Personnes divines disparurent.
Mais qui pourrait décrire ce que je venais de comprendre?
Mon esprit se perdait et ma langue ne pouvait articuler un seul mot.

Après quelque temps, Jésus béni revint avec le visage couvert de crachats et de fange.

Il me dit :
«Ma fille, les louanges et les adulations sont
des crachats et de la fange qui souillent l'âme et aveuglent l'esprit
en l'empêchant de reconnaître qui elle est en vérité.
Surtout si ces louanges et ces adulations n'ont pas la vérité comme point de départ.

Si leur origine est la vérité, c'est-à-dire que la personne est digne de louanges,
-elle m'en donnera la gloire.
Mais si ces louanges et ces adulations partent de la fausseté,
elles conduisent l'âme à des excès,
de sorte qu'elle s'enfonce davantage dans le mal.»

Après m'être donné beaucoup de mal, j'ai vu intérieurement
Jésus béni portant la couronne d'épines.
Je me suis aussitôt mise à compatir avec lui et Il me dit:

«Ma fille, J'ai voulu souffrir ces épines dans ma tête
-non seulement pour expier tous les péchés causés par les pensées des hommes,
-mais pour unir l'intelligence humaine à l'Intelligence divine.

L'Intelligence divine avait comme disparu des esprits humains.
Mes épines la rappelèrent du Ciel et la greffèrent de nouveau sur l'intelligence humaine.

De plus, J'ai obtenu
-Aide,
-Force et
-Lucidité

pour ceux qui allaient manifester les choses divines et les faire connaître aux autres. »

Me trouvant dans mon état habituel, je me sentais tout affligée.

Surtout parce que mon confesseur m'avait dit
-que ce matin s'ouvrait à Corato une église protestante, et
-que je devais prier le Seigneur pour qu'un événement, quel qu'il soit, se produise pour les confondre.
Il m'avait dit que cela devait se faire au coût de n'importe quelle souffrance de ma part.

Voyant que le Seigneur ne venait pas
et que, par conséquent, je n'éprouvais pas de grandes souffrances,
les souffrances étant l'unique moyen pour obtenir ces sortes de grâces, j'en ressentais une très grande affliction.

Après m'être beaucoup fatiguée, Jésus béni vint.
Je vis mon confesseur priant et insistant beaucoup pour que Jésus me fasse
souffrir.
Aussi, il me semble qu'Il me fit participer aux souffrances de la croix. Après, Il me dit:
«Ma fille,
Je t'ai fait souffrir parce que j'y ai été contraint par le pouvoir sacerdotal.
Je permettrai que ceux qui iront à cette église, au lieu de rester convaincus de ce que diront les protestants, ils tourneront cela en plaisanteries.

D'autre part, le châtiment qui est tombé sur Corato dans les jours
où je t'ai tenue suspendue de ton état de victime doit suivre son cours. De plus, si tu continues de souffrir, je disposerai les cœurs de sorte que, au moment opportun, ils seront confondus et détruits. »

Plus tard, la Reine Mère est venue.
Comme si elle avait voulu qu'il y ait un peu plus de Justice en moi,
elle me reprit âprement au sujet de quelques-unes de mes pensées et de mes paroles.

En particulier quand je me vois avec très peu de souffrances et que je me dis que cela n'est pas la Volonté de Dieu
et que, par conséquent, je dois sortir de mon état de victime. Qui pourrait décrire avec quelle rigueur elle m'a repris.

Voici ce qu'elle m'a dit:
«Il se peut que le Seigneur permette que tu sois suspendue de ton état de victime
pendant quelques jours.
Mais, que tu veuilles faire cela par toi-même, cela est intolérable devant Dieu. Tu en viens presque à dicter à Dieu la façon dont il doit se comporter envers toi. »

Je ressentais tellement la force de sa rigueur que j'étais sur le point de m'évanouir.
Alors, par compassion, Jésus béni me soutint de ses bras.

