LE SALUT SELON A. DUMOUCH, POINT FINAL ! Le salut selon A. Dumouch, point final ! (Abbé Guy Pagès): Si vous permettez avant d'aborder la question de l'islam, j'aimerais vous poser une question qui …Plus
LE SALUT SELON A. DUMOUCH, POINT FINAL !
Le salut selon A. Dumouch, point final !
(Abbé Guy Pagès):
Si vous permettez avant d'aborder la question de l'islam, j'aimerais vous poser une question
qui m'est venue après nos échanges concernant votre particularité si j'ose dire, qui est d'avoir
d'avoir avancé cette théorie que vous présentez comme la clé de voûte de la théologie et
qui est donc la façon dont Dieu sauve toutes les âmes à l'heure de la mort. Vous avez écrit ce livre
« L'heure de la mort » pour présenter cette trouvaille selon laquelle la mort est un passage qui permet au Christ et aussi aux à Satan à l'heure de la mort, pendant que l'âme est donc dégagée de la pesanteur de la matière, elle peut enfin faire un choix libre et définitif. C'est ça n'est-ce pas ? - (Arnaud Dumouch): Pas tout à fait, ils ont un choix parfaitement libre - (Abbé Guy Pagès): Voilà. - (Arnaud Dumouch): et définitif alors que sur Terre, sauf les handicapés mentaux, notre choix est volontairement de la part …Plus
Le salut selon A. Dumouch, point final !
(Abbé Guy Pagès):
Si vous permettez avant d'aborder la question de l'islam, j'aimerais vous poser une question
qui m'est venue après nos échanges concernant votre particularité si j'ose dire, qui est d'avoir
d'avoir avancé cette théorie que vous présentez comme la clé de voûte de la théologie et
qui est donc la façon dont Dieu sauve toutes les âmes à l'heure de la mort. Vous avez écrit ce livre
« L'heure de la mort » pour présenter cette trouvaille selon laquelle la mort est un passage qui permet au Christ et aussi aux à Satan à l'heure de la mort, pendant que l'âme est donc dégagée de la pesanteur de la matière, elle peut enfin faire un choix libre et définitif. C'est ça n'est-ce pas ? - (Arnaud Dumouch): Pas tout à fait, ils ont un choix parfaitement libre - (Abbé Guy Pagès): Voilà. - (Arnaud Dumouch): et définitif alors que sur Terre, sauf les handicapés mentaux, notre choix est volontairement de la part …Plus
Etienne bis
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Ne perdons pas notre temps avec des Dumouch. Que le vent lui souffle au derrière.
Désolé, là c'est l'Abbé Pagès qui s'est planté, même si Dumouch de son côté se plante en usant de l'analogie : quand Jésus parle du "Fils de l'homme", il se réfère à Daniel en rapport avec sa venue dans la gloire, pas à ce qui a trait à la fin de la vie humaine ; il ne parle d'ailleurs jamais de jugement à ce propos, seulement en rapport avec sa venue glorieuse.
L'Abbé Pagès commet en fait …Plus
Désolé, là c'est l'Abbé Pagès qui s'est planté, même si Dumouch de son côté se plante en usant de l'analogie : quand Jésus parle du "Fils de l'homme", il se réfère à Daniel en rapport avec sa venue dans la gloire, pas à ce qui a trait à la fin de la vie humaine ; il ne parle d'ailleurs jamais de jugement à ce propos, seulement en rapport avec sa venue glorieuse.
L'Abbé Pagès commet en fait la même confusion : Mt 25, 31-46 commence par « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui etc.".
Il lit ce texte comme s'il décrivait un jugement par Jésus de chaque défunt et en fait une lecture moralisante, voire ... islamique, puisqu'il est question alors d'une balance entre les actes bons et les actes mauvais - si la balance penche du mauvais côté, c'est cuit.
Cette lecture est hors contexte : le contexte a trait à la Venue glorieuse, ou plus probablement encore à la fin du temps de cette Venue-Présence (parousia en grec).
L'Abbé Pagès est un excellent défenseur de la foi face à l'islam, mais pas plus théologien que Dumouch.
L'Abbé Pagès commet en fait la même confusion : Mt 25, 31-46 commence par « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui etc.".
Il lit ce texte comme s'il décrivait un jugement par Jésus de chaque défunt et en fait une lecture moralisante, voire ... islamique, puisqu'il est question alors d'une balance entre les actes bons et les actes mauvais - si la balance penche du mauvais côté, c'est cuit.
Cette lecture est hors contexte : le contexte a trait à la Venue glorieuse, ou plus probablement encore à la fin du temps de cette Venue-Présence (parousia en grec).
L'Abbé Pagès est un excellent défenseur de la foi face à l'islam, mais pas plus théologien que Dumouch.