L'Église a besoin d'une procédure permettant de corriger un pape qui enseigne l'erreur

Mais la "procédure" existe, providentiellement, depuis le Concile Vatican I, avant les temps de folies que nous vivons : c'est le dogme l'Infaillibilité Pontificale qui permet de distinguer en toute clarté quand le Saint-Père doit être OBLIGATOIREMENT suivi et quand ses paroles ou ses actes, faillibles, relèvent d'une simple opinion humaine. Si les nouveautés inouïes issues de Vatican II, et au premier chef la "Liberté Religieuse", doivent être suivies par les fidèles, que les membres de l'Eglise exigent (procès, remontrances, refus d'obtempérer pour de graves motifs de conscience etc... etc...) que le Pape les proclame... infailliblement ! En attendant, ils ont parfaitement le droit de les refuser, elles et ELLES SEULES, s'ils ont de graves motifs de conscience ! Mais l'habileté des réformateurs depuis 50 ans, parfaitement efficace, consiste à rester dans le flou et refuser la limpidité du disciple du Christ en prétendant imposer d'autorité leurs folies.

Cela revient à dire que la prière que Notre Seigneur Jésus-Christ a faite pour que la foi de Pierre ne défaille pas est inefficace; cela revient à dire, que le Pape, n'est pas infaillible dans le domaine de la Foi et des Mœurs, c'est donc contre la Révélation et le Magistère.
Peut-être faudrait-il dire que l'on ne peut être Pape sans la Foi, ou que celui qui défaille dans la Foi, perd ipso facto sa charge. Comment le Vicaire de Notre Seigneur Jésus-Christ peut-il le trahir avec les fausses religions, priant dans les synagogues, les mosquées, les temples luthériens.........????? Et comment personne, aucun cardinal n'y trouve à redire ?
Comment peut-on prétendre que le Souverain Pontificat est "collégial" avec un pape en exercice, et un pape émérite....,?