Ce matin, me trouvant hors de mon corps, je vis mon confesseur avec un autre saint prêtre.

Ce dernier me dit:
«Débarrasse-toi de toute pensée voulant
que ton état ne soit pas selon la Volonté de Dieu.»

Ensuite, Jésus commença à parler au sujet de ces protestants
dont on discute beaucoup à Corato.

Il dit:
«Ils accompliront peu ou rien.
Parce que les protestants n'ont pas l'hameçon de la vérité pour pêcher les cœurs
comme l'a l'Église catholique.
Il leur manque la barque de la vraie vertu pour pouvoir les conduire au salut. Ils sont dépourvus de voiles, de rames et d'ancre,
-que sont les exemples et les enseignements de Jésus Christ.

Ils n'arrivent même pas à avoir
du pain pour se nourrir,
ni de l'eau pour se désaltérer et se laver, ce que donnent les sacrements.

Pire encore, il leur manque l'océan de la grâce pour pouvoir aller à la recherche des âmes.

Ainsi, en manquant de tout cela, quels progrès pourront-ils faire?» Jésus a dit tellement d'autres choses que je ne sais pas bien les répéter. Plus tard, mon aimable Jésus vint et me dit:
« Ma fille, celui qui m'aime se place devant le centre divin.
Mais celui qui se soumet et fait en toutes choses la Divine Volonté, possède en lui-même le centre divin. »

Ensuite, comme l'éclair, iIl disparut.

Peu après, Il revint
pendant que je rendais grâces pour la Création, la Rédemption et tant d'autres bienfaits.

Il dit:
«Par la Création, J'ai formé le monde matériel; par la Rédemption, J'ai formé le monde spirituel.»

Me trouvant dans mon état habituel, je vis mon adorable Jésus pendant quelque temps.
Il me dit:
«Ma fille, le péché offense Dieu et blesse l'homme.
Comme le péché a offensé Dieu et a été commis par l'homme,
une pleine satisfaction pour le réparer devait être faite par un Dieu et un homme.

Par les trente années de ma vie mortelle, J'ai satisfait
-pour les trois âges du monde,
-pour les trois aspects de la loi : la loi naturelle, la loi écrite et la loi de la grâce
-et pour les trois différents âges de chaque homme : son adolescence, sa jeunesse et sa vieillesse.

J'ai satisfait, mérité et obtenu pour tous.

Mon Humanité sert d'échelle pour monter au Ciel.

Si l'homme ne monte pas par cette échelle par l'exercice de ses propres vertus, c'est en vain qu'il essaye d'y monter et il rend mon œuvre inutile pour lui. »

En entendant le mot péché, je dis à Jésus:
«Seigneur, dis-moi pourquoi cela te plaît tellement quand une âme se repent de t'avoir offensé.»

Il me répondit:
«Le péché est un poison pour l'âme.
Il la rend tellement déformée qu'il fait disparaître mon image en elle.

Le repentir est un véritable contrepoison pour l'âme:
-en enlevant le poison qui s'y trouve, il y ramène mon image.

Voilà la raison de mon contentement: par le moyen du repentir. Je vois se réaliser en l'âme l'œuvre de ma Rédemption. »

Étant hors de mon corps, je me suis trouvée tout près d'un jardin qui semblait être l'Église. Près de ce jardin, il y avait des personnes en train de comploter un attentat
-contre l'Église et
-contre le Pape.
Au milieu du jardin, il y avait Notre-Seigneur crucifié, mais sans tête.

Comment décrire la souffrance et l'horreur que créait en moi la vue de son très saint corps dans cet état?
Je compris par cela que les hommes ne veulent pas que Jésus Christ soit à leur tête.
Et comme l'Église le représente sur cette terre, ils cherchent à la détruire.

