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Jacques FESCH, un Saint en puissance - Faustine Production. Intervenant : Rémi SCHAPPACHER Musique : Arvo PART L’itinéraire de Jacques Fesch, né le 6 avril 1930 t mort guillotiné le 1er octobre 1957…Plus
Jacques FESCH, un Saint en puissance - Faustine Production.
Intervenant : Rémi SCHAPPACHER
Musique : Arvo PART
L’itinéraire de Jacques Fesch, né le 6 avril 1930 t mort guillotiné le 1er octobre 1957 à Paris, a parlé à des lecteurs du monde entier après la publication de son journal de prison intitulé « Dans cinq heures je verrai Jésus » et de sa correspondance, sous le titre « Lumière sur l’échafaud ». Un travail d’édition effectué avec l’aide d’une carmélite, Sœur Véronique. Sa veuve, Pierrette, et sa fille très aimée ont défendu courageusement sa mémoire.
Le 21 septembre 1987, une instance en béatification est mise en place afin d’étudier les faits relatifs à la vie et à la conversion de Jacques Fesch. En décembre 1993, le cardinal Lustiger, archevêque de Paris, a ouvert l’enquête préliminaire à la béatification de Jacques Fesch : « J’espère, a-t-il dit, qu’il sera un jour vénéré comme une figure de sainteté. »
Site Internet : www.faustine-production.fr
poursonfilsGérard
Je suis hantée par cette histoire extraordinaire depuis que j'ai vu le reportage des enfants abandonnés mardi 2 avril 2013 sur FRANCE 2 vers 21h. Cher Gérard, quelle grâce extraordinaire d'avoir retrouvé votre père, et quel père! J'aimerais acheter tous les livres concernant Jacques Fesch, j'en ai déjà commandé dans une librairie d'Annecy, où j'habite. En attendant les livres, j'ai écouté et …Plus
Je suis hantée par cette histoire extraordinaire depuis que j'ai vu le reportage des enfants abandonnés mardi 2 avril 2013 sur FRANCE 2 vers 21h. Cher Gérard, quelle grâce extraordinaire d'avoir retrouvé votre père, et quel père! J'aimerais acheter tous les livres concernant Jacques Fesch, j'en ai déjà commandé dans une librairie d'Annecy, où j'habite. En attendant les livres, j'ai écouté et regardé cette vidéo. Quel magnifique témoignage! Quelle belle mort! J'aimerais faire une aussi belle mort! Oui, la guillotine c'est triste, mais quelle chance ou plutôt quelle grâce pour ce jeune homme d'avoir été guillotiné, car depuis le 1er octobre 1957 il voit Dieu dans la béatitude éternelle. Sans cela, comme il l'a dit lui-même, sans doute se serait-il perdu éternellement. Et j'en suis sûre, du haut du Ciel, il veille sur sa famille, son épouse, sa fille Véronique (mon homonyme), son fils Gérard. Il n'y est pas pour rien si vous avez retrouvé votre père, cher Gérard! Il continue d'intercéder pour vous continuellement, il veut que vous le connaissiez mieux dans le Ciel où il vous attend. Je vous en prie, faites honneur à votre père en croyant fermement en Dieu par la Foi Catholique. Allez à Notre-Dame de la Salette, à Lisieux pour prier la Sainte Vierge Marie miséricordieuse et sainte petite Thérèse, les avocates de votre père Jacques. Moi aussi, je prie pour vous, autant que mes faible moyens me le permettent.
Jésus est Dieu
Magnifique présentation de la vie et de la spiritualité de Jacques Fesch, merci !
En l'écoutant, je n'ai pu m'empêcher de penser à tous ces gens en prison, qui auraient pu devenir de grands saints, mais qui ne le deviendront pas, parce que des chrétiens ne sont pas venus les visiter...
