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Psaume 62
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Les sauvés seront-ils majoritaires après le Jugement dernier ? Réponse à cette question théologique complexe, comme nous le verrons, de l'article sur le nombre des élus du Dictionnaire de théologie …Plus
Les sauvés seront-ils majoritaires après le Jugement dernier ?

Réponse à cette question théologique complexe, comme nous le verrons, de l'article sur le nombre des élus du Dictionnaire de théologie catholique (Auteurs : Abbé Alfred Vacant, Chanoine Eugène Mangenot, Abbé Émile Amann, Imprimatur de l’Archevêque de Paris, 1910)
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Psaume 62
@Lothringer a écrit : " Certe l’Église n’a pas prononcé directement de dogme sur le petit nombre relatif mais elle déclare qu’on ne peut pas contredire les pères de l’Église sur une question de foi et de mœurs lorsque ceux-ci sont unanimes."
Réponse : En fait, ainsi que le démontre cet article du très autorisé Dictionnaire de théologie catholique (1910), contrairement à des préjugés …Plus
@Lothringer a écrit : " Certe l’Église n’a pas prononcé directement de dogme sur le petit nombre relatif mais elle déclare qu’on ne peut pas contredire les pères de l’Église sur une question de foi et de mœurs lorsque ceux-ci sont unanimes."

Réponse : En fait, ainsi que le démontre cet article du très autorisé Dictionnaire de théologie catholique (1910), contrairement à des préjugés hâtifs il n’est déjà pas prouvé que l’avis des Pères de l’Église soit unanime sur cette question. Et quand bien même cette unanimité serait-elle prouvée elle n'aurait pas été contraignante pour les catholiques car cette question n'est pas directement de foi et de moeurs comme le signale le fait que l’Église a sciemment laissé s’exprimer des avis lui étant contraires, en particulier celui du mystique le Vénérable F. Joseph de Saint-Benoit.

Citons les principaux extraits de cet article qui concernent en particulier l’autorité des Pères sur cette question :

« Cet avis des théologiens n'est qu'un écho de la doctrine des Pères de l'Église, et le R. P. Godts rappelle aux partisans de l'opinion large qu'« il y a obligation de respecter ou même d'admettre, sous peine de témérité, un enseignement des saints Pères ou des théologiens qui se rapproche sensiblement de l'accord unanime ». A. Vacant, Etude sur le magistère ordinaire île l'Église, Paris, Lyon, 1887, p. 60.
(...)
Avant tout il revient de remarquer que dans une question qui touche aussi lointainement et indirectement à la foi et aux mœurs que la question du nombre des élus, l’opinion même unanime des Pères et des théologiens ne peut imposer une manière de voir de préférence à une autre, si l’Église laisse la discussion libre .
(...)
Ces explications préalables étaient nécessaires pour bien comprendre la question qui se pose et qui partage aujourd'hui en deux camps les théologiens qui s'y intéressent. Réduite aux termes que nous avons fixés, on conçoit que la liberté de discussion est laissée au sujet des deux opinions. Sans nier la part de vrai qui existe dans leur affirmation par rapport à l'opinion trop large, il faut dire que le R. P. Godts et après lui dom Maréchaux, Du nombre des élus, Paris, 1901, ont exagéré, en refusant à leurs adversaires le droit d'opiner en faveur du plus grand nombre d'élus. On peut conclure avec le R. P. Jean-Baptiste du Petil-Bornand, dans les Études franciscaines, avril 1906 : « La question reste ouverte, et tout le monde reconnaît qu'on peut la discuter, parce que ni l’Écriture, ni la tradition ne sont suffisamment explicites et que l'Église ne s'est point prononcée. »
(…)
Le P. Godts, op. cit., a rassemblé les preuves que les partisans du petit nombre ont coutume d'apporter. Le P. Caslelein, S. J., Le rigorisme, la nombre des élus et la doctrine du salut, Paris, Bruxelles, 1899, a fait le même travail pour la thèse opposée. Comme ces deux auteurs ont épuisé à peu près la matière, c'est à eux qu'il faut recourir pour avoir le développement complet de la discussion.
(…)
L'Ami du clergé, loc. cit., nie purement et simplement que l'opinion, même unanime des Pères, constitue, dans le cas présent, une « tradition » catholique. Jamais, en effet, les Pères n'ont considéré la vérité en question comme une vérité enseignée par l'Église, c'est-à-dire comme une vérité révélée ou se rattachant à la révélation. On objecte (dom Maréchaux, op. cit.), qu' « on ne saurait dire que la question du nombre des élus soit étrangère à la foi et aux mœurs. L'avertissement de Notre-Seigneur : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite » a un incontestable retentissement sur toute la direction de la vie humaine. » Il y a ici une confusion évidente. Toute théorie qui a une répercussion directe ou indirecte en la conduite des fidèles n'appartient pas pour cela aux vérités « de la foi et des mœurs », telles qu'on les entend dans le langage thélogique. Il faut que ce soit une vérité révélée ou connexe à la révélation, et enseignée comme telle par le magistère de l'Eglise, dont le consentement unanime des Pères est une expression authentique. Or, que ce soit là le cas de la théorie du petit nombre des élus, c'est très contestable, c'est même, on peut l'affirmer, absolument faux. Jamais les Pères n'ont parlé en ce sens, et leur opinion, toute respectable qu'elle est, reste toujours une simple opinion. Saint Cyrille d'Alexandrie écarte même expressément du sens du texte sacré l'affirmation du petit nombre des élus : Non videtur autem Dominas satisfacere quaerenli utrum pauci sunt qui salvantur, dum déclarat viam per quam quisque potest fieri justus. Sed dicendum quod mos erat Salvatoris non respondere inlerrogantibus secundum quod eis videbatur, quoties inutilia quaerebant, sed respiciendo quod utile audientibus foret. Quid autem commodi proveniret audientibus scire an multi sint qui salvantur, an pauci ? Necessarius magis erat scire modum quo aliquis pervenit ad salutem. D'après la Catena aurea de S. Thomas, sur Luc, xiii, 23. Cf. S. Cyrille d'Alexandrie, Comment, in Luc, xiii, 23, P. G., t. lxxii, col. 776.

