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Roy-XXIII
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Abbé Fabrice Loiseau : « Ce qui compte dans l’islam n’est pas l’amour mais la soumission à la loi d’Allah » ...Plus
Abbé Fabrice Loiseau : « Ce qui compte dans l’islam n’est pas l’amour mais la soumission à la loi d’Allah »

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Spina Christi 2
La vipère
"En effet, il est possible d’être extérieurement plutôt fidèle aux commandements de Dieu et de l’Eglise sans être animé véritablement par l’amour de charité envers Dieu et le prochain."
Sinon, vipère, il y a aussi ce cas plus courant où il est possible d'être extérieurement plutôt infidèle aux Commandements de Dieu et de l'Eglise sans être animé véritablement par l’amour de …Plus
La vipère

"En effet, il est possible d’être extérieurement plutôt fidèle aux commandements de Dieu et de l’Eglise sans être animé véritablement par l’amour de charité envers Dieu et le prochain."

Sinon, vipère, il y a aussi ce cas plus courant où il est possible d'être extérieurement plutôt infidèle aux Commandements de Dieu et de l'Eglise sans être animé véritablement par l’amour de charité envers Dieu et le prochain.
Psaume 62
@Jean de Roquefort a écrit : « Non c'est exactement l'inverse, c'est l'Amour vrai qui fait se soumettre à la Loi, car on peut être soumis à la Loi sans Amour comme le faisaient les pharisiens, qui sont ceux qui ont le plus fait souffrir notre Jésus d'Amour. »
En effet, il est possible d’être extérieurement plutôt fidèle aux commandements de Dieu et de l’Eglise sans être animé véritablement …Plus
@Jean de Roquefort a écrit : « Non c'est exactement l'inverse, c'est l'Amour vrai qui fait se soumettre à la Loi, car on peut être soumis à la Loi sans Amour comme le faisaient les pharisiens, qui sont ceux qui ont le plus fait souffrir notre Jésus d'Amour. »

En effet, il est possible d’être extérieurement plutôt fidèle aux commandements de Dieu et de l’Eglise sans être animé véritablement par l’amour de charité envers Dieu et le prochain.
AveMaria44
@Jean de Roquefort Si vous m'aimez, gardez mes commandements. (Jn 14, 15)
Jean de Roquefort
@AveMaria44 Non c'est exactement l'inverse, c'est l'Amour vrai qui fait se soumettre à la Loi, car on peut être soumis à la Loi sans Amour comme le faisaient les pharisiens, qui sont ceux qui ont le plus fait souffrir notre Jésus d'Amour.
jeanderoquefort.free.fr/luisa_piccarreta.html.
Luisa Piccarreta est née un dimanche peu après Pâques, dans le village de Corato, en Italie, le 23 avril 1865…Plus
@AveMaria44 Non c'est exactement l'inverse, c'est l'Amour vrai qui fait se soumettre à la Loi, car on peut être soumis à la Loi sans Amour comme le faisaient les pharisiens, qui sont ceux qui ont le plus fait souffrir notre Jésus d'Amour.

jeanderoquefort.free.fr/luisa_piccarreta.html.

