François et les orthodoxes : Le problème vient des "préjugés" ?
Pour François, le moment est venu "d'abattre les anciens préjugés" - comme si les "préjugés" étaient le problème - et "d'entamer une nouvelle phase des relations entre nos Églises, marquée par une marche plus proche, par le désir de faire de vrais pas en avant, par une plus grande volonté d'être vraiment responsables les uns des autres."
Cette "communion croissante" devrait favoriser "une fraternité plus universelle", espère François.
Il a répété ce qu'il avait déjà exprimé dans une lettre de novembre 2020 : qu'il espère la "restauration de la pleine communion exprimée par la participation au même autel eucharistique."
François a en outre déclaré que pour lui, il n'y a "qu'une seule chose" plus grave que cette "crise" du COVID, à savoir "le risque que nous la dilapidions, et que nous n'apprenions pas la leçon qu'elle nous enseigne".
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