En quelle année Paul Payan a enregistré la chanson suivante ? : « L'Étendard de Jeanne d'Arc »
Réponse de Copilot:
Paul Payan a enregistré la chanson L'Étendard de Jeanne d'Arc vers 1910, sur le label Aérophone (disque 1130). Détails sur l’enregistrement
Interprète : Paul Payan (1878–1959), chanteur français.
Titre : L’Étendard de Jeanne d’Arc.
Support : Disque 78 tours, publié par la marque Aérophone (référence commerciale 1130).
Date estimée : circa 1910 — les sources indiquent que l’enregistrement n’est pas précisément daté, mais se situe autour de cette période. Contexte historique
À l’époque, les enregistrements sur 78 tours étaient réalisés mécaniquement, sans microphone moderne. La voix était captée directement par un pavillon acoustique.
Le label Aérophone était actif au début du XXe siècle, produisant des disques destinés au marché francophone.
La chanson s’inscrit dans une tradition patriotique et religieuse, célébrant Jeanne d’Arc, figure nationale …Plus
Voilà, je l'ai retrouvé : youtube.com/watch?v=-5MrLxy-P5Q
C'est « la marche lorraine » que je cherchais et c'est peut-être le même interprète. Elle est magnifique, je vous laisse la mettre sur Gloria si vous le voulez.
Il y avait aussi celle-ci mais une seule version et bien moindre : youtube.com/watch?v=Ax5OuX-veFU
Le premier lien, c'est : La Marche Lorraine chantée
Je l'ai téléchargée, puis je viens de la mettre sur Gloria.
Bien que ce ne soit pas le même chant, il est complémentaire. J'ai aussi récupéré le texte lyric du chant qui est assez long, mais déjà les paroles sont plus facilement audibles que celle du disque de Paul Payan de 1910. Merci !
J'ai entendu une très belle version de celle-ci sur Youtube. Il faudrait que je la retrouve, il y avait plusieurs variations.
Pour ceux qui veulent explorer des vieux répertoires de musique 78rpm: Il y a cette page que je viens de trouver: Onkel Greifenklau
Pourquoi l'Église a t-elle condamné Jeanne d'Arc au bûcher ? Et Pourquoi une révision complète pour finir par la canoniser plus tard ?
En résumé : Jeanne d’Arc a été condamnée au bûcher en 1431 pour hérésie et sorcellerie, dans un procès manipulé par les Anglais et leurs alliés au sein de l’Église. Vingt-cinq ans plus tard, son procès fut annulé pour cause de nullité (1456), ouvrant la voie à sa réhabilitation. Elle fut finalement canonisée en 1920, après une longue évolution historique et politique. Pourquoi la condamnation en 1431 ?
Procès truqué : Jeanne fut jugée à Rouen par un tribunal ecclésiastique dirigé par l’évêque Pierre Cauchon, allié des Anglais. Le procès était une parodie de justice, destiné à discréditer Charles VII, qu’elle avait contribué à faire sacrer.
Accusations religieuses :
Hérésie et sorcellerie : ses voix célestes furent interprétées comme des illusions diaboliques.
Travestissement : elle portait des habits masculins, ce qui fut considéré comme une transgression grave des règles religieuses.
Motivations politiques :
Briser le moral des Français en éliminant leur héroïne.
Justifier l’occupation anglaise en présentant Jeanne comme une imposture.
Procès irrégulier : absence d’avocats, intimidation, manipulation des témoignages. Elle fut brûlée vive le 30 mai 1431, à 19 ans. Pourquoi la réhabilitation en 1456 ?
Initiative familiale : sa mère, Isabelle Romée, demanda au pape Calixte III de réexaminer le procès.
Procès en nullité (1455–1456) : des centaines de témoins furent entendus, confirmant sa piété et son rôle providentiel.
Verdict : le 7 juillet 1456, le tribunal déclara le procès de 1431 « entaché de vol, calomnie et iniquité ».
