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Nouvelle-Zélande : Les évêques acceptent le suicide par euthanasie et le qualifient de "bonne foi"

Les évêques de Nouvelle-Zélande acceptent de facto la nouvelle loi sur l'euthanasie, dite "End-of-Life Choice Act", qui entre en vigueur le 7 novembre.

Cinq pages de directives verbeuses à l'intention des prêtres qualifient de "signe de bonne intention" le fait que des personnes qui envisagent de se suicider demandent un accompagnement spirituel. En ce qui concerne l'"aide à mourir", les évêques s'attendent à ce que la demande des candidats au suicide soit acceptée.

Ils qualifient de "convenable" de donner les sacrements aux suicidés qui en font la demande, et affirment que les prêtres ("ministres") sont en droit de présumer qu'un suicidé qui transgresse consciencieusement le cinquième commandement ("tu ne tueras pas") et demande les sacrements "le fait de bonne foi".

Les évêques appellent les prêtres à "affirmer la miséricorde de Dieu" en présidant les funérailles des suicidés de sang-froid. Pour les prêtres qui voient clair dans le jeu épiscopal, les directives proposent la solution anglicane : un prêtre qui n'est pas prêt à faire la fine bouche peut se retirer, mais doit trouver un autre prêtre qui commettra le crime.

Selon la foi catholique, le suicide est un mal que Dieu punit par l'enfer. C'est pourquoi la miséricordieuse Église catholique d'avant Vatican II faisait tout pour l'empêcher.

Image: © New Zealand Catholic Bishops Conference, Facebook, #newsRhqjhssdrl

Spina Christi 2
Le suicide est la destruction volontaire du "Temple du Saint-Esprit qui est en nous, que nous avons reçu de Dieu" (I Corinthiens 6 : 19).
Accepter cette destruction n'est-elle pas une forme de blasphème à l'Esprit-Saint ?
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Le suicide est la destruction volontaire du "Temple du Saint-Esprit qui est en nous, que nous avons reçu de Dieu" (I Corinthiens 6 : 19).

Accepter cette destruction n'est-elle pas une forme de blasphème à l'Esprit-Saint ?
Catholique et Français
Sans compter que le Bon Dieu interdit toute forme de suicide et que l'heure de la mort n'appartient qu'à Lui, la "Bonne Mort", la mort et son acceptation humble et soumise, la manière de vivre son agonie, la souffrance physique et la détresse morale qui l'accompagnent sont souvent les seuls moyens de se reprendre et de se racheter avant le Jugement et l'Éternité. L'éprouvante agonie de Louis XV …Plus
Sans compter que le Bon Dieu interdit toute forme de suicide et que l'heure de la mort n'appartient qu'à Lui, la "Bonne Mort", la mort et son acceptation humble et soumise, la manière de vivre son agonie, la souffrance physique et la détresse morale qui l'accompagnent sont souvent les seuls moyens de se reprendre et de se racheter avant le Jugement et l'Éternité. L'éprouvante agonie de Louis XV à Versailles en est un exemple édifiant. Ces misérables évêques privent ainsi de pauvres âmes de la dernière planche de Salut qui leur était offerte et le Bon Dieu leur en demandera un Jour compte.
apvs
Ils n'ont jamais du pencher la tête pour remarquer cet espèce de morceau de métal en forme de croix qui pend à leur cou. Ils le portent comme les vaches portent une cloche : sans savoir, sans comprendre.
jili22
Où sont les évêques ? Je vois des hommes en blancs mais pas d'évêques !