Schneider : Nous ne sommes "pas dupes des jeux verbaux du Vatican".
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Il explique que le problème réside dans la "bénédiction" des concubins homosexuels, car le nom, la signification et le geste d'une bénédiction sont une sorte d'approbation pour quiconque utilise encore la raison et la logique.
Pour Schneider, l'affirmation selon laquelle la [pseudo] bénédiction de François se réfère au "couple" et non à l'"union" est un jeu de mots "qui ne peut convaincre personne". Une telle explication "contredit la logique élémentaire, et nous ne pouvons pas nous laisser berner par de tels jeux verbaux".
Une autre "tromperie, mensonge et fraude" pour Schneider est l'affirmation qu'il ne s'agit "pas d'une bénédiction liturgique", mais seulement d'une bénédiction spontanée "non-liturgique".
"On peut l'appeler comme on veut, mais il s'agit d'une bénédiction, et c'est pourquoi nous devons dire fermement que nous n'accepterons jamais une telle tromperie, un tel mensonge, une telle atteinte à la révélation de Dieu", qui dit clairement que "les actes homosexuels sont intrinsèquement mauvais en toutes circonstances, et que les couples homosexuels ou les unions homosexuelles sont en eux-mêmes une grave offense".
Schneider qualifie le texte de François de "message public contraire à la vérité de Dieu et à l'ordre de la création". Le Vatican devient ainsi "de facto une sorte de propagandiste d'une idéologie mondiale du genre anti-chrétienne et contraire à la dignité humaine".
Traduction de l'IA
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