Conséquence : Jeanne fut officiellement réhabilitée, son honneur restauré, et son image transformée de « hérétique » en héroïne chrétienne. Pourquoi la canonisation en 1920 ?
Long chemin : après sa réhabilitation, Jeanne devint une figure nationale et religieuse. Elle fut béatifiée en 1909, puis canonisée par Benoît XV en 1920.
Contexte politique : au XIXᵉ siècle, Jeanne était revendiquée à la fois par les catholiques et les républicains comme symbole patriotique.
Canonisation : elle fut reconnue comme sainte pour sa foi, son courage et son sacrifice, devenant une figure universelle de sainteté et de résistance. Synthèse
Condamnation : procès manipulé par les Anglais, motifs religieux et politiques.
Réhabilitation : annulation pour nullité en 1456, reconnaissance de son innocence.
Canonisation : en 1920, elle devient sainte, symbole de foi et de patriotisme.
Veux tu que je fasse un parallèle entre Jeanne d’Arc et d’autres figures condamnées puis réhabilitées (par exemple Galilée ou les Templiers), pour montrer comment l’histoire requalifie certains procès injustes ?
C est ce Cochon de cochon tout comme Juda APOTRE de Jésus qui l a trahit. C est l homme qui est infidèle, Dieu ne trahit jamais. Dieu d Amour, de Vie et Vérité . Son église est parfaite, c est juste quelques un qui souhaitent la détruire de l interieur. Mais ils n y arriveront jamais !. La vie de ste Jeanne d Arc est presque un copier coller de la vie de notre Seigneur. C est tout à fait stupéfiant.
2 autres commentaires de Claudius Cartapus
Faut convenir qu'on comprend à peu près rien en écoutant, à moins de pouvoir lire le texte que Copilot m'a procuré, ainsi que sa date d'enregistrement, en 1910.
L'intégralité du texte :
Canons, battez tambours !
Et vous, cloches des cathédrales,
Ébranlez-nous comme au grand jour !
En ce moment la France toute entière
Est debout avec ses enfants
Pour saluer, comme nous, la bannière.
Refrain :
Étendard de la délivrance,
À la victoire il mena nos aïeux,
À leurs enfants il prêche l’Espérance,
Fils de ces preux, chantons comme eux,
Fils de ces preux, chantons comme eux,
Chantons comme eux,
Vive Jehanne, Vive la France !
---
Étendard blanc, aux noms bénis
Du Christ et de la Vierge Mère,
Tu fus l’orgueil de nos aïeux,
Tu fus leur guide et leur lumière.
Aujourd’hui, dans nos rangs rassemblés,
Nous saluons ta gloire immortelle.
(Refrain)
---
Patay, Beaugency, les Tourelles,
Reims, ces hauts lieux de nos combats,
Ont vu flotter ta noble étoffe
Au souffle ardent de nos soldats.
Et dans l’élan de la victoire,
Ton nom s’unit à notre histoire.
(Refrain)
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Croix et épée, en sainte alliance,
Ont fait surgir l’heure des grands jours.
Sous ton éclat, ô bannière sainte,
La France a retrouvé ses amours.
Et dans l’élan de l’espérance,
Nous chantons Jeanne et la France !
(Refrain)
Texte lyric de cette chanson de Paul Payan - L'Étendard de Jeanne d'Arc - 1910
Canons, battez tambours !
Et vous, cloches des cathédrales,
Ébranlez-nous comme au grand jour !
En ce moment la France toute entière
Est debout avec ses enfants
Pour saluer, comme nous, la bannière.
Refrain :
Étendard de la délivrance,
À la victoire il mena nos aïeux,
À leurs enfants il prêche l’Espérance,
Fils de ces preux, chantons comme eux,
Fils de ces preux, chantons comme eux,
Chantons comme eux,
Vive Jehanne, Vive la France !