Ensuite, je me suis trouvée dans un autre lieu où d'autres personnes me demandèrent: «Que dis-tu de l'Église? »
En éprouvant une lumière dans mon esprit, je répondis:
«L'Église sera toujours l'Église. Au plus, elle pourra se laver dans son propre sang.
Mais ce bain la rendra plus belle et plus glorieuse.»

En entendant mes paroles, ces gens dirent:
«C'est faux. Appelons notre dieu et voyons ce qu'Il en dit. »

Alors, un homme dépassant tous les autres en hauteur s'approcha. Il avait une couronne sur la tête.
Il dit: «L'Église sera détruite.
Les fonctions publiques n'existeront plus.
Au plus, il restera quelques fonctions cachées. Et la Madone ne sera plus reconnue. »

En entendant cela, je dis:
«Qui es-tu pour oser dire cela?
Ne serais-tu pas le serpent condamné par Dieu à ramper sur la terre ?
Et, en voulant tromper les gens, tu oses maintenant leur faire croire que tu es roi ? J

e te commande de te faire reconnaître pour qui tu es. » À la suite de ces paroles, de grand qu'il était,
il se fit très très petit et prit la forme d'un serpent. Ensuite, en émettant un éclair, il descendit dans l'abîme.

Moi, je suis revenue en mon corps.

Me trouvant dans mon état habituel, je me suis retrouvée en compagnie de Jésus béni. Totalement épuisé et essoufflé, il portait un faisceau de croix et d'épines dans les bras.
En le voyant dans cet état, je dis:
«Seigneur, pourquoi tant t'essouffler avec ce faisceau dans les bras?»

Il me répondit:
«Ma fille, il s'agit des croix de la désillusion.
Je les tiens toujours prêtes pour désillusionner les créatures. »
Pendant qu'il disait cela, nous nous sommes trouvés au milieu de gens. Dès que Jésus béni voyait quelqu'un qui s'attachait aux créatures,
Il prenait dans le faisceau la croix de la persécution et la lui donnait.

Alors, en se voyant persécutée et méprisée, cette personne
-perdait ses illusions et
-comprenait ce que sont les créatures et que Dieu seul mérite d'être aimé.

Si quelqu'un s'attachait aux richesses,
de ce faisceau Jésus prenait la croix de la pauvreté et la lui donnait.
-En voyant ses richesses s'envoler en fumée et
-en se voyant elle-même réduite à la misère, cette personne comprenait
-qu'ici-bas tout est fumée et
-que les vraies richesses sont les richesses éternelles. Par suite, son cœur s'attachait à tout ce qui est éternel.

Si un autre s'attachait à l'estime de soi ou au savoir, avec beaucoup de douceur
Jésus béni prenait la croix des calomnies et de la confusion et Il la lui donnait.
-Confuse ou calomniée,
cette personne laissait, si l'on peut dire, tomber son masque et
-elle comprenait son néant et son être.

Elle ordonnait tout son intérieur
-en fonction de l'ordre voulu par Dieu et non plus en fonction d'elle-même.

Jésus faisait ainsi avec toutes les autres croix.
Après cela, mon adorable Jésus me dit :
«As-tu vu la raison pour laquelle je tiens ce faisceau de croix dans mes bras? Mon amour envers les créatures me contraint
-à porter ce faisceau
tout en gardant mon regard continuellement tourné vers elles.

La croix est
-la désillusion primordiale et
-la première qui juge l'œuvre des créatures.

Ainsi, si la créature se soumet,
-la croix lui permettra d'être épargnée du jugement de Dieu.
Lorsque quelqu'un dans cette vie se soumet au jugement de la croix,
-cela me donne satisfaction.

Mais si la créature ne se soumet pas,
elle se trouvera dans l'ambiance de la seconde désillusion, celle de la mort.

Elle sera jugée par Dieu avec la plus sévère rigueur.
Mais elle sera surtout jugée pour avoir échappé au jugement de la croix
qui est complètement un jugement d'amour. »

Ensuite, Jésus disparut.
Je compris que c'est vrai que Jésus aime la croix,
bien que, souvent, c'est l'homme lui-même qui incite Jésus à la lui donner.