Mais la critique de la prétendue tradition exige encore une nouvelle remarque. Parmi les Pères dont on a compilé les textes en faveur du petit nombre des élus, la plupart sont postérieurs au IVe siècle, et plusieurs ne font pas autorité. Les anciens Pères et ceux dont l'autorité est incontestable ont sans doute fait appel à l’Évangile du pauci electi et de la porta angusta pour exhorter les fidèles à la pénitence, au renoncement, et à assurer par là leur salut; mais il serait inexact de voir dans ces leçons morales une préoccupation dogmatique au sujet du nombre des élus. La meilleure preuve en est que, lorsque les Pères traitent ex professo la question du salut des fidèles, leur langage n'est plus le même.
(...)
D'ailleurs, pour juger de la portée uniquement morale des textes invoqués chez les saints Pères, il suffit de se rappeler que le P. Godts signale comme favorable au petit nombre des élus des textes d'Origène... partisan de la doctrine du salut universel !
(…)
Notre conclusion se résume en ces deux points :

1° La tradition invoquée n'est pas celle qui s'impose, même simplement sous peine de témérité, parce qu'elle n'est pas circa res fidei et morum (en matière de foi et de moeurs).

L'opinion unanime des Pères en faveur du petit nombre des élus n'est ni aussi unanime, ni surtout aussi certaine que le veulent bien des théologiens rigides d'aujourd'hui.
(…)
Qui ne voit la part de vérité de ces arguments pour et contre ? Mais parce que les auteurs qui s'abritent derrière ne voient que leur point de vue particulier, ces arguments, trop exclusifs, ne portent pas. La thèse du petit nombre des élus peut produire des effets salutaires, par la juste crainte qu'elle inspire des jugements de Dieu; la thèse du grand nombre peut relever bien des courages abattus; mais qu'on y fasse attention, ce n'est point l'opinion du grand nombre ou du petit nombre qui obtient ce résultat heureux, c'est la pensée de la miséricorde ou de la justice divine qu'elle reflète. Mais aussitôt que de cette pensée on veut tirer autre chose que les enseignements qu'elle contient, on tombe dans l'exagération, dans l'exclusivisme, dans l'absurde.
(…)
VI. CONCLUSION (générale).Notre conclusion sera qu'on ne peut rien conclure au sujet du nombre relatif des élus et des damnés. Théologiquement, on peut préciser quelques points extrêmes au delà desquels la discussion ne semble plus légitime. En deçà, libre à chacun d'opiner comme il lui plaît : les raisons ne manquent ni dans un sens, ni dans l'autre; mais elles ne concluent péremptoirement en faveur d'aucune des deux thèses.