Jésus est Dieu
Exclusif: le fils perdu de Jacques Fesch
Par Legris Michel, publié le 30/06/1994
Gérard Droniou, enfant abandonné, cherchait sa mère. Grâce à L'Express, il a trouvé son père: Jacques Fesch, guillotiné en 1957, que l'Eglise voudrait béatifier.
www.lexpress.fr/informations/exclusif-le-fil…
La voiture, une BMW beige immatriculée en Savoie, a longuement erré, le 27 mai, dans les rues du Vésinet …Plus
Exclusif: le fils perdu de Jacques Fesch
Par Legris Michel, publié le 30/06/1994
Gérard Droniou, enfant abandonné, cherchait sa mère. Grâce à L'Express, il a trouvé son père: Jacques Fesch, guillotiné en 1957, que l'Eglise voudrait béatifier.
www.lexpress.fr/informations/exclusif-le-fil…

La voiture, une BMW beige immatriculée en Savoie, a longuement erré, le 27 mai, dans les rues du Vésinet (Yvelines). Son conducteur vient pour la première fois dans la demeure où il est convié à dîner avec son épouse. Invités et hôtes ne se sont jamais vus.
La maîtresse de maison, Véronique Toury, est la fille légitime de Pierrette Polack et de Jacques Fesch, guillotiné à 27 ans, le 1er octobre 1957. Le conducteur de la BMW est le "Petit Gérard", que le supplicié a toujours désigné comme son fils adultérin: avant l'échafaud, il a imploré qu'on le retrouvât. Vainement. Jusqu'à ce que L'Express publie, le 14 avril dernier, un document d'après un ouvrage que Jean Duchesne et Bernard Gouley feront paraître en septembre, chez de Fallois. Il relatait le cas célèbre d'un meurtrier que l'Eglise envisage de béatifier. Une âme dont les cheminements auront été rudement tortueux.
En janvier 1954, un mois avant son crime, ce fils de banquier a séduit une vendeuse de librairie, à Paris - désignée sous le nom de Thérèse V. Au procès, elle a témoigné par lettre: "De cette brutale et unique union est né un enfant. Je n'ai pas le moyen de l'élever... Pardonnerai-je? Oui. Je pardonne quand même." La famille (riche) de Jacques Fesch a refusé de l'aider matériellement alors que, pulmonaire, elle doit séjourner dans un sanatorium. Son enfant, elle le confiera, aussitôt né, à l'Assistance publique (AP).
REFUSÉ À "PERDU DE VUE"
Il y a un mois encore, rien ne laissait présumer que Gérard Droniou pouvait être le Petit Gérard. Il est professeur de musique aux environs du lac d'Annecy. Guitariste, et surtout trompettiste, il est membre d'une formation de jazz. Camille, sa femme, une petite brune très vive, est comptable. Ils ont aujourd'hui deux fils (17 et 15 ans) et une fillette de 5 ans. La famille vit à Bellecombe-en-Bauges (Savoie): un chalet de style montagnard, de jolis meubles rustiques, un jardin, une piscine. Pas d'inquiétudes métaphysiques. Le couple se veut athée. Lui n'a jamais fréquenté le catéchisme. Elle, Camille, est juive, mais ignore la synagogue. Malgré tout, le mari dirige une chorale, enregistre des chants de Noël. Quant à Camille, elle a inscrit ses deux derniers enfants à Saint-François-de-Sales, à Annecy - où elle travaille. Mais en précisant qu'il n'est pas question pour eux d'une éducation religieuse!
Alors que s'est-il passé? La mise en branle d'une espèce de "machine infernale", pour emprunter le titre d'une pièce de Cocteau. A ceci près que le complexe d'?dipe, chez Gérard Droniou, fils de personne, ne peut pas revêtir la même forme que chez les autres.
Son père, dans son esprit, est mort à la guerre. Enfant, il ne rêve que de sa mère. Adulte, il la cherche désespérément. En 1976, il écrit à l'Elysée. Il interroge les Droniou des annuaires. Il rend visite, dans un village de Saône-et-Loire (Saint-Léger-sous-Beuvray), à la personne, très bonne, qui l'a eu en pension jusqu'à 5 ou 6 ans - Marie Deschaumes, qui, aujourd'hui, a 95 ans. Celle-ci se souvient que, quand il était bambin, une jeune femme blonde, accompagnée d'une autre plus âgée, venait lui rendre visite. Sa mère et sa grand-mère? Sans doute. En 1987, il se rend à Paris, à la Ddass - 12, rue de la Collégiale. On lui répondra par écrit. Lettre du 18 novembre 1987: "Votre mère [...] a demandé le secret le plus absolu vis-à-vis de sa famille et de sa belle-famille... Je ne peux vous fournir aucun renseignement sur son état civil ni sur celui de votre père." En désespoir de cause, il s'adresse à TF 1, afin d'être admis à l'émission "Perdu de vue". Refus. Son cas n'est pas jugé intéressant! Il parle de ses démarches à ses amis. Il n'a que de maigres pistes. Il a appris, par hasard, que sa mère se prénommait Thérèse. Jusqu'à l'âge de 10 ans, il ne s'est pas appelé Droniou, mais Troniou. A l'époque, une directrice de l'AP lui a expliqué: "Il y a eu une erreur à la mairie." Cette directrice, Gérard est remonté jusqu'à elle. Mais Mme Calledemaison, aujourd'hui retraitée à Dijon, n'a rien pu - ou rien voulu - dire. L'obsession qui le taraude étonne sa belle-mère, Alice Lévy. La famille qu'il a ne lui suffit-elle pas? Un jour, elle prophétisera: "On cherche, on cherche, mais on ne sait jamais ce qu'on trouve..."
De son côté, une carmélite française - oblate du couvent Saint-Elie, à San Remo, en Italie - soeur Véronique, l'un des plus ardents soutiens de la "cause" en béatification de Fesch, sait que celui-ci a souhaité que ses "deux enfants s'aiment à travers Dieu". La religieuse a déniché en 1987, à Conflans-Sainte-Honorine, la mère de Thérèse, puis, à Paris, Thérèse elle-même. Une "personne blonde" qu'elle décrit comme "naïve" et "très pratiquante". Mais Thérèse se refusera à fournir le moindre indice.
En 1994, la situation demeure insoluble. Jusqu'au jour où...
Le 10 mai, les époux Droniou reviennent d'un séjour de deux semaines au Sénégal, au club Baobab. Leur second fils, en leur absence, est allé à Lourdes avec des copains de Saint-François-de-Sales. Il a rapporté à ses athées de parents une petite bouteille d'eau de la grotte. On la met dans un coin de la cuisine, à côté du savon.
Le samedi suivant, l'affaire commence. Gérard Droniou se rend près de Gap (Hautes-Alpes) pour participer à un concert avec l'orchestre de variétés de Jean-Robert Chapelet. Le spectacle achevé, la chanteuse de jazz du groupe, Odile Dauchez, naguère professeur d'histoire, lui tend une grande enveloppe: "Tu devrais lire ça..." "Ça", c'est le numéro de L'Express du 14 avril. Elle l'a feuilleté par hasard... au Mozambique, chez sa nièce, auprès de qui elle vient de passer ses vacances. Elle a été frappée par la ressemblance entre le musicien et - elle est fermement catholique - celui qu'on présente comme un béatifiable. De retour, elle fait part de son trouble à la pianiste de la formation, Carole Montmayeur. Qui réagit comme elle.
"LIS JUSQU'AU BOUT!"
Cette enveloppe qu'il a rapportée chez lui, Gérard Droniou néglige d'abord de l'ouvrir. Puis il parcourt 20 lignes de l'article, intitulé "De l'échafaud à la grâce". Aujourd'hui, il raconte: "Ça ne m'intéressait pas du tout. Pour moi, c'était un sujet de bondieuserie." Il renonce alors, lançant à son fils: "C'est pour le directeur de ton école!" Mais son amie Odile Dauchez insiste: "Lis jusqu'au bout!" Il cède. Et demeure perplexe: il est né en octobre 1954, le même mois que le Petit Gérard, dont la mère se prénommait Thérèse, comme la sienne.