Si l'homme était ordonné
envers Dieu,
envers lui-même et
envers les créatures,
alors, en ne voyant dans l'homme aucun désordre,
le Seigneur s'abstiendrait de lui donner des croix et
Il lui donnerait la paix.

Après m'être donné beaucoup de peine, Jésus béni se fit voir dans mon intérieur en me disant: «Veux-tu que nous allions voir si les créatures veulent de Moi?»
Je répondis: «Bien sûr qu'elles veulent de toi !
Qui oserait ne pas vouloir de toi, puisque tu es l'être le plus aimable?»

Jésus dit: «Allons, tu verras ce qu'elles feront.»
Nous sommes partis et quand nous sommes arrivés à un endroit o ù il y avait beaucoup de gens, Jésus sortit sa tête de mon intérieur.

Il répéta les paroles que Pilate avait dites en présentant Jésus au peuple:
«Ecce Homo!» - « Voici l'Homme!».

Je compris que ces paroles posaient la question
pour savoir si oui ou non les gens voulaient que le Seigneur règne sur eux comme leur Roi,
avec pleine souveraineté sur leur cœur, leur esprit et leurs œuvres.

Ces gens répondirent:
«Enlevez-le, nous ne voulons pas de lui.
Même, crucifiez-le, afin que toute mémoire de lui soit détruite. » Oh ! Combien de fois cette scène s'est répétée !

Alors, le Seigneur répéta à tous: « Ecce Homo ! » Sur ces mots, un murmure se fit entendre.

Quelqu'un dit: «Je ne veux pas de lui comme roi, je veux la richesse.» Un autre dit: «Je veux les plaisirs. »
Et un autre : « Les honneurs. » Un autre encore : « La dignité. » Et tellement d'autres choses.

J'écoutais ces voix avec dégoût et le Seigneur me dit:
«As-tu entendu comment personne ne veut de Moi?

Pourtant, cela n'est rien.
Tournons-nous du côté des religieux et voyons s'ils veulent de Moi.»

Alors, nous nous sommes trouvés au milieu de
-prêtres, d’évêques, de religieux et de dévots.

Avec une voix sonore, Jésus répéta : «Ecce Homo ! »
Certains dirent :«Nous le voulons, mais nous voulons aussi notre confort.» D'autres dirent: «Nous le voulons, mais avec nos intérêts.»
D'autres dirent: «Nous le voulons, mais avec l'estime et les honneurs.
Que serait un religieux sans estime?»
D'autres dirent: «Nous le voulons, mais avec quelques satisfactions avec les créatures.
Comment peut-on vivre seul et sans personne pour nous satisfaire? »
Certains arrivaient à vouloir au moins quelque satisfaction
dans le sacrement de la confession.

Mais se retrouver seul à seul avec Jésus, presque personne ne le voulait.
Il y en avait même quelques-uns qui ne s'occupaient pas du tout de Jésus Christ.

Alors, tout affligé, Jésus me dit :
«Ma fille, retirons-nous.
As-tu vu comment personne ne veut de Moi ?
Au plus, ils me veulent, mais avec quelque chose qui leur plaît. Moi, Je ne me contente pas de cela
Parce que le véritable règne, c'est quand on règne seul. » Pendant qu'Il disait cela, je me suis retrouvée en mon corps.

Me trouvant dans mon état habituel, j'entendis Jésus béni prier dans mon intérieur.

Il disait :
«Père saint, glorifie ton nom.
Confonds les orgueilleux et ne te montre pas à eux. Manifeste-toi aux humbles, vu que seulement les humbles
te reconnaissent comme leur Créateur et
se reconnaissent comme ta créature. »

Ensuite, Il garda le silence, et je compris la force de l'humilité devant Dieu. Je compris que Dieu n'a aucune hésitation à confier aux humbles ses plus précieux trésors.