La seule conclusion possible à cet article est une conclusion morale, celle-là même que le P. Jean-Baptiste tire de sa remarquable étude sur le même sujet : « Or donc, puisque la providence divine, infiniment sage et bonne, veut bien nous laisser dans le doute et l'imprécision touchant la mystérieuse question du nombre des élus, il nous reste mieux à faire que de passer d'un excès à l'autre. Suivant l'invitation de l'Ecclésiaste, ou plutôt du Saint-Esprit, écoutons tous pareillement la fin de ce discours : Craignez Dieu et observez ses commandements, car le tout de l'homme, sa destinée, est là, non ailleurs. Eccle., xn, 13. D'autre part cependant, parce que Dieu veut le salut de tous les hommes, quoique pécheurs, nous avons auprès de lui un avocat, Jésus-Christ le Juste, qui est lui-même propitiation pour nos péchés, non seulement pour les noires, mais pour ceux du monde entier, 1 Tim., Il, 4; II Pet., m, 9. Allons donc avec confiance au trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver les secours appropriés à nos difficultés. Ileb., IV, 16. » Op. cit.

La question du nombre des élus peut être étudiée utilement dans un petit nombre d'ouvrages qui résument tous les autres et contiennent toutes les références possibles.

1° Opinion sévère. — F. X. Godts, C. SS. R., De paucitate salvandorum quid ducuerunt suncti? 3' édit., Bruxelles, 1899; dom B. Maréchaux, O. S. B., Du nombre des élus, Paris, 1910;J. Coppin, G. SS. R., La question de l'Évangile : « Seigneur y en aura-t-il peu de sauvés? » ou Considérations sur l'écrit du R. P. Castelein, S. J., intitulé : Le rigorisme et la question
du nombre des élus,
Bruxelles, 1899.

2° Opinion large. — A. Castelein, S. J., Le rigorisme, le nombre des élus et la doctrine du salut, Paris, 1899.

3° Critique des opinions. — R. P. Jean-Baptiste du Petit-Bornand, Simples notes sur la question du nombre des élus, dans les Éludes franciscaines, avril, juin, août et septembre éditées en une brochure à part, Paris, s. d. ; 2e édit., revue et augmentée, Paris, 1909; Ami du clergé, 1906, p. 1061. »
Thierry73
@Psaume 62 la thèse du grand nombre peut relever bien des courages abattus; mais qu'on y fasse attention, ce n'est point l'opinion du grand nombre ou du petit nombre qui obtient ce résultat heureux, c'est la pensée de la miséricorde ou de la justice divine qu'elle reflète.
Ces trois lignes résument parfaitement la pensée profonde de Sainte Thérèse (Docteur de l'Eglise) :
Moi, si j’avais commis …Plus
@Psaume 62 la thèse du grand nombre peut relever bien des courages abattus; mais qu'on y fasse attention, ce n'est point l'opinion du grand nombre ou du petit nombre qui obtient ce résultat heureux, c'est la pensée de la miséricorde ou de la justice divine qu'elle reflète.
Ces trois lignes résument parfaitement la pensée profonde de Sainte Thérèse (Docteur de l'Eglise) :
Moi, si j’avais commis, tous les crimes possibles,
Je garderais toujours la même confiance,
Car je sais bien que cette multitude d’offenses,
N’est qu’une goutte d’eau dans un brasier ardent

ou encore celle de Sainte Faustine Kowalska, suite aux révélations de Notre Seigneur Jésus-Christ : Sache, ma fille, que mon cœur est la miséricorde même. De cet océan de miséricorde, les grâces se répandent sur le monde entier. Aucune âme qui s'est approchée de moi, ne m'a quitté sans consolation. Toute misère sombre dans ma miséricorde, et toute grâce jaillit de cette source – salvatrice et sanctifiante. Ma fille, je désire que ton cœur soit la demeure de ma miséricorde. Je désire que cette miséricorde se répande sur le monde entier par ton cœur. Que quiconque t'approchera ne te quitte pas sans cette confiance en ma miséricorde que je désire tant pour les âmes. Prie autant que tu le peux pour les agonisants, obtiens-leur la confiance en ma miséricorde, car ce sont eux qui ont le plus besoin de la confiance et qui en ont le moins. Sache que la grâce du salut éternel pour certaines âmes dépend de ta prière. Tu connais tout l'abîme de ma miséricorde, puise donc pour toi et spécialement pour les pauvres pécheurs. Le ciel et la terre retourneraient plus vite au néant avant qu'une âme confiante échappe à ma miséricorde.
Le Seigneur Jésus-Christ a versé son Précieux Sang pour sauver toutes les âmes : nul doute que son sacrifice n'ait pas été vain aux yeux de son Père. En tout cas, merci cher Emmanuel pour cette publication !
Gérard de Majella
Bande d'hypocrite depuis Vatican II vous ne croyez plu un mots de ce que vous dite , vous ne parler que pour vous faire valoir .
Psaume 62
@Gérard de Majella Cher monsieur, avez-vous lu cet excellent article, sous imprimatur de l’Archevêque de Paris d'alors, du Dictionnaire de théologie catholique datant du début du XXe siècle ? Vos jugements téméraires d’intention ad personam sur les uns et les autres n’ont aucun intérêt et surtout ils vous exposent à être vous-même jugé sévèrement lors du Jugement divin ( Cf. Matthieu 7:1Plus
@Gérard de Majella Cher monsieur, avez-vous lu cet excellent article, sous imprimatur de l’Archevêque de Paris d'alors, du Dictionnaire de théologie catholique datant du début du XXe siècle ? Vos jugements téméraires d’intention ad personam sur les uns et les autres n’ont aucun intérêt et surtout ils vous exposent à être vous-même jugé sévèrement lors du Jugement divin ( Cf. Matthieu 7:1 ; Matthieu 12:36 ) voire, ce que je ne vous souhaite absolument pas, à être damné éternellement en cas d’endurcissement dans votre péché. Bon dimanche.
Psaume 62
@Troll hater judéophobe « Spina Christi 2 »
Ces paroles du Seigneur " Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent." sont à 100 % infaillibles, en revanche les interprétations téméraires, …Plus
@Troll hater judéophobe « Spina Christi 2 »
Ces paroles du Seigneur " Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent." sont à 100 % infaillibles, en revanche les interprétations téméraires, partiales et parfois imbéciles qui en sont faites, ne sont par définition pas infaillibles du tout. Le présent article érudit et brillant du Dictionnaire de théologie catholique (1910), qui a reçu en son temps l’approbation totale de l’Autorité enseignante et disciplinaire de l’Église et qui demeure encore aujourd’hui une référence théologique, démontre précisément en quoi beaucoup d’interprétations qui ont été effectuées sur ce type de paroles du Seigneur, sont très faillibles. Encore faut-il avoir lu cet article avant et au lieu de s’adonner à de la théologie de café du commerce et à de la polémique personnelle.
2 autres commentaires de Psaume 62
Psaume 62
En matière d’autorité doctrinale, à rebours d’une remarque idiote d’un commentateur, ce n’est pas le nombre de personnes ayant rédigé le Dictionnaire de théologie catholique (1910) qui compte mais bien la force de leur démonstration érudite sur telle ou telle question et le fait que ce Dictionnaire a reçu largement l’approbation de l’Autorité enseignante et disciplinaire de l’Église d’alors.
Psaume 62
A propos de remarque idiote, il me semble bien que c'est toi qui le premier a évoqué "l'unanimité", donc un rapport au nombre, des Pères de l'Eglise.
Réponse : 1) Ce n'est pas moi mais en l'occurrence "Lothringer" qui le premier a évoqué celle-ci. 2) L'unanimité n'est pas du tout un argument idiot quand il s'agit de l'unanimité des Pères de l'Eglise sur une question donnée qui concerne …Plus
A propos de remarque idiote, il me semble bien que c'est toi qui le premier a évoqué "l'unanimité", donc un rapport au nombre, des Pères de l'Eglise.

Réponse : 1) Ce n'est pas moi mais en l'occurrence "Lothringer" qui le premier a évoqué celle-ci. 2) L'unanimité n'est pas du tout un argument idiot quand il s'agit de l'unanimité des Pères de l'Eglise sur une question donnée qui concerne directement la foi et la morale. Dans ce cas il s'agit d'un argument d'autorité qui est contraignant pour la foi des catholiques, comme l'a relevé "Lothringer" qui a cité ce passage du concile de Trente (4ème session) : "1507 En outre, pour contenir les esprits indociles, il décrète que personne, dans les choses de la foi ou des mœurs concernant l'édifice de la foi chrétienne, ne doit, en s'appuyant sur un seul jugement, oser interpréter l’Écriture sainte en détournant celle-ci vers son sens allant contre le sens qu'a tenu et que tient notre sainte Mère l’Église, elle à qui il revient de juger du sens et de l'interprétation véritables des saintes Écritures, ou allant encore contre le consentement unanime des Pères, même si des interprétations de ce genre ne devaient jamais être publiées. (...)"
Sylvanus
@Psaume 62 Merci Emmanuel, de cet extrait de l'Encyclopédie catholique. C'est à la fois clair et fourni. Bon dimanche dans la grâce de Dieu. Sylvanus
Thierry73
@Psaume 62 Comme l'a si bien écrit ce matin notre ami Sylvanus, à nouveau merci pour cet extrait essentiel du Dictionnaire de théologie catholique !
Remarquez bien que ces pages viennent conforter l'Evangile de Saint Jean : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé …Plus
@Psaume 62 Comme l'a si bien écrit ce matin notre ami Sylvanus, à nouveau merci pour cet extrait essentiel du Dictionnaire de théologie catholique !
Remarquez bien que ces pages viennent conforter l'Evangile de Saint Jean : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie."