Un « pape » en train de bouffer des croissants avec des immigrés (sont-ils catholiques ?) dans une église. En tournant le dos à Jésus-Hostie présent au tabernacle. Quand on croit avoir déjà tout vu...
Ce sont probablement des mahométans : François a toujours préféré les mahométans aux catholiques.
S'il avait fait 250 kms de plus, François pouvait aller réconforter et prendre le petit-déjeuner, boire du café et manger des croissants avec la famille de la petite catholique française Philippine qui vient d'enterrer hier, au milieu d'une grande foule, sa fille assassinée et probablement violée par un "migrant" mahométan sous injonction de quitter le Territoire Français car il avait déjà violé une autre jeune femme il y a quelques années. Mais il a préféré prendre le petit-déjeuner avec dix migrants et sans-abri triés sur le