François : La dimension spirituelle de l'homme n'est pas moins importante que sa santé - Vraiment ?
Il a décrit son accord secret avec la Chine, qui a trahi les catholiques locaux, comme étant "de nature essentiellement pastorale" et a exprimé sa confiance dans le fait que le processus entamé peut être poursuivi dans un esprit de respect et de confiance mutuels.
Concernant le confinement du covid-19, il a dénoncé une "catastrophe éducative" et une limitation de la liberté de culte qu'il a lui-même imposée au Vatican et à l'Église italienne : "Nous ne pouvons pas considérer la dimension spirituelle et morale de la personne humaine comme moins importante que la santé physique", a-t-il affirmé, alors que ses actions dans le cadre de Covid-19 se concentrent principalement sur la seconde.
François veut que le covid-19 permette de "repenser le rapport entre les individus et l'économie". Selon lui, il faut une sorte de "nouvelle révolution copernicienne" [qui n'aura jamais lieu] qui mette l'économie au service des hommes, et non l'inverse.
Il a utilisé la prochaine conférence des Nations unies sur le changement climatique de Glasgow pour répandre plus d'alarmisme et de peur : "Il est temps d'agir, car nous ressentons déjà les effets d'une inaction prolongée".
Pourquoi François se plaint-il de "l'inaction prolongée" alors que dans sa propre Eglise, "l'inaction prolongée" face à des questions brûlantes est la règle ?
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