TOME 16 du Livre du Ciel sur la Volonté de Dieu - quatrième partie. NOUS APPRENONS L'ACTE DE PRIÈRE à travers une Excursion dans le Royaume de Rédemption, dont toutes les ŒUVRES DE JÉSUS, MARIE ; …Plus
TOME 16 du Livre du Ciel sur la Volonté de Dieu - quatrième partie. NOUS APPRENONS L'ACTE DE PRIÈRE à travers une Excursion dans le Royaume de Rédemption, dont toutes les ŒUVRES DE JÉSUS, MARIE ; aussi Joseph, que la Divine Volonté ELLE-MÊME A RENDUE DIVINE, ses ACTES de Foi, d'Espérance et d'Amour quand le XXe siècle était encore nécessaire et l'Œuvre de la Divine Volonté dans le troisième FIAT de Luisa Piccarreta. C'EST LA probabilité à son égard, car en ce qui concerne le Seigneur Jésus et sa Mère Marie, LA QUESTION EST COMPLÈTEMENT ÉVIDENTE : 15. A toutes les souffrances de Notre-Seigneur, Notre-Dame pendant que Notre-Seigneur était dans le sein de sa Mère. 16. A chaque acte de Notre-Seigneur, de Notre-Dame et de Saint Joseph sur la terre. 17. A tous les échanges faits par Notre-Seigneur, Notre-Dame et Saint Joseph durant leur vie terrestre. 18. A chaque acte divin accompli par Notre-Seigneur et Notre-Dame durant leur vie terrestre. 19. A chaque acte maternel accompli par Notre-Dame durant sa vie terrestre. 20. A chaque molécule de sang et de chair répandue par Notre-Seigneur Jésus-Christ pendant sa Passion. 21. Aux fruits de la Résurrection, de l'Ascension et de la Pentecôte pour les chrétiens. NOUS VENONS ICI, dans CET ACTE DE PRIÈRE dans la Volonté Divine, OÙ ELLE A FAIT TOUT LA VIE ÉTERNELLE, à SA Puissance Créatrice, qui est CAPABLE de se Multiplier aussi à travers la créature humaine qui vit en ELLE, dans CE CERTAIN CAS de LUIZA PICCARRETA. Quant à SES disciples contemporains ou ultérieurs, jusqu'à la fin de l'HISTOIRE, SEUL DIEU LUI-MÊME et SA VOLONTÉ SAVENT tout, ce qui se passe ET COMMENT. LE SEIGNEUR JÉSUS a dit à PLUSIEURS FOIS qu'« il suffit de vouloir » vivre dans la Volonté de Dieu. Cependant, TOUS LES VOLUMES du Livre du Ciel sont destinés à ce que les créatures humaines apprennent finalement la Volonté de Dieu et grandissent dans CETTE CONNAISSANCE, après des épreuves appropriées - car le risque des actions d'ADAM et EVE existe toujours sur TERRE. SEULEMENT à l'état de purgatoire EST-IL CERTAIN que de là on va SEULEMENT AU CIEL pour vivre POUR TOUJOURS dans la Volonté DIVINE ! Vous ne devez JAMAIS compter sur VOUS-MÊME, sur votre propre volonté, mais apprenez à compter sur la Volonté de Dieu. IL Y A UNE OPPORTUNITÉ de faire de l'exercice en ELLE jusqu'à ce qu'ELLE décide si SON DON D'ELLE-MÊME sera traité sérieusement et accepté avec dignité ! Que tout le monde dans cette affaire s'assure de devenir digne de la grâce que LUIZA PICCARRETA et les autres ont reçue après ADAM ET EVE. C'est pourquoi CES INFORMATIONS ACCOMPAGNENT NOS PUBLICATIONS depuis le début et elles continueront de le faire jusqu'à la toute fin ! ALORS AIDEZ-NOUS JÉSUS, MARIE, Joseph, Luisa et tous les autres. free.fr/Catholique/mission/Luisa.html
De Quoi est capable la volonté humaine contre la Divine Volonté? La réponse est donnée dans la Première Lecture d'aujourd'hui: Lecture du Premier Livre des Rois (1 Rois 21 : 1b-16) Naboth fut lapidé et mourut
