Il est à noter qu’à cette époque l’on voyait donc des croix dans le ciel, et qu’à notre époque l’on voit dans le ciel : des soucoupes (pour le thé) des cigares volant (pour les fumeurs), des soucoupes en forme de seringue (vu par des infirmières) des escadrilles de soucoupes (vu par des joailliers).
Heureusement que plus trivial que cela ne volent pas…

Au sujet du livre (électronique), cette apparition du 17 décembre 1826 est examiné de façon qui se veut sérieuse, scientifique, tel ce passage de la page 26 :
Or nous affirmons, avec connoissance de cause, que tous les jeux de lumière dans les fluides ou milieux aéroformes ne peuvent donner que des lignes courbes, circulaires (…)

L’auteur examine toutes sortes d’hypothèses, évoque la vision de Constantin (la vision de la croix dans le ciel avant la bataille contre ses ennemis.)

La conclusion n’a pas vieillit : (extrait) « Ce signe nous avertit, il nous sollicite d’entrer dans celles de la justice, elles mènent à la vie. (…) Si Dieu nous le montre dans le Ciel, c’est pour nous y appeler. (…) Soyons désormais dignes du beau nom de chrétiens, alors nous le serons aussi de celui de bons Français. Les mauvaises mœurs, les divisions, les haines disparaitront : elles feront place à l’amour de Dieu, qui se confond avec l’amour des hommes, et les rend tous également heureux.