Luisa Piccarreta est née un dimanche peu après Pâques, dans le village de Corato, en Italie, le 23 avril 1865. Elle fut baptisée le même jour. Elle a vécu toute sa vie à cet endroit, sauf les mois où chaque année, au temps où elle était jeune, sa famille vivait à la ferme. Luisa est décédé en odeur de Sainteté peu avant d'atteindre ses 82 ans, le 4 mars 1947 ; après une vie tout à fait extraordinaire.
Luisa n'avait pas de frère, mais quatre sœurs. Son père se nommait Vito Nicola Piccarreta et sa mère Rosa Tarantini, tous deux de Corato. Très jeune, Luisa était timide et très peureuse. Elle avait souvent des cauchemars qui la rendaient très craintive du démon. Et souvent, dans ses rêves, elle voyait la Vierge Marie chasser le démon loin d'elle.
A ce sujet, Jésus a précisé à Luisa que le démon avait discerné que Dieu avait des vues très spéciale sur elle, qu'elle apporterait une très grande gloire à Dieu, et qu'elle serait une importante cause de défaite pour lui. Quelle que soit la façon dont il s'y prit , il ne parvint jamais à faire pénétrer en elle des affections ou des pensées impures, parce que Jésus y avait fermé toutes les portes à Satan. C'est pour cela qu'il était si furieux et essayait de la terrifier par des rêves effrayants, cherchant par tous les moyens à lui faire du mal.
A l'âge de 9 ans, elle fit sa première communion et, le même jour, reçut le sacrement de confirmation. L'Eucharistie devint sa passion prédominante ; elle y concentrait toutes ses affections. Dès cet âge, elle pouvait rester dans l'église, agenouillée et immobile, pendant quatre heures, dans la contemplation.
A 11 ans, elle devint "fille de Marie". A 12 ans, elle commença à entendre intérieurement la voix de Jésus, tout particulièrement quand elle communiait. Jésus devint son précepteur sur les choses de Dieu, la corrigeant et lui apprenant la manière de méditer. Et il lui donnait des leçons au sujet de la Croix, de la douceur, de l'obéissance et de sa vie cachée sur la terre. Cette voix intérieure amena Luisa au détachement d'elle-même et de toute chose.
Un jour à l'âge de 13 ans, durant qu'elle travaillait dans sa maison et réfléchissait sur la plus triste partie de la Passion de Jésus, elle devint tellement accablée qu'elle était sur le point de perdre le souffle. Elle se rendit alors sur le balcon du deuxième étage de la maison. Comme elle regardait en bas, elle vit au milieu de la rue une foule immense conduisant le doux Jésus avec sa Croix sur l'épaule, le tirant d'un côté et de l'autre. Jésus avait le visage tout ensanglanté et se débattait pour respirer. Il faisait pitié à ramollir les pierres. Alors, levant les yeux vers elle, Jésus lui dit : "âme, aide-moi !" . Il est impossible de décrire la tristesse qu'elle ressentit et l'impression déchirante que cette scène produisit en elle. Elle retourna rapidement à sa chambre, complètement sidérée, ne sachant plus où elle se trouvait, le cœur brisé de tristesse. Elle y pleura à torrents sur les grandes souffrances de Jésus.
A partir de ce moment, elle fut profondément inclinée à souffrir par amour pour Jésus. Vers cette époque aussi, commencèrent ses premières souffrances physiques, quoique cachées, ainsi que de grandes souffrances morales et spirituelles. Au bout de 3 ans, les assauts diaboliques tirèrent à leur fin. Quand elle eut 16 ans, alors qu'elle était à la ferme, les démons lui donnèrent un dernier assaut, si violent et pénible qu'elle en perdit l'usage des sens. Dans cet état, elle eut une nouvelle vision de Jésus souffrant. Mue intérieurement par de douces et amoureuses invitations de la grâce, Luisa s'abandonna totalement à la Divine Volonté et accepta le rôle de victime, pour lequel Jésus et la Douloureuse Mère la conviaient.
A l'âge de 17 ans, Luisa commença à vomir sa nourriture et fut obligée de garder le lit par intermittence. Tout ceci était inexplicable pour sa famille, les prêtres et les médecins. Plus tard, après beaucoup de souffrances morales venant de sa famille et des prêtres, on réalisa que son état résultait d'une maladie mystique correspondant à sa situation de victime volontaire en regard de la mission à laquelle Dieu l'avait appelée. A partir de cette époque et jusqu'à sa mort, quelque 65 années plus tard, Luisa vécut sans nourriture et sans eau. Sa nourriture consistait en la Divine Volonté et en la Sainte Communion.
A partir de 22 ans, elle dut garder le lit en permanence. Le 16 octobre 1888, à l'âge de 23 ans, Luisa fut unie à Jésus par les "épousailles mystiques". 11 mois plus tard, en présence de la Très Sainte Trinité et de toute la Cour céleste, son union avec Jésus fut ratifiée ; elle fut liée à Lui par le "mariage mystique".
En cette journée bénie, se produisit aussi le "prodige des prodiges" : Luisa, qui avait alors 24 ans, reçut le Cadeau de la Divine Volonté ! C'est le plus grand cadeau que Dieu puisse offrir à une créature, la grâce des grâces, beaucoup plus encore que le mariage mystique. A ce moment, le Troisième Fiat de Dieu (celui de la Sanctification) prenait forme sur la terre. Il se développera silencieusement, petit à petit, dans les âmes préparées par Marie, la Mère et Reine de la Divine Volonté.
En février 1899, par obéissance à son Seigneur et à son confesseur, Luisa commençait à écrire. Elle le fera durant 40 ans, mettant sur papier les plus sublimes secrets du mystère de la Divine Volonté. Le reste de sa vie fut un mélange de joies et de souffrances, d'écriture, de couture, d'obéissance, de prières, et d'aide aux autres avec beaucoup de sagesse et de tendres conseils. Jésus, le seul en qui elle pouvait avoir confiance, était sa seule consolation. Quand elle était privée de sa présence sensible, ses agonies pour les âmes étaient si profondes qu'elles surpassaient parfois les souffrances du Purgatoire.
Luisa fut admise de façon permanente dans les splendeurs éternelles le 4 mars 1947. Il y eut une incertitude au sujet du moment de sa mort durant 4 jours, vu que son corps n'était pas soumis à la rigidité habituelle. Cependant, il fut impossible de redresser son dos. Et ont dut fabriquer une tombe spéciale lui permettant d'y garder la position assise, la même qu'elle avait gardée pendant ses 64 années d'alitement.
47 ans plus tard, au début de 1994, le Vatican demanda à l'Archevêque de son diocèse natal de mettre en marche le processus pour sa béatification. Sa cause fut officiellement introduite le jour de la fête du Christ Roi, le 20 novembre 1994.