Naboth de Jizreel possédait une vigne à Jezreel, à côté du palais d'Achab, roi de Samarie. Achab se tourna vers Naboth et dit : « Donne-moi ta vigne en ma possession, afin qu'elle me …Plus
De Quoi est capable la volonté humaine contre la Divine Volonté? La réponse est donnée dans la Première Lecture d'aujourd'hui: Lecture du Premier Livre des Rois (1 Rois 21 : 1b-16) Naboth fut lapidé et mourut
Naboth de Jizreel possédait une vigne à Jezreel, à côté du palais d'Achab, roi de Samarie. Achab se tourna vers Naboth et dit : « Donne-moi ta vigne en ma possession, afin qu'elle me serve de potager, puisqu'elle est à côté de ma maison. Et je te donnerai en échange une vigne meilleure que celle-ci, à moins que tu ne trouves juste que je te donne de l'argent en guise de paiement. Naboth répondit : « Que l'Eternel ne me permette pas de vous donner l'héritage de mes ancêtres. » Achab arriva donc chez lui, amer et en colère contre les paroles que lui avait dites Naboth de Jizreélite : « Je ne vous donnerai pas l'héritage de mes pères. » Puis il s'allongea sur son lit, détourna le visage et ne mangea rien. Bientôt, Jézabel, sa femme, vint vers lui et lui demanda : « Pourquoi ton esprit est-il si en colère que tu ne manges rien ? Il lui répondit : « Parce que je parlais à Naboth, le Jezreélite. Je lui ai dit : « Vends-moi ta vigne pour de l'argent, ou si tu veux, je t'en donnerai une autre à la place. » Et il dit : « Je ne te donnerai pas ma vigne. » Alors Jézabel, sa femme, lui dit : « Tu es désormais le roi d'Israël. Levez-vous, mangez et soyez de bonne humeur. Je te donnerai la vigne de Naboth le Jizreélite. » Elle écrivit alors des lettres au nom d'Achab, les scella de son sceau et les envoya aux anciens et aux nobles qui étaient dans la ville voisine de Naboth. Dans ses lettres, elle écrit : « Proclamez un jeûne et faites asseoir Naboth devant le peuple. Et il plaça devant lui deux hommes méchants pour témoigner contre lui, en disant : « Vous avez blasphémé Dieu et le roi. » Ensuite, sortez-le et lapidez-le jusqu'à ce qu'il meure. » Ses concitoyens, les anciens et les notables qui habitaient la ville, firent ce que Jézabel leur avait ordonné et comme il était écrit dans les lettres qu'elle leur avait envoyées. Ils proclamèrent donc un jeûne et firent asseoir Naboth devant le peuple. Alors deux méchants hommes vinrent et s'assirent devant lui et témoignèrent contre lui, disant : « Naboth a blasphémé Dieu et le roi. » Alors ils l'emmenèrent hors de la ville et le lapidèrent, et il mourut. Et eux-mêmes envoyèrent dire à Jézabel : « Naboth a été lapidé et il est mort. » Alors, quand Jézabel apprit que Naboth avait été lapidé et qu'il était mort, elle dit à Achab : « Lève-toi, prends possession de la vigne de Naboth le Jizreélite, qu'il a refusé de te donner pour de l'argent, parce que Naboth est mort, mais il est mort. Dès qu'Achab apprit que Naboth était mort, il se leva aussitôt pour descendre à la vigne de Naboth le Jizreélite et en prendre possession. C'est la parole de Dieu.