Tout est ouvert pour les humbles, rien n'est sous clé.
C'est le contraire pour les orgueilleux.
Il semble que Dieu leur met des pièges sous les pieds pour les confondre à chaque pas.

Peu après, Jésus se fit voir de nouveau et Il me dit :

«Ma fille, si un corps est vivant, on peut dire que cela se reconnaît par la chaleur intérieure continuelle qu'il génère.
Par contre, un corps mort peut bien être réchauffé au moyen de quelque chaleur extérieure, mais comme cette chaleur ne vient pas de la vraie vie, le corps se refroidit immédiatement.

On peut reconnaître de la façon suivante si une âme est vivante à la grâce:

Sa vie intérieure se manifeste
-par les œuvres qu'elle accomplit et
-par l'amour qu'elle a envers Moi.
Et elle ressent la Force de ma propre Vie dans la sienne.

Par contre, si c'est par quelque cause extérieure qu'elle se réchauffe, c'est-à-dire si elle fait quelque bien
et ensuite se refroidit, retourne à ses vices et retombe dans ses habituelles faiblesses,

il y a une grande probabilité
qu'elle est morte à la grâce ou
qu'elle est aux dernières extrémités de la vie.

On peut reconnaître que c'est vraiment Moi qui viens vers l'âme
-si elle éprouve ma grâce dans son intérieur et
-si tout le bien qu'elle fait se fusionne dans son intérieur.

Par contre,
-si on voit que tout est extérieur et
-qu'on n'aperçoit rien de bien dans l'intérieur de l'âme, ça peut être le démon qui agit.»

Pendant qu'Il disait cela, il disparut. Peu après Il revint encore et ajouta :
«Ma fille, comme ce sera terrible pour ces âmes
-qui ont été beaucoup fécondées par ma grâce et
-qui n'y ont pas correspondu !

La nation hébraïque a été la plus comblée, la plus fécondée, et pourtant la plus stérile.
Moi-même pendant ma vie publique J'ai obtenu de minces résultats.

Ainsi, nous n'avons pas produit les fruits que Paul a obtenus chez les autres nations,
-moins fécondées par la grâce,
-mais qui y ont mieux correspondu,

Car le manque de correspondance à la grâce
aveugle l'âme,
la dispose à mal interpréter les choses et
ouvre la route à l'obstination, même devant des miracles. »

Me trouvant dans mon état habituel, je me voyais toute seule et abandonnée. Après m'être donné beaucoup de peine, Jésus se fit voir dans mon intérieur et
je lui dis:

«Ma douce Vie, comment se fait-il que tu m'aies laissée seule? Quand tu m'as placée dans cet état,
-tout n'a été qu'union et
-tout n'a été fait que par entente mutuelle.
Par une douce force, tu m'as attirée totalement à toi.

«Oh ! Combien la scène s'est transformée ! Non seulement tu m'as abandonnée,
non seulement tu n'as fait aucun effort avec moi pour me garder dans cet état, mais je suis contrainte à faire un effort continuel avec toi
-pour que tu ne me fasses pas sortir de cet état. Et cet effort est pour moi une mort continuelle.»

Jésus répondit:
«Ma fille, la même chose m'est arrivée quand,
-dans le consistoire de la très Sainte Trinité,
on a décrété le mystère de l'Incarnation pour sauver le genre humain.

Moi, uni à la Volonté des trois Personnes divines,
J'ai accepté et
Je me suis offert comme victime pour l'homme.

Tout a été union entre les trois Personnes divines. Tout a été décidé selon une entente mutuelle.

Mais quand Je me suis mis à l'œuvre pour accomplir la mission, surtout
quand Je me suis trouvé dans l'ambiance de la souffrance et des opprobres,
chargé de tous les crimes des créatures,
Je me suis trouvé seul et abandonné par tous, même par mon cher Père.

