François s'insurge contre les jeunes prêtres
Le mythe vieux de plusieurs décennies d'un "Vatican II non appliqué" est une forme de déni de la réalité. L'œuvre de destruction de François est un Vatican III de facto.
Comme d'habitude, lorsqu'il parle des catholiques, François se met en colère, affirmant que le "traditionalisme" est entouré de "problèmes moraux", de "vices graves" et de "doubles vies". La réalité est toute autre : l'immoralité, les vices et les doubles vies ont explosé lorsque le clergé a abandonné la foi et la tradition dans les années 1960 et a couru après l'idéologie de Vatican II.
François a déclaré : "Je n'aime pas la rigidité parce qu'elle est un mauvais symptôme de la vie intérieure. Le pasteur ne peut pas se permettre d'être rigide". Réalité : Le mandat de François a été le plus rigide et le plus impitoyable depuis des décennies.
Il aspire à des séminaristes qui n'ont pas le visage d'un saint, mais qui sont "normaux", qui "jouent au football, qui ne vont pas dans les quartiers pour dogmatiser". Dans les faits, cette attitude attire vers la prêtrise des hommes cherchant une vie facile sans travail, où la paresse est récompensée par un bond dans la carrière.
On a récemment dit à François que la "rigidité des jeunes prêtres" est due au fait qu'ils sont fatigués du relativisme actuel [= indifférence religieuse].
Selon François, les jeunes prêtres devraient être accompagnés par des clercs "vivants et ayant dépassé l'âge mûr". Il espère qu'une fois que les jeunes prêtres verront que l'accueil de Vatican II n'est pas "une menace" pour le magistère, ils "s'adouciront" [= deviendront indifférents].
François a peur des gens qui vivent "enfermés dans des manuels théologiques", "incapables de s'attaquer aux problèmes" et de "faire avancer la théologie". La réalité est là : les prêtres Novus Ordo sont accros aux téléphones portables, pleins de problèmes, et ne savent même pas comment épeler "théologie".
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