Naboth de Jizreel possédait une vigne à Jezreel, à côté du palais d'Achab, roi de Samarie. Achab se tourna vers Naboth et dit : « Donne-moi ta vigne en ma possession, afin qu'elle me serve de potager, puisqu'elle est à côté de ma maison. Et je te donnerai en échange une vigne meilleure que celle-ci, à moins que tu ne trouves juste que je te donne de l'argent en guise de paiement. Naboth répondit : « Que l'Eternel ne me permette pas de vous donner l'héritage de mes ancêtres. » Achab arriva donc chez lui, amer et en colère contre les paroles que lui avait dites Naboth de Jizreélite : « Je ne vous donnerai pas l'héritage de mes pères. » Puis il s'allongea sur son lit, détourna le visage et ne mangea rien. Bientôt, Jézabel, sa femme, vint vers lui et lui demanda : « Pourquoi ton esprit est-il si en colère que tu ne manges rien ? Il lui répondit : « Parce que je parlais à Naboth, le Jezreélite. Je lui ai dit : « Vends-moi ta vigne pour de l'argent, ou si tu veux, je t'en donnerai une autre à la place. » Et il dit : « Je ne te donnerai pas ma vigne. » Alors Jézabel, sa femme, lui dit : « Tu es désormais le roi d'Israël. Levez-vous, mangez et soyez de bonne humeur. Je te donnerai la vigne de Naboth le Jizreélite. » Elle écrivit alors des lettres au nom d'Achab, les scella de son sceau et les envoya aux anciens et aux nobles qui étaient dans la ville voisine de Naboth. Dans ses lettres, elle écrit : « Proclamez un jeûne et faites asseoir Naboth devant le peuple. Et il plaça devant lui deux hommes méchants pour témoigner contre lui, en disant : « Vous avez blasphémé Dieu et le roi. » Ensuite, sortez-le et lapidez-le jusqu'à ce qu'il meure. » Ses concitoyens, les anciens et les notables qui habitaient la ville, firent ce que Jézabel leur avait ordonné et comme il était écrit dans les lettres qu'elle leur avait envoyées. Ils proclamèrent donc un jeûne et firent asseoir Naboth devant le peuple. Alors deux méchants hommes vinrent et s'assirent devant lui et témoignèrent contre lui, disant : « Naboth a blasphémé Dieu et le roi. » Alors ils l'emmenèrent hors de la ville et le lapidèrent, et il mourut. Et eux-mêmes envoyèrent dire à Jézabel : « Naboth a été lapidé et il est mort. » Alors, quand Jézabel apprit que Naboth avait été lapidé et qu'il était mort, elle dit à Achab : « Lève-toi, prends possession de la vigne de Naboth le Jizreélite, qu'il a refusé de te donner pour de l'argent, parce que Naboth est mort, mais il est mort. Dès qu'Achab apprit que Naboth était mort, il se leva aussitôt pour descendre à la vigne de Naboth le Jizreélite et en prendre possession. C'est la parole de Dieu.
Ta parole est une lampe à mes pieds, ô Seigneur, et une lumière sur mon chemin. (Ps 119 (118), 105)
Alléluia, alléluia, alléluia.
Paroles de l'Évangile selon saint Matthieu (Mt 5, 38-42) Ne résistez pas au malin
Jésus dit à ses disciples : « Vous avez entendu qu'il a été dit : Œil pour œil et dent pour dent. !' Mais moi, je vous le dis : ne résistez pas au malin ; mais si quelqu'un vous frappe …Plus
Ta parole est une lampe à mes pieds, ô Seigneur, et une lumière sur mon chemin. (Ps 119 (118), 105)
Alléluia, alléluia, alléluia.
Paroles de l'Évangile selon saint Matthieu (Mt 5, 38-42) Ne résistez pas au malin
Jésus dit à ses disciples : « Vous avez entendu qu'il a été dit : Œil pour œil et dent pour dent. !' Mais moi, je vous le dis : ne résistez pas au malin ; mais si quelqu'un vous frappe sur la joue droite, tendez-lui aussi l'autre. A celui qui veut discuter avec toi et prendre tes vêtements, donne-lui aussi ton manteau. Quelqu’un vous oblige à faire mille pas avec lui, à en faire deux mille. Donne à celui qui te le demande, et ne te détourne pas de celui qui veut t'emprunter. C'est la parole du Seigneur.
Écoute, Seigneur, la voix de ma prière.
Écoute, Seigneur, mes paroles ; * considère mes gémissements. Écoute attentivement la voix de ma prière, *mon Roi et Dieu.
Refrain.
Car tu n'es pas un Dieu à qui l'iniquité plaît ; le malin ne peut pas demeurer avec toi ; l'iniquité ne peut pas résister devant toi.
Refrain.
Vous détestez tous ceux qui font le mal. Vous apportez la destruction à tous ceux qui mentent. * Le Seigneur a horreur d'un homme trompeur et sanglant.
Refrain.
Alléluia, alléluia, alléluia.