«Non seulement cela.
Mais, chargé de toutes les souffrances, combien J'ai dû forcer le Tout-Puissant
-pour qu'Il accepte mon sacrifice et
-pour qu’Il me permette de continuer ce sacrifice
pour le salut de tout le genre humain présent et à venir.

J'ai obtenu cela et mon sacrifice dure encore.
Mon effort est continuel, bien qu'il soit un grand effort d'Amour.

Veux-tu savoir où et comment se continue mon sacrifice? Dans le sacrement de l'Eucharistie.

Là, mon sacrifice est continuel.
Perpétuel est l'effort que Je fais auprès de mon Père
-pour qu'Il use de Miséricorde envers les créatures pour obtenir leur amour.
Ainsi, Je me trouve en continuel état de morts continuelles,
bien que ces morts soient toutes des morts d'Amour.
Par conséquent, n'es-tu pas contente
que Je partage avec toi les étapes de ma propre Vie? »

Ce matin, mon confesseur m'a demandé si j'éprouvais le désir de souffrir. Je lui ai répondu: «Oui. »
Mais, je me sens plus calme, je jouis de plus de paix
Et je suis contente lorsque je ne veux rien d'autre que ce que Dieu veut. C'est pourquoi je veux m'en tenir à cela.

Plus tard, Jésus béni est venu. Il m'a dit :
«Ma fille, tu as choisi ce qu'il y a de plus excellent.

Celui qui demeure toujours dans ma Volonté me lie de façon
-à faire sortir de Moi une Puissance continuelle qui garde l'âme
-dans une disponibilité continuelle envers Moi.

De sorte que
-l'âme forme ma nourriture et
-Moi Je forme la sienne.

Au contraire, si l'âme est hors de ma Volonté,
-même si elle fait des choses grandes, saintes et bonnes,

puisqu'elle les fait sans cette Puissance qui émane de Moi,
-elle ne peut pas être pour Moi une nourriture savoureuse.

Parce que Je ne reconnais pas ses œuvres comme des œuvres de ma Volonté. »

Deo gratias !

Que tout soit pour la gloire de Dieu et le triomphe du Royaume du suprême Fiat !
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vobiscum
Parole Dieu pour aujourd'hui :
Lecture du livre du prophète Jérémie
(Jer 31, 31-34)J'écrirai ma loi sur leurs cœurs
Le Seigneur dit: « Voici les jours où je me retournerai avec la maison d'Israël et avec la maison de Judy une nouvelle alliance. Pas comme une alliance qui J'ai passé un marché avec leurs ancêtres quand j'ai pris leur main pour les mener dehors La terre égyptienne. C'est mon alliance …Plus
Parole Dieu pour aujourd'hui :
Lecture du livre du prophète Jérémie
(Jer 31, 31-34)J'écrirai ma loi sur leurs cœurs
Le Seigneur dit: « Voici les jours où je me retournerai avec la maison d'Israël et avec la maison de Judy une nouvelle alliance. Pas comme une alliance qui J'ai passé un marché avec leurs ancêtres quand j'ai pris leur main pour les mener dehors La terre égyptienne. C'est mon alliance qu'ils ont rompue, même si j'étais la leur souverain, dit le Seigneur. Mais ce sera l'alliance telle qu'elle sera Je me retournerai avec la maison d'Israël après ces jours, dit l'Éternel: Je mettrai la mienne au plus profond de leur être et j'écrirai sur leur cœur. Je serai leur Dieu, ils seront mon peuple. Et ils n'auront pas à se faire la leçon, se disant: Connaissez le Seigneur! Tout le monde de ils me connaîtront du plus petit au plus grand, dit le Seigneur, car Je leur pardonnerai leurs offenses, et je ne mentionnerai pas leurs péchés ». Ici parole de dieu.
Albo: albo:
Lecture de la Lettre aux Hébreux (Heb 10, 11-18)Il a perfectionné ceux qui sont pour toujours sanctifié

