Justification d'un crime de haine : Une statue de Jean-Paul II vandalisée
La base de la statue a été maculée de dizaines de tampons rouges représentant des mains et des pieds. L'incident s'est produit samedi soir à 23 h 10. Une vidéo de surveillance montre une femme à l'origine de l'acte.
Andrzej Makarewicz, de la section albertaine du Conseil polonais canadien et membre de la paroisse concernée, a déclaré à Ici.Radio-Canada.ca (27 juin) qu'il considérait l'incident comme une attaque contre la communauté polonaise : "Quelqu'un voulait faire du mal à notre communauté, il nous a poignardés au cœur."
Les Polonais n'étant pas juifs ou musulmans, l'enquête n'est pas menée par la Division des enquêtes sur les crimes de haine et l'extrémisme violent.
Le même jour, deux églises catholiques ont été incendiées dans le sud de la Colombie-Britannique. Deux autres églises catholiques ont brûlé dans l'Okanagan au début de la semaine dernière.
En se référant aux "autorités locales", Ici.Radio-Canada.ca a justifié ces crimes en qualifiant ces exactions de "protestation" contre le rôle présumé de l'Église dans la gestion des pensionnats au Canada.
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