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Héros méconnu : Pourquoi personne ne connaît le Père Santiago Cantera ?

Le Père Santiago Cantera Montenegro, 47 ans, est le prieur du couvent bénédictin de la Valle de los Caídos, à 60 km au nord-ouest de Madrid, Espagne. Il s'est vigoureusement opposé à une exhumation …Plus
Le Père Santiago Cantera Montenegro, 47 ans, est le prieur du couvent bénédictin de la Valle de los Caídos, à 60 km au nord-ouest de Madrid, Espagne.
Il s'est vigoureusement opposé à une exhumation du Généralissime Francisco Franco (+1975) qui est enterré dans l'église abbatiale.
La Valle de los Caídos est un monument d'expiation et de réconciliation voulu par Franco qui a sauvé son pays du communisme pendant la guerre civile espagnole.
En août 2018, le gouvernement socialiste espagnol a ordonné l'exhumation des restes de Franco du mausolée, mais l'exhumation a été suspendue par la Cour suprême espagnole.
Toute action à l'intérieur de la Basilique nécessite l'autorisation de l'Église. Néanmoins, la violation de sépulture est prévue pour le 24 octobre.
La veille, le père Cantera dénonçait au pape François que l'exhumation de Franco ne respecte pas "l'inviolabilité" de la basilique.
En outre, le prieur a déposé une plainte devant un juge pour "accès non consenti" de la police à son église …Plus
Catholique et Français
Un nouveau grand livre accablant sur la Guerre d'Espagne (1936-1939), écrit par un homme de gauche qui a fini par regarder courageusement et honnêtement la vérité face à face >>> lesalonbeige.fr/lautre-visage-de-la-guerre-despagne/
Catholique et Français
Un député espagnol vient de brandir à la tribune de l'assemblée le Crucifix de son grand-oncle massacré à la hache par les communistes en 1936 : Vidéo ICI. Espérons que cet excellent homme ne subira pas le sort du député Calvo Sotelo dont l'assassinat à la suite de son discours en juin à l'assemblée espagnole fut le signal du début de la Guerre Civile; l'immonde communiste Dolorès Ibarruri …Plus
Un député espagnol vient de brandir à la tribune de l'assemblée le Crucifix de son grand-oncle massacré à la hache par les communistes en 1936 : Vidéo ICI. Espérons que cet excellent homme ne subira pas le sort du député Calvo Sotelo dont l'assassinat à la suite de son discours en juin à l'assemblée espagnole fut le signal du début de la Guerre Civile; l'immonde communiste Dolorès Ibarruri avait crié après ce discours magnifique : "Cet homme a parlé pour la dernière fois !"
1 autre commentaire de Catholique et Français
Catholique et Français
Lu sur le site catholique "Le Salon Beige" :
"De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :
Le gouvernement socialo-communiste qui règne actuellement sur l’Espagne a finalement réussi à obtenir l’exhumation du général Franco de la tombe qu’il occupait à El Valle de los Caidos.
La première chose qui frappe dans cette affaire, c’est que la gauche ne lâche jamais rien et poursuit de sa haine …Plus
Lu sur le site catholique "Le Salon Beige" :

"De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

Le gouvernement socialo-communiste qui règne actuellement sur l’Espagne a finalement réussi à obtenir l’exhumation du général Franco de la tombe qu’il occupait à El Valle de los Caidos.

La première chose qui frappe dans cette affaire, c’est que la gauche ne lâche jamais rien et poursuit de sa haine même les morts. On se souvient que, pendant la guerre d’Espagne, les Rouges n’hésitèrent pas à ajouter les profanations de sépultures aux multiples tortures qu’ils pratiquèrent. De ce point de vue au moins, on peut dire que les nationalistes, qui ne furent pas tous des enfants de chœur, étaient autrement plus civilisés que leurs adversaires.

La dépouille de Franco est ainsi une énième victime de la haine de la gauche.

Il faut dire que l’homme a de quoi énerver, puisqu’il fut l’un des très rares chefs militaires et politiques à battre militairement le communisme.