Chaque prêtre de l'Ancien Testament se tient chaque jour pour accomplir son service et fait plusieurs fois les mêmes sacrifices que ils ne peuvent en aucun cas ôter les péchés. Au contraire, une fois pour toutes une offrande pour le péché, il s'assit à droite Attendant Dieu seulement « jusqu'à ce que Ses ennemis deviennent repose-pieds sous Ses pieds ». Une victime il a rendu parfaits ceux qui sont sanctifiés pour toujours.
Donne et le Saint-Esprit nous témoigne, puisqu'il a dit: « Voilà comment c'est l'alliance que je ferai avec eux après ces jours, dit-il Seigneur: Je donnerai mes droits dans leur cœur, je les écrirai dans leurs pensées. A Je ne mentionnerai pas » pour leurs péchés et leurs iniquités. Là où il y a leur pardon, il n'y en a plus besoin des sacrifices pour les péchés. C'est la parole de Dieu.

PSALM RESPONSABLE ( Ps 110 ( 109 ), 1bcde. 2-3 )
Tu es un prêtre comme Melchisédek.

Le Seigneur a dit à mon Seigneur : *« Asseye-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis *repose-pieds de tes pieds »
Tu es un prêtre comme ça Melchisédek.

Le Seigneur étendra le pouvoir de votre sceptre de Sion: *« Contrôle entre Vos ennemis! nAvec toi, règne sur votre triomphe
in splendeur * de l'utérus Je t'ai donné naissance comme rosée ».

Vous êtes un prêtre comme Melchisédek.

Alléluia, alléluia, alléluia.

Christ, bien qu'il fût un fils, a appris obéissance à ce qu'il a souffert.
Et quand il a tout fait, il est devenu l'auteur du salut éternel pour tous ceux qui Lui écouter.(Flp 2, 8-9)
Alléluia, alléluia, alléluia.

Paroles de l'Évangile selon le Saint Marc
(Mc 14, 22-25) Ceci est Mon corps. C'est mon sang

Le premier jour des pains sans levain, quand la Pâque fut offerte, Jésus, en mangeant, prit du pain, refusa bénissant, il rompit et donna aux étudiants, en disant: « Prenez, c'est mon corps ». Il prit la coupe et refusa thanksgiving, il leur a donné, et tout le monde a bu. Et il leur dit: « À est mon Sang d'Alliance qui sera versé pour trop de gens. En vérité, je vous le dis, à partir de maintenant je ne boirai plus de fruit du vin le buisson jusqu'à ce jour où je le bois nouveau dans le royaume Bo ⁇ ym ». Telle est la parole du Seigneur.

COMMENTAIRE : Sacerdoce de jésus
La Fête de Jésus-Christ, le Souverain et Éternel Prêtre, est célébré en toute l'Église depuis 2013. Il tombe dedans Jeudi après le dimanche de Pentecôte. Riche réflexion sur le sujet du sacerdoce de Jésus contient une lettre aux Hébreux, dont l'auteur, en utilisant de nombreuses références à L'Ancien Testament montre que le sacerdoce de Jésus est le seul d'une sorte, il abrite un sacrifice nouveau et éternel. Victime fait dans le sang du Fils de Dieu. L'Évangile d'aujourd'hui cite un passage parler de l'établissement de l'Eucharistie. Ces mots prennent leur plein signification en rapport avec le sacrifice sur l'autel de la croix. Jésus renonce à il nous purifie dans son sang et nous laisse dans l'Eucharistie nous, la puissance de la Nouvelle Alliance qui nous connectera maintenant à Dieu. Jésus, Grand Prêtre,semble être pour nous et nous quitte humblement nous-mêmes dans l'Eucharistie, nous encourageant à fortifier son éternel victime. „ Prendre ” – est plein d'humilité et d'amour nous confier à nos cœurs.