Il téléphone à Jean Duchesne. A sa grande surprise, ce collaborateur de Mgr Lustiger ne lui raccroche pas au nez. Quasi instantanément, il est reconnu comme le Petit Gérard. Car le Révérend Père jésuite André Manaranche, auteur de la préface de "Dans cinq heures, je verrai Jésus" (le journal du supplicié, Fayard, 1989), la soeur Véronique, d'autres encore connaissent la véritable identité de Thérèse V. Thérèse Troniou! Confirmation supplémentaire (et involontaire) par la Ddass, à travers sa réponse de novembre 1987. Comme Droniou avait sollicité d'être renseigné au moins sur ses antécédents sanitaires, elle lui avait dit: "Votre mère, qui avait indiqué être ?malade pulmonaire?, a demandé de vos nouvelles jusqu'au 7 juin 1956..." En réalité, l'administration avait laissé à la mère un long délai de réflexion. Ce n'est qu'en 1964 qu'elle signera un abandon formel. Gérard Troniou a alors 10 ans: on ne peut lui attribuer un nom entièrement nouveau. D'où le changement du "t" initial en "d". Demi-mesure et mensonge total.
Sous le choc des révélations de mai dernier, le couple Droniou monte à Paris. Thérèse Troniou persévère dans son refus de revoir son fils. En revanche, chez les Toury, au Vésinet, le 27, l'accueil est chaleureux: "Je t'ai si longtemps cherché!" dit Véronique. "On te croyait adopté. On pensait qu'on ne te retrouverait jamais", poursuit son mari, Philippe. "Sans famille" la veille encore, Gérard Droniou en trouve une qui le rattache... à Napoléon - puisque les Fesch se réclament d'une parenté avec le cardinal, l' "oncle Fesch" de l'empereur. Et, de surcroît, c'est une famille très soudée! M. Fesch père, antisémite, avait tenté de briser le mariage de son fils avec Pierrette Polack, demi-juive. Véronique, leur enfant légitime, a - réconciliation de deux mondes - épousé, en Philippe Toury, son cousin, un petit-fils de M. Fesch.
Donc, on promet de se revoir bientôt. On ira tous ensemble à San Remo voir soeur Véronique. Accord parfait. Tout est bien qui finit bien.
Brusque changement de décor, le samedi 11 juin. Gérard Droniou déjeune au Vésinet. Pierrette Fesch est présente. A la fin du repas, elle le prend à part: "Tu n'es pas le fils de Jacques Fesch!" Véronique Toury ajoutera: "Mais rien n'est changé. Je t'aimerai toujours comme un frère." Le musicien s'étonne: pourquoi entrer dans une famille qui n'est pas la sienne? Péremptoire, Pierrette Fesch indique que son vrai père est Jacques R..., un ami de son époux qui partageait, selon elle, Thérèse avec lui, et que la justice a tenu pour son complice, jadis. Droniou va donc trouver Jacques R..., près de Cergy-Pontoise. Ce dernier tombe des nues. Déjà, quelques jours plus tôt, Philippe Toury est venu lui demander s'il n'avait pas connu Thérèse. Et ça recommence! "Mais non!" proteste cet homme qui, après une erreur de jeunesse, a bien réussi dans la vie, a eu quatre enfants. "Je n'ai pas connu Thérèse." Et, en janvier 1954 - c'est-à-dire quand le Petit Gérard a été conçu - il se trouvait, dit-il, à l'hôpital, après un accident de voiture. Qu'est-ce qui a donc poussé Pierrette Fesch à se montrer si catégorique - sans, apparemment, aucune preuve solide?
"J'AURAIS PU MAL TOURNER"
Ce n'est pas la seule énigme dans cette affaire. Gérard Droniou s'est rendu (seul), voilà deux semaines, à San Remo, au couvent des carmélites. Soeur Véronique a paru sûre de son fait: "Tu es le fils de Fesch. Quand ta mère l'a rencontré, elle était ??innocente''." Autrement dit: vierge...
Casse-tête aussi, peut-être, pour les juristes: quels sont les droits à héritage du fils adultérin, avoué, reconnu comme tel par testament spirituel? Droniou l'affirme avec force: il ne s'en soucie pas. "Mais, dit-il, désormais, je veux savoir la vérité. J'irai jusqu'au bout." Car pour lui, la vérité, c'est avant tout retrouver ses racines.