Ta parole est une lampe à mes pieds, ô Seigneur, et une lumière sur mon chemin. (Ps 119 (118), 105)
Commentaire :
Mais le pardon doit être accompagné de la vérité. Nous ne pardonnons pas simplement parce que nous sommes impuissants et peu sûrs de nous. L'expression « tendre l'autre joue » est souvent confondue avec l'idée de renoncer à nos droits légitimes. Ce n'est pas ça. Tendre l'autre joue signifie exprimer et contester, d'un geste pacifique mais ferme, l'injustice qui est commise ; c'est comme dire : « Tu m'as frappé sur la joue, tu veux aussi me frapper sur l'autre joue ? Pensez-vous que vous faites la bonne chose ? Jésus répondit calmement au serviteur insolent du grand prêtre : « Si j'ai dit quelque chose de mal, prouve ce qui n'était pas. Et si c'est bon, pourquoi tu me frappes ? (Jean 18 :23). Nous voyons donc comment un chrétien doit agir : ne pas chercher à se venger, mais être aussi décisif que possible ; soyez ouvert au pardon et exprimez-vous clairement. Ce n'est certainement pas une tâche facile, mais c'est le seul moyen de mettre fin à la violence et de manifester la grâce de Dieu dans un monde souvent sans grâce. Saint Basile nous conseille : « Appliquez-vous et oubliez les insultes et les rancunes venant de vos voisins. Vous verrez quels différents noms ils vous donneront ; son nom est mauvais et brutal, mais tu es doux et paisible. Il regrettera un jour sa brutalité et vous ne regretterez jamais votre humilité.
Alléluia, alléluia, alléluia.
Paroles de l'Évangile selon saint Matthieu (Mt 5, 38-42) Ne résistez pas au malin
Jésus dit à ses disciples : « Vous avez entendu qu'il a été dit : Œil pour œil et dent pour dent. !' Mais moi, je vous le dis : ne résistez pas au malin ; mais si quelqu'un vous frappe sur la joue droite, tendez-lui aussi l'autre. A celui qui veut discuter avec toi et prendre tes vêtements, donne-lui aussi ton manteau. Quelqu’un vous oblige à faire mille pas avec lui, à en faire deux mille. Donne à celui qui te le demande, et ne te détourne pas de celui qui veut t'emprunter. C'est la parole du Seigneur.
Écoute, Seigneur, la voix de ma prière.
Écoute, Seigneur, mes paroles ; * considère mes gémissements. Écoute attentivement la voix de ma prière, *mon Roi et Dieu.
Refrain.
Car tu n'es pas un Dieu à qui l'iniquité plaît ; le malin ne peut pas demeurer avec toi ; l'iniquité ne peut pas résister devant toi.
Refrain.
Vous détestez tous ceux qui font le mal. Vous apportez la destruction à tous ceux qui mentent. * Le Seigneur a horreur d'un homme trompeur et sanglant.
Refrain.
Alléluia, alléluia, alléluia.
Ta parole est une lampe à mes pieds, ô Seigneur, et une lumière sur mon chemin. (Ps 119 (118), 105)
Commentaire :
Mais le pardon doit être accompagné de la vérité. Nous ne pardonnons pas simplement parce que nous sommes impuissants et peu sûrs de nous. L'expression « tendre l'autre joue » est souvent confondue avec l'idée de renoncer à nos droits légitimes. Ce n'est pas ça. Tendre l'autre joue signifie exprimer et contester, d'un geste pacifique mais ferme, l'injustice qui est commise ; c'est comme dire : « Tu m'as frappé sur la joue, tu veux aussi me frapper sur l'autre joue ? Pensez-vous que vous faites la bonne chose ? Jésus répondit calmement au serviteur insolent du grand prêtre : « Si j'ai dit quelque chose de mal, prouve ce qui n'était pas. Et si c'est bon, pourquoi tu me frappes ? (Jean 18 :23). Nous voyons donc comment un chrétien doit agir : ne pas chercher à se venger, mais être aussi décisif que possible ; soyez ouvert au pardon et exprimez-vous clairement. Ce n'est certainement pas une tâche facile, mais c'est le seul moyen de mettre fin à la violence et de manifester la grâce de Dieu dans un monde souvent sans grâce. Saint Basile nous conseille : « Appliquez-vous et oubliez les insultes et les rancunes venant de vos voisins. Vous verrez quels différents noms ils vous donneront ; son nom est mauvais et brutal, mais tu es doux et paisible. Il regrettera un jour sa brutalité et vous ne regretterez jamais votre humilité.