@ladoctrineSi on vous parlait d'un saint François qui - par exemple - aurait simplement fait coucou de loin à un lépreux plutôt que de l'embrasser, qui aurait été pauvre, mais sans dédaigner de boire une bonne bière le dimanche et de se vêtir un peu mieux pour l'occasion, qui serait parti évangéliser les maures mais qui aurait fait demi tour dès qu'il aurait eu la certitude que cela était voué à l'échec, qui aurait prêché l'amour, mais aurait fait jeter en prison quelques-uns de ses ennemis etc... etc... etc... :
Pour vous, c'est bien toujours le bon vieux saint François d'Assise, pur fruit pur sucre, canonisé par l'Eglise ( que Dieu me pardonne ! ), sans faux col ???
C'est n'importe quoi. Ladoctrine, avouez que vous ne savez rien sur les deux formes de la messe, et que vous ne voulez rien en savoir. Vous appliquez simplement un théorème pour vous rassurer.
CE QUI EST SAINT EST SAINT, ET NE CHANGE PAS !Plutôt que de changer à sa guise la vie d'un saint François, on en reçoit humblement la Sagesse qui vient du Ciel.
Plutôt que de changer à sa guise un rite qui fut canonisé solennellement par saint Pie V ( pour qu'on ne le change pas à sa guise ) , on fait exactement de même : on en reçoit humblement la Sagesse qui vient du Ciel.