Cet homme blessé se penche désormais sur son passé. Un autre mystère pour lui. "Jeune, j'aurais pu mal tourner", confesse-t-il. A 16 ans, après une fugue de la maison du Creusot (Saône-et-Loire) où il avait été placé par l'AP, il a vécu en marginal. Maintenant, cet incroyant - et qui entend le rester - admet: "J'ai toujours eu de la chance. Comme si j'avais été protégé." Et puis, d'où vient sa passion pour la musique? Les David, la famille du Creusot (de braves gens chez qui il a passé son adolescence), estimaient que c'était "réservé aux riches". Malgré tout, il a tenu bon et a étudié dans des conservatoires.
Et, enfin, pourquoi la trompette? En lisant "Dans cinq heures..." et la préface du R.P. Manaranche, il a appris que Fesch jouait du trombone. Mais sa soeur, le 27 mai, a corrigé l'erreur: "Non, c'était de la trompette." L'instrument, selon le dies irae, du Jugement dernier.
PHOTOS: GERARD DRONIOU
LE R.P. MANARANCHE
ODILE DAUCHEZ
FESCH: DE L'ÉCHAFAUD à LA GRÂCE
1954. Jacques Fesch est un "fils à papa" de 24 ans quand il braque, pour s'offrir le bateau de ses rêves, un changeur du quartier de la Bourse, à Paris. Dans sa fuite, il blesse mortellement un policier avant d'être arrêté (photo).
1955. En prison, il a soudainement la révélation de Dieu. Ses écrits (lettres et journal) retraceront le cheminement de sa foi vers un profond mysticisme.
1957. Même si une partie de la presse s'est retournée en faveur de l'accusé, il est condamné à mort le 6 avril, et exécuté le 1er octobre.
1987. Le cardinal Lustiger, frappé par l'exemple de cette conversion (notamment pour les jeunes), ouvre la procédure en vue d'une éventuelle béatification de Fesch.
rose0001
Tous les lieux sont propices à l'évangélisation, même dans les conditions les plus difficiles....
rose0001
Tous les lieux sont propices à l'évangélisation, même dans les pires conditions.....
Catarina L'Amour
Merci beaucoup de cette jolie vidéo du très beau témoignage !
Dieu nous manifeste Sa Miséricorde en toute forme et en toute occasion suivant chacun, personnellement.
Quelle grande foi que ce jeune homme a découverte en lui !
Oui, la foi est un don de Dieu.
J'aime beaucoup aussi "Arvo PART" sinon je l'ai écouté avec beaucoup d'émotion parce que ce "Jacques FESCH" que je ne connaissais point, est …Plus
Merci beaucoup de cette jolie vidéo du très beau témoignage !
Dieu nous manifeste Sa Miséricorde en toute forme et en toute occasion suivant chacun, personnellement.
Quelle grande foi que ce jeune homme a découverte en lui !
Oui, la foi est un don de Dieu.

J'aime beaucoup aussi "Arvo PART" sinon je l'ai écouté avec beaucoup d'émotion parce que ce "Jacques FESCH" que je ne connaissais point, est né la même date que moi mais mort avant ma naissance.
Il est condamné à mort le jour de son 27ème anniversaire par la cour d'assises.
Mais s'il n'était pas exécuté, je ne le connaîtrais jamais sans doute...
C'est aussi un grand mystère des affaires divines.

J'ai aussi fait la même réflexion sur mes parents, etc...lors du décès de mon papa chéri que je détestais tant de son vivant, et cette réflexion m'a beaucoup aidée aussi pour la reconversion...oui, "c'est mon coeur qui est malade." !
Virgina
Plus de francis:
Merci beaucoup,c'est très intéressant et beau!
Jésus,miséricorde! 😇Plus
Plus de francis:
Merci beaucoup,c'est très intéressant et beau!

Jésus,miséricorde! 😇
blanche52
Magnifique ! quelle bonne idée d'accompagner une prédication si forte avec une si belle musique, on est transporté dans le Ciel !