François : "L'Église synodale n'est plus dirigée par le haut" - "Une femme préfet est à venir".
"Il y a une grande hypocrisie. Et cela me préoccupe beaucoup, parce qu'en ce moment, l'Ukraine envoie au front des garçons de 20 ans. Le fait est qu'elle n'a pas beaucoup d'hommes, alors que la Russie en a beaucoup. Il est urgent de conclure un traité de paix, mais lorsque quelqu'un parle de paix, il commence à tourner autour de questions secondaires", a-t-il déclaré.
Interrogé sur la résolution des conflits, le fauteur de troubles et tyran François a mis l'accent sur le "dialogue" et a répété ses "quatre principes fondamentaux", qui sont très abstraits : "L'unité est supérieure au conflit, le tout est supérieur à la partie, la réalité est supérieure à l'idée, et le temps est supérieur à l'espace".
François a répété les mensonges contre les écoles catholiques du Canada, qui ont apporté l'éducation à des générations de Canadiens à la demande de leur gouvernement.
Malgré une propagande massive et 8 millions de dollars pour découvrir des "tombes anonymes", pas une seule "fosse commune" n'a été trouvée. Il continue d'affirmer : "L'histoire tragique des écoles, qui ont enlevé de force des enfants pour effacer leur identité indigène, exige de profondes excuses aux peuples indigènes.
Concernant l'ex-synode, François affirme que l'Église résout désormais les problèmes par le dialogue, en dépit de ses propres attitudes dictatoriales : "L'Église n'est plus du haut vers le bas. Ce ne sont plus les évêques, le pape, les prêtres, les religieuses, mais c'est l'Église d'en bas qui s'exprime et crée la communauté." Jamais dans toute son histoire, l'Église n'a été autant "descendante" que sous François.
François prétend que le "Saint-Esprit" apporte l'harmonie au milieu du chaos : "Une bonne Église serait une Église qui crée un peu de chaos, mais qui recherche toujours l'harmonie. Qui écoute tout le monde [sauf les catholiques]".
Il a également répété son faux slogan selon lequel "tout le monde, tout le monde, tout le monde" est le bienvenu dans l'Église : "Et les pécheurs ? Tous". Il a répété qu'il veut "tout le monde, tout le monde à l'intérieur" malgré "la moralité des gens" [par exemple : les racistes, les verts, les pédophiles...].
En même temps, ceux "qui ont une mauvaise volonté, une mauvaise disposition [= les pécheurs] doivent être écartés" : "C'est une chose de ne pas laisser entrer et une autre de faire sortir ceux qui sont déjà à l'intérieur et qui n'ont pas, comme le dit l'Évangile, l'habit de noces.
François, connu pour son dogmatisme hétérodoxe, estime que les "dogmatismes" nuisent à l'expérience religieuse : "Je me souviens que lorsque j'étais enfant, il y avait un dogmatisme, pour ainsi dire, selon lequel on ne pouvait pas aller visiter la maison de personnes divorcées parce qu'elles étaient en état de péché mortel. C'est curieux. C'était un dogmatisme, n'est-ce pas ?
Interrogé sur la manière dont il aimerait que l'on se souvienne de lui, François a répondu : "Je me dis que je suis un pauvre malheureux sur lequel Dieu a [soi-disant] fait preuve d'une grande miséricorde".
François estime qu'il a apporté de véritables transformations à l'Église : "Ce qui arrive maintenant, c'est une femme préfet d'un dicastère. Laissez les femmes entrer", a-t-il menacé.
Traduction de l'IA