Hypocrisie pure : Un cardinal encourage l'homosexualité pratiquée
Refuser d'"exclure" des personnes pour adultère public et homosexualité pratiquée n'est qu'une question "pastorale" et non dogmatique pour l'homosexualiste de San Diego Robert McElroy, un cardinal de François (AmericaMagazine.org, 24 janvier).
Il veut que l'Église proclame la "plénitude de son enseignement" tout en donnant un "témoignage d'inclusion soutenue dans sa pratique pastorale" [= en niant la plénitude de la doctrine].
McElroy contredit le fait que tous les actes sexuels en dehors du mariage sont un péché grave en suggérant que l'Eglise a "une hiérarchie de vérités" et que les actes sexuels "ne se trouvent pas au cœur de cette hiérarchie". Mais ils le sont.
Il se plaint que dans la "pratique pastorale" nous ayons placé le péché mortel "au centre de nos structures d'exclusion de l'Eucharistie." En réalité, l'exclusion des pécheurs mortels n'est pas une "pratique pastorale" mais est fondée sur la révélation. McElroy l'ignore, même s'il est "cardinal".
Parlant comme le diable, il qualifie de "mystère démoniaque" "l'animosité profonde et viscérale" des "gens" [= de la Bible] envers l'immoralité homosexuelle alors que le premier témoignage de l'Eglise face à "cette bigoterie" [sic !] doit être "un témoignage d'étreinte".
McElroy n'accepte pas la distinction entre l'orientation [= la tentation] et l'activité [= la fornication] et n'aime pas le fait que cette distinction divise la "communauté" homosexuelle entre ceux qui s'abstiennent de pécher et ceux qui ne le font pas. Pour lui, pécher et ne pas pécher est donc la même chose.
"Le rayonnement de l'amour de Dieu doit être le cœur, l'âme, le visage et la substance de la position et de l'action pastorale de l'Église", insiste-t-il, tandis que le parti de François élimine instantanément toute personne qui ne suit pas inconditionnellement sa ligne.
Image: Robert McElroy © wikicommons CC BY-SA, #newsUekcnmmrpp
Il veut que l'Église proclame la "plénitude de son enseignement" tout en donnant un "témoignage d'inclusion soutenue dans sa pratique pastorale" [= en niant la plénitude de la doctrine].
McElroy contredit le fait que tous les actes sexuels en dehors du mariage sont un péché grave en suggérant que l'Eglise a "une hiérarchie de vérités" et que les actes sexuels "ne se trouvent pas au cœur de cette hiérarchie". Mais ils le sont.
Il se plaint que dans la "pratique pastorale" nous ayons placé le péché mortel "au centre de nos structures d'exclusion de l'Eucharistie." En réalité, l'exclusion des pécheurs mortels n'est pas une "pratique pastorale" mais est fondée sur la révélation. McElroy l'ignore, même s'il est "cardinal".
Parlant comme le diable, il qualifie de "mystère démoniaque" "l'animosité profonde et viscérale" des "gens" [= de la Bible] envers l'immoralité homosexuelle alors que le premier témoignage de l'Eglise face à "cette bigoterie" [sic !] doit être "un témoignage d'étreinte".
McElroy n'accepte pas la distinction entre l'orientation [= la tentation] et l'activité [= la fornication] et n'aime pas le fait que cette distinction divise la "communauté" homosexuelle entre ceux qui s'abstiennent de pécher et ceux qui ne le font pas. Pour lui, pécher et ne pas pécher est donc la même chose.
"Le rayonnement de l'amour de Dieu doit être le cœur, l'âme, le visage et la substance de la position et de l'action pastorale de l'Église", insiste-t-il, tandis que le parti de François élimine instantanément toute personne qui ne suit pas inconditionnellement sa ligne.
Image: Robert McElroy © wikicommons CC BY-SA, #newsUekcnmmrpp