La douleur qui affligea le plus Notre Seigneur Jésus au cours de Sa Passion fut l'hypocrisie des pharisiens

Du tome 13 de l’œuvre « Le Livre du Ciel », message donné le 22 novembre 1921, pages 60 et 61 :

« Ma fille, la douleur qui m'affligea le plus au cours de ma Passion fut l'hypocrisie des pharisiens ; ils feignaient la justice alors qu'ils étaient les plus injustes. Ils simulaient la sainteté, la rectitude et l'ordre, alors qu'ils étaient les plus pervertis, en dehors de toute règle et dans un total désordre. Pendant qu'ils feignaient d'honorer Dieu, ils s'honoraient eux-mêmes, soignaient leurs propres intérêts, leur propre confort.
La lumière ne pouvait entrer en eux, car leur hypocrisie avait fermé toutes les portes. Leur vanité était la clé qui, à double tour, les enfermait dans leur mort et arrêtait même toute faible lumière. Même l'idolâtre Pilate a trouvé plus de lumière que les pharisiens, car tout ce qu'il a fait et dit découlait non d'une prétention, mais de la peur.
Je me sens plus attiré par le pécheur, même le plus pervers, s'il n'est pas fourbe, que par ceux qui sont meilleurs mais hypocrites. Oh ! Comme me dégoûte celui qui fait le bien en surface, prétend être bon, prie, mais en qui le mal et l'intérêt égoïste sont camouflés ; pendant que ses lèvres prient, son cœur est loin de moi. Au moment où il fait le bien, il pense à satisfaire ses passions brutales. En dépit du bien qu'il accomplit en apparence et des paroles qu'il prononce, l'homme hypocrite ne peut pas apporter la lumière aux autres parce qu'il en a verrouillé les portes.
Il agit comme un démon incarné qui, sous le déguisement du bien, tente les créatures. Voyant quelque chose de bon, l'homme est attiré. Mais lorsqu'il est au plus beau du chemin, il se voit entraîné dans les péchés les plus graves. Oh ! Combien les tentations qui se présentent sous l'apparence du péché sont moins dangereuses que celles qui se présentent sous l'apparence du bien ! Il est moins dangereux de traiter avec des personnes perverses qu'avec celles qui semblent bonnes mais sont hypocrites. Que de poisons ces dernières cachent ! Combien d'âmes n'ont-ils pas empoisonnées ?
Si ce n'était pas de ces simulations et si tous me connaissaient pour ce que je suis, les racines du mal seraient enlevées de la surface de la terre et tous seraient détrompés ».
AveMaria44
Dans le catholicisme c'est la soumission à la loi qui prouve l'amour....
Roy-XXIII
Ben si ! L'amour du mensonge
AveMaria44
Ah bon ce n'est pas l'amour qui compte dans l'islam ? 😲
Spina Christi 2
Ce pauvre abbé Loiseau ne sait plus quoi bafouiller devant l'évidence de la réalité, coincé qu'il est entre ses connaissances et convictions intimes quant à l'essence satanique de l'islam et le discours officiel de la hiérarchie au pouvoir dans l'Eglise ...
Notons que le site des "Missionnaires de la miséricorde Divine" s'oppose (très justement) aux textes conciliaires et aux propos de Jean-…
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Ce pauvre abbé Loiseau ne sait plus quoi bafouiller devant l'évidence de la réalité, coincé qu'il est entre ses connaissances et convictions intimes quant à l'essence satanique de l'islam et le discours officiel de la hiérarchie au pouvoir dans l'Eglise ...

Notons que le site des "Missionnaires de la miséricorde Divine" s'oppose (très justement) aux textes conciliaires et aux propos de Jean-Paul II qui professent les uns et les autres que les "musulmans adorent AVEC NOUS le Vrai Dieu" et que "chrétiens et musulmans nous croyons AU MEME Dieu, le Dieu unique, le Dieu vivant" ...


"Nous pouvons affirmer que les musulmans croient COMME les chrétiens en un Dieu unique, créateur, qui récompense les bons et punit les mauvais. Mais il faut éviter absolument de dire que nous avons le même Dieu et que nous avons les mêmes figures révélées."

misericordedivine.fr/Chretiens-et-mu…

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