Mais cela même devrait en faire un personnage d’intérêt pour tout Européen un tant soit peu attaché aux libertés.

Au lieu de quoi, la quasi-totalité de la presse mondiale s’est réjouie de l’exhumation du « dictateur Franco ». Avez-vous remarqué comme les dictateurs de droite ont droit à l’énoncé systématique de cette « qualité », alors que l’on ne parle guère du « dictateur Staline » ou du « dictateur Mao », pourtant singulièrement plus sanguinaires que le général Franco ?

Au reste, Franco était un bien singulier dictateur, qui prépara sa succession des décennies avant sa mort afin d’assurer que l’Espagne puisse renouer avec la prospérité et les libertés, après les années noires de la guerre civile et la difficile reconstruction qu’il mena à bien.

Là aussi, il est frappant que les dictateurs de droite préparent souvent la transition démocratique, quand les dictateurs de gauche ruinent leur pays pour éviter tout « retour en arrière ».

Le plus impressionnant peut-être, dans cette sordide affaire, réside dans le symbolisme du lieu. El Valle de los Caidos (ceux qui sont tombés en espagnol) est un lieu superbe à quelques kilomètres de Madrid, où le général Franco, à la fin de la guerre civile, décida d’enterrer les morts des deux camps, installant un monastère pour prier pour le repos des âmes des morts.

Il est assez rare que le vainqueur d’une guerre civile pousse la magnanimité jusqu’à traiter ses anciens ennemis en frères et ce geste de paix aurait pu impressionner les commentateurs.

Cependant, c’est le contraire qui advint : El Valle de los Caidos est voué aux gémonies au motif qu’elle aurait été bâtie par des prisonniers politiques.

Soit, mais alors, de grâce, cessons de nous extasier devant les « admirables réussites » soviétiques ou chinoises qui doivent tant à des millions d’esclaves des camps communistes !

D’ailleurs, sait-on que les prisonniers politiques espagnols étaient volontaires et bénéficiaient d’une remise de peine pour construire El Valle de los Caidos (qui, soit dit en passant, n’était pas prévue pour être le « mausolée de Franco », comme le laissent croire les médias : ce n’est qu’après la mort de Franco que le roi Juan Carlos décida de l’y enterrer) ? Les prisonniers de Staline ont-ils bénéficié des mêmes avantages ?

Ajoutons que nous, Français, ne devons pas seulement à Franco d’avoir échappé au communisme. Nous lui devons également la défaite du nazisme, puisqu’il refusa à Hitler le contrôle de Gibraltar, qui aurait empêché les Alliés de prendre pied en Afrique du Nord.

Mais il est tellement plus facile de récrire l’histoire de façon manichéenne !
En tout cas, on mesure à quel point un procès international des crimes communistes serait utile pour relire l’histoire avec un peu de mesure."
Roy-XXIII
Quand Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN
Article → www.contre-info.com/quand-franco-sa…
Alors que la gauche s’en prend à la dépouille du sauveur de l’Espagne, rappelons cet épisode peu connu où Franco fit preuve d’une courageuse bienveillance envers les Français, en s’opposant courageusement à De Gaulle qui préférait qu’ils soient livrés …Plus
Quand Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN
Article → www.contre-info.com/quand-franco-sa…

Alors que la gauche s’en prend à la dépouille du sauveur de l’Espagne, rappelons cet épisode peu connu où Franco fit preuve d’une courageuse bienveillance envers les Français, en s’opposant courageusement à De Gaulle qui préférait qu’ils soient livrés à la barbarie du FLN. Quelques jours après, dans la même ville d’Oran, c’était le massacre (voir ici).

Texte de José Castano :

« Les 29 et 30 juin 1962, l’Espagne du général Franco vint au secours des Oranais malmenés par les sbires du général Katz, en affrétant 2 ferrys, le « Victoria » et le « Virgen de Africa »

Pour accoster le long des quais d’Oran, il fallut longuement parlementer avec les autorités françaises réticentes et même donner à la France un ultimatum, risquant un grave incident diplomatique…

Le 30 juin, à 10 h du matin, malgré l’opposition de De Gaulle, le général Franco donna l’ordre à ses capitaines d’embarquer cette « misère humaine » qui attendait depuis des jours sous un soleil torride, sans la moindre assistance, un hypothétique embarquement vers la France.

Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pauvres gens sans défense, abandonnés sur les quais d’Oran et menacés d’être exécutés à tout moment par les barbares du FLN. Joignant le geste à la parole, il ordonna à son aviation et sa marine de guerre de faire immédiatement route vers Oran.

Finalement, face à la détermination du général Franco et craignant un conflit armé, de Gaulle céda et le samedi 30 juin, à 13 h, deux ferrys espagnols accostèrent et embarquèrent 2 200 passagers hagards, 85 voitures et un camion.

Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent, cependant, s’opposer à la montée d’une compagnie de CRS sur leur bateau (propriété de l’Espagne) dans le but de lister tous les passagers et interpeller les membres de l’OAS fichés.

Ces capitaines expliqueront n’avoir jamais compris l’attitude arrogante et inhumaine des autorités françaises dans une situation aussi dramatique qui relevait essentiellement d’« assistance à personne en danger de mort »…

Contre vents et marées, finalement, à 15 h 30, les quais d’Oran, noirs de monde se vidèrent et les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge, à destination du port d’Alicante.

Durant toute la traversée, se mêlèrent les larmes de détresse, de chagrin… et de joie de ces pauvres gens en route vers leur nouvel exil, conscients d’avoir échappé au pire… Quand, enfin, la côte espagnole fut en vue, une liesse générale s’empara de ces « réfugiés » qui s’époumonèrent à crier avec des sanglots dans la voix « Viva España ! » … « Viva Franco ! ». Ils avaient, pour bon nombre d’entre eux, échappé à une mort programmée par les autorités françaises. Jamais ils ne l’oublieront !

En mémoire de Jean LOPEZ, coiffeur à Aïn-El-Turck (Oran) qui devait assurer mon embarquement et mon accompagnement jusqu’en Métropole (j’avais 15 ans). Jean fut enlevé précisément au port d’Oran par des ATO (auxiliaires de police du FLN). On ne le revit jamais…
A sa veuve et à ses deux filles, avec toute mon affection. »
Catholique et Français
Merci beaucoup ! Je ne connaissais pas cette histoire absolument bouleversante; on vit dans un monde qui a la tête en bas (oui, en bas...). Honneur et Gloire au Général Franco et honte à de Gaulle !
Roy-XXIII
Hommage au général Francisco Franco !
Article ► lebloglaquestion.wordpress.com/…/hommage-au-gene…
Testament du général Francisco Franco
« Au moment où arrive pour moi l’heure de rendre ma vie au Très-Haut et de comparaître devant son Jugement sans appel, je demande à Dieu de m’accueillir avec bonté en sa Présence, car j’ai voulu vivre et mourir en catholique. Mon honneur est dans le nom …
Plus
Hommage au général Francisco Franco !
Article ► lebloglaquestion.wordpress.com/…/hommage-au-gene…

Testament du général Francisco Franco

« Au moment où arrive pour moi l’heure de rendre ma vie au Très-Haut et de comparaître devant son Jugement sans appel, je demande à Dieu de m’accueillir avec bonté en sa Présence, car j’ai voulu vivre et mourir en catholique. Mon honneur est dans le nom du Christ, et ma volonté a été constamment d’être un fils fidèle de l’Église, dans le sein de laquelle je vais mourir.

Je demande pardon à tous, comme je pardonne de tout cœur à tous ceux qui se déclarèrent mes ennemis, sans que je les tinsse pour tels. Je crois et je désire ne pas en avoir eu d’autres que ceux qui le furent de l’Espagne, Patrie que j’aime jusqu’au dernier moment et que j’ai promis de servir jusqu’à mon dernier souffle, que déjà je sais proche.

Je veux remercier tous ceux qui ont collaboré avec enthousiasme, désintéressement et abnégation à la grande entreprise de faire une Espagne unie, grande et libre.

Pour l’amour que je ressens envers notre Patrie, je vous demande de persévérer dans l’unité et la paix et d’entourer le futur Roi d’Espagne, Don Juan Carlos de Borbón, de la même affection et loyauté que vous m’avez offert et de lui offrir, à tous moments, le même appui de collaboration que j’ai reçu de vous.

N’oubliez pas que les ennemis de l’Espagne et de la Civilisation chrétienne sont en alerte. Veillez, vous aussi, et dans ce but abandonnez, face aux suprêmes intérêts de la Patrie et du peuple espagnol, tout projet personnel.

Efforcez-vous d’atteindre la justice sociale et de donner la culture à tous les hommes d’Espagne, et faites de cela votre objectif primordial.

Maintenez l’unité des terres d’Espagne, exaltant la riche multiplicité de ses régions, comme source de la solidité de l’unité de la Patrie.

Je voudrais, en mon dernier moment, unir les noms de Dieu et de l’Espagne, et vous embrasser tous, pour que nous criions ensemble, pour la dernière fois, sur le seuil de ma mort :

Debout l’Espagne ! Vive l’Espagne !

¡ Arriba España ! ¡ Viva España !
»
Catholique et Français
Louis de Bourbon défend la mémoire de son arrière grand-père, le général Franco : www.lesalonbeige.fr/louis-de-bourbo…
GChevalier
Quelle idée d'aller se plaindre à l'Antéchrist ? Celui-ci en effet est complètement d'accord avec l'exhumation, car il déteste Franco parce que ce dernier était catholique tandis que Bergoglio est un païen convaincu : son culte idolâtrique à la Pachamama le prouve !
Catholique et Français
Haine infernale en Espagne (pour ne nous laissez pas succomber) "La pitoyable expulsion du cercueil du général Franco de la Basilique de la "Valle de Los Caïdos" est évidemment, comme nous l’avons déjà dit, d’abord une vengeance des «rouges». Cela se vérifie jusque dans nos médias où, malgré le long déclin électoral du parti communiste, les réseaux marxistes-léninistes sont, on le sait, …Plus
Haine infernale en Espagne (pour ne nous laissez pas succomber) "La pitoyable expulsion du cercueil du général Franco de la Basilique de la "Valle de Los Caïdos" est évidemment, comme nous l’avons déjà dit, d’abord une vengeance des «rouges». Cela se vérifie jusque dans nos médias où, malgré le long déclin électoral du parti communiste, les réseaux marxistes-léninistes sont, on le sait, demeurés non seulement importants et actifs mais exercent une influence d’intimidation.

Aussi n’y entend-on aucun commentaire comparatif sur l’opération en cours en Espagne et le maintien dans les mausolées de Lénine, le créateur de la Tcheka et du goulag et de l’œuvre génocidaire immense que Staline a continuée et de Mao-Tse-Toung, le plus grand exterminateur de l’histoire.

Certes la vengeance n’est pas seulement le fait des «rouges» mais aussi des continuateurs des autres forces de gauche et d’extrême-gauche qui constituaient en 1936 le camp dit des «républicains».

Oublié le fait que le parti communiste espagnol, dirigé d’une main de fer par les envoyés de Staline, avait autant pour mission d’éliminer radicalement les trotskistes, les anarchistes, les socialistes, les radicaux que le général Franco. Sous les ordres de l’homme de Staline, le sinistre soviétique Iagoda, officiait ainsi le chef des brigades internationales, le français André Marty, appelé le «bourreau d’Albacete». Partout, dans la zone républicaine, étaient mises en place des «checas» locales (nom espagnol dérivé de celui de la Tcheka soviétique) officines de terreur célèbres par leurs expéditions nocturnes d’enlèvements suivis d’assassinats et leurs pratiques de la torture.

Le parti communiste massacra bien sûr, entre autres, les milliers de prisonniers étiquetés de droite ou bourgeois, enfermés à la prison centrale de Madrid mais partout aussi dans ses prisons particulières des militants de gauche ou trotskistes étaient torturés dans des raffinements de cruauté.

Le parti communiste liquida somme toute plus de militants de gauche, socialistes, anarchistes, trotskistes que ne le firent les franquistes. En cette œuvre s’illustra le tristement célèbre commissaire soviétique Orlof.

Oubliés les massacres et tortures que s’infligèrent dans leur guerre civile, notamment à Barcelone, les communistes, les anarchistes de la F.A.I et les militants du P.O.U.M. La réciprocité dans l’horreur fonctionna parfaitement !

Oubliées bien sûr les abominations perpétrées par communistes et anarchistes contre les prêtres, les religieux, les séminaristes, les religieuses, assassinés par milliers !

Oubliés, entre autres, les huit cent personnes jetées dans un puits de mine à Alcazar de San Juan !

Oubliés les gens enterrés vivants, les brûlés vifs par centaines !

L’historien de la guerre d’Espagne Georges-Roux, qui n’était pas, tant s’en faut, un homme de droite et encore moins un franquiste, n’écrivait pas moins «Plus encore que le nombre des morts ce qui impressionne c’est la répétition des tortures. Presque toutes et les plus systématiques se sont malheureusement trouvées dans le même camp» (Historia février-mars 1980).

Oublié le témoignage apporté dès 1936 par la militante du parti radical et ex-député, Clara Campoamar brassant la fresque hallucinante des atrocités bolchéviques à Madrid où on relevait «chaque matin soixante, quatre-vingt ou cent morts aux alentours de la ville», assassinats perpétrés «par une populace rancunière et envenimée par une haineuse propagande de classe… massacrant et assouvissant leurs plus bas instincts» (Historia février-mars 1980).

Mais qui, dans nos medias parle aujourd’hui comme Annie Kriegel la grande éditorialiste et écrivain patriote française, de confession juive, repentie de son militantisme communiste qui, à la mort de Franco, rappelait que ce dernier avait d’abord empêché la mainmise communiste puis la mainmise nazie sur l’Espagne, évitant que l’Europe ne tombe toute entière d’abord sous la botte de Staline puis sous celle d’Hitler ?

Qui rappelle aujourd’hui que Franco fut, après Pie XII, le plus habile et le plus grand sauveur de juifs durant la seconde guerre mondiale, imposant notamment la protection de ceux de l’importante communauté de Salonique en Grèce en leur faisant donner la nationalité espagnole en tant que descendants des juifs d’Espagne expulsés en 1492 ?

Qui se souvient qu’au lendemain même de sa mort, le 21 novembre 1978, un «service spécial de gratitude et de prières» fut célébré à New-York dans la grande synagogue de Brooklin des juifs sépharades reconnaissants ?

Qui ose rappeler que le 8 juin 1970 le général De Gaulle alla rencontrer le général Franco peu après lui avoir écrit qu’il pensait que son régime avait été bénéfique pour l’Espagne déclarant : «Je voulais voir Franco avant de mourir» et le saluant ainsi : «J’étais De Gaulle, vous êtes Franco !» ?

Pathétiques misérables du mémoricide médiatique incapables de reconnaître la moindre qualité à l’adversaire, osant déclarer que le général Franco avait été un «piètre militaire» (sic !). Ce que ni De Gaulle, ni Churchill, ni Eisenhower ne pensaient.

Et voilà qu’aujourd’hui dans le bombardement médiatique de la pensée unique néo-totalitaire on martèle l’affirmation des «années noires de la dictature franquiste» où séjournaient cependant, chaque été, plus de quinze millions de touristes !

Certes, le régime du général Franco ne fut pas à tous égards exemplaire, ni sans erreurs, ni sans échecs, ni sans injustices. Mais il n’est pas nécessaire aujourd’hui de les rappeler face à l’énormité de la propagande idéologique rouge et noire pour approuver un acte qui déshonore le gouvernement espagnol et une royauté qui doit pourtant son rétablissement au général Franco. Ce ne sera hélas pas terminé !

Demain sera aussi enlevé le cercueil de José Antonio Primo de Rivera, l’homme qui voulait réconcilier les Espagnols de droite et de gauche, celui pour lequel le poète de gauche Federico Garcia Lorca écrivit le très bel hymne de la Phalange, le «Cara El Sol», celui que rejoignaient nombre d’anarchistes fraternels, celui qui fut iniquement condamné en 1936 par un tribunal révolutionnaire et fusillé dans un acte de pré-guerre civile.

Demain peut-être, comme le souhaitaient les rouges et noirs fanatiques sera aussi abattue la grande Croix de la "Valle de Los Caïdos" et rasés la Basilique et le monastère.
De plus ils ne veulent pas que les dépouilles des combattants des deux camps puissent demeurer dans la même terre, dans la même paix sous l’ombre tutélaire de la grande Croix. Ces matérialistes qui ne croient à aucun au-delà ne veulent d’aucune proximité des leurs, même après leur mort, avec l’ennemi qu’ils poursuivent de leur haine. Effroyable croyance en une haine immortelle, infernale !" (Bernard Antony in "Le Salon Beige")
Catholique et Français
Après la terrible mais victorieuse Croisade de 1936-1939, le général Franco est celui qui a épargné à l'Espagne les horreurs de la Deuxième Guerre Mondiale; lorsqu'Hitler est venu à la frontière franco-espagnole en 1940 pour exiger de lui de laisser passer la Wehrmart dans le but de s'emparer de Gibraltar, de verrouiller la Méditerranée et de faire basculer le sort des armes, le Caudillo, de …Plus
Après la terrible mais victorieuse Croisade de 1936-1939, le général Franco est celui qui a épargné à l'Espagne les horreurs de la Deuxième Guerre Mondiale; lorsqu'Hitler est venu à la frontière franco-espagnole en 1940 pour exiger de lui de laisser passer la Wehrmart dans le but de s'emparer de Gibraltar, de verrouiller la Méditerranée et de faire basculer le sort des armes, le Caudillo, de mêche avec le maréchal Pétain, a catégoriquement refusé, alors même qu'il n'avait aucun moyen de s'y opposer militairement. L'interprète du führer a raconté qu'Hitler avait dit à la suite de cet entretien cuisant qu'il aurait préféré qu'on lui arrachât une dents à la tenaille. Rappelons également que le docteur Salazar, patron du Portugal, était resté en contact téléphonique quasi-permanent avec Franco pendant ces heures où le sort de l'histoire aurait pu basculer, le combiné téléphonique dans une main et le Chapelet dans l'autre. Car il est bien vrai que Salazar, tout comme Franco après sa victoire, avait consacré son pays au Coeur Immaculé de Marie qui ne déçoit jamais. On imagine trop bien ce qu'il serait advenu entre 1939 et 1945 d'une Espagne dominée par les "Rouges", les "Républicains" (maçons, socialistes, anarchistes, communistes...) vainqueurs de la Guerre Civile et à la remorque des Démocraties maçonniques et de Staline... J'ai visité enfant l'Alcazar de Tolède qui a héroïquement résisté aux Rouges au tout début de la Croisade; c'était vraiment bouleversant et le bon guide, très ému, nous a raconté le sacrifice du jeune fils du colonel Moscardo (devenu plus tard général) qui a préféré donner sa vie plutôt que de céder au chantage de la racaille rouge et de voir son père renoncer à s'emparer de Tolède et à délivrer l'Alcazar et ses défenseurs.
ne nous laissez pas succomber
Merci pour ses choses que nous ignorions ,Merci
ne nous laissez pas succomber
Et dire que les entrevues de Mr Franco et le petit moustachu les "gauches nous les présente toujours comme des accords de Mr Franco et Le monstre Adolphe ; un peut de Vérité fait du bien merci .
Catholique et Français
Oui, mon beau-père, par exemple, disait sans rire que Franco était le meilleur ami et le fidèle allié d'Hitler ! Tout ça parce que le Caudillo avait autorisé des volontaires espagnols à partir en Russie pour combattre le communisme stalinien dans la division Azul, sous uniforme allemand. En fait, la politique de l'Espagne de 1939 à 1943 était également très influencée par le propre beau-frère …Plus
Oui, mon beau-père, par exemple, disait sans rire que Franco était le meilleur ami et le fidèle allié d'Hitler ! Tout ça parce que le Caudillo avait autorisé des volontaires espagnols à partir en Russie pour combattre le communisme stalinien dans la division Azul, sous uniforme allemand. En fait, la politique de l'Espagne de 1939 à 1943 était également très influencée par le propre beau-frère de Franco, Serrano Suner, le ministre des Affaires Etrangères trop favorable aux puissances de l'Axe; en permettant le départ des volontaires pour la Russie, Franco vit un moyen de se débarrasser des énergumènes et des excités pro-nazis, un moyen de remercier sans trop de frais Hitler pour son aide pendant la Guerre Civile, aide qui avait suivi et contrebalancé celle de Staline et des Démocraties aux Rouges et enfin un moyen de faire croire aux allemands engagés en Méditerranée qu'il les soutenait. Lors du tournant de la Guerre, en 1942/43, le fasciste Suner fut écarté du pouvoir et les restes de la division Azul furent rapatriées du front de l'est.
Roy-XXIII
Espagne : quand la gauche déterrait les cadavres de religieuses pour les profaner
www.contre-info.com/quand-la-gauche…
Dans les tout premiers mois de la Guerre civile espagnole, les Républicains ont publiquement abattu 12 évêques, 283 religieuses, plus de 5 200 prêtres et 1 740 moines.
On peut comparer avec les estimations les plus hautes (5 000 personnes) des condamnés de l’Inquisition espagnole …
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Espagne : quand la gauche déterrait les cadavres de religieuses pour les profaner
www.contre-info.com/quand-la-gauche…

Dans les tout premiers mois de la Guerre civile espagnole, les Républicains ont publiquement abattu 12 évêques, 283 religieuses, plus de 5 200 prêtres et 1 740 moines.

On peut comparer avec les estimations les plus hautes (5 000 personnes) des condamnés de l’Inquisition espagnole au cours de trois siècles… dont bizarrement on entend davantage parler.

Les Républicains espagnols ont aussi détruit des églises par centaines, profané des tombes de prêtres et religieuses afin d’exposer et souiller leur corps, utilisé les églises et statues comme cibles de tir, violé collectivement des nonnes et tué des civils parce qu’ils allaient simplement à la messe…

Alors qu’une offensive gauchiste aux Etats-Unis et en Europe s’en prend aux statues (et même aux tombes en Amérique), il est bon de se rappeler (sans même remonter aux horreurs de la Révolution française) jusqu’où peut aller, très vite, la folie gauchiste.


Attention : images choquantes www.contre-info.com/quand-la-gauche…
Catholique et Français
Les Rouges espagnols (ramassis de maçons, de socialistes, de communistes et d'anarchistes) ont même crucifié des catholiques pendant la Guerre Civile, comme les mahométans le font régulièrement !
ne nous laissez pas succomber
Merci de dire la vérité sur ce monsieur Francisco Franco et des exactions des "républicains socialo communistes de ses années et n'oubliez pas les gauches Françaises ont aussi pousser aux massacre , dit par Mon Père fin des années 1940 , suite aux discutions sur ce qui c'est passer en Espagne 1936 .
ne nous laissez pas succomber
@Catholique et Français , Et que pensé vous d'aujourd'hui (le pacte entre Herdogane et Poutine tout cela pour avaler un pays) ,( tout comme Adolphe et Staline pour avaler la Pologne ), es répétition de l'histoire ?et la troisième qui vient ?
blanche52
Tout va si mal partout ...
Didake37
Je me rappelle l'Espagne du temps du "Caudillo" en vacances enfant.nous nous sentions en sécurité.et quelle dévotion de la part des habitants ... 👌
ne nous laissez pas succomber
@Didake37 , merci , nous avions été dans les années 1960 , en vacance à Benicasime Hotel Azor nous pouvions aller partout tranquille et en sûreté, regardez aujourd'hui ils ce crêpe le chignons les pauvres Espagnol c'est triste très triste .