Une lettre impériale, l'emplacement du Saint Sépulcre et la fiabilité du Nouveau Testament

ARKEOS : « L'auteur d'un des 4 Évangiles et du livre des Actes mentionne Gallion, proconsul de l'Achaïe, détail retrouvé dans la lettre d'un empereur romain.
La confirmation de ce détail secondaire du texte démontre l'extrême précision et la fiabilité des écrits de Luc.
L'emplacement du Saint Sépulcre à Jérusalem, associé à un texte de l'historien du premier siècle Flavius Josephe, indiquent que les évangiles ont été rédigés bien avant 70 - et sont donc des rapports factuels dignes de confiance ! »
1 mars 2021.
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La précision du texte...

Deux exemples concernant le Nouveau Testament, pour nous faire toucher du doigt la précision du texte.
- Avec un voyage missionnaire de Paul
- Basé sur un texte de l’historien Flavius Josephe lié à la rédaction, et lié à la période de rédaction des évangiles et au lieu de la crucifixion

Une lettre impériale

L’empereur Tibère : « à Gallion mon ami et proconsul de l’Achaïe... »

Nous avons ici (4mn43) une inscription qui mentionne précisément non seulement
- le nom,
- le titre exact,
- utilisée par Luc dans le livre des Actes :

Actes 18,12 : « Sous le proconsulat de Gallion en Grèce, les Juifs, unanimes, se dressèrent contre Paul et l’amenèrent devant le tribunal, »

La destruction de Jérusalem pourtant détruite en 70 par les romains (écrit et détaillé par Flavius Josephe), n’est mentionnée nulle part dans les Évangiles, ni dans le nouveau testament !
Ce seul fait constitue une indice de poids : les Évangiles ont forcément été rédigées AVANT l’an 70 !

L’emplacement du Saint sépulcre

Vu que le lieu de crucifixion était situé hors de la ville au moment de la rédaction de l’Évangile, c’est forcément que le 3° rempart n’était pas encore construit par les romains) !
Donc celui qui a fait ce récit, l’a fait des années AVANT que ce 3° rempart soit achevé ! Donc des années AVANT l’an 70.

Fiabilité du Nouveau Testament

L’Évangile de Jean – que l’on considère comme le dernier rédigé – a donc été écrit bien AVANT 70 en non pas ‘des siècles plus tard’… et bien sûr, puisque les témoins des évènements étaient encore vivant, il ne peut pas s’agir de légende ou d’invention, mais bien un rapport factuel précis de ce qui s’est passé.

Conclusion

Ce nouvel exemple, à ce que l’on appelle « une preuve indirecte », nous montre une fois de plus, l’authenticité bien réelle du récit biblique.

« … la possibilité de télécharger le texte de l’émission… » Hélas, non, le lien ne fonctionnant plus.

Le prof (Mr Vauclair) : Voilà, je vous laisse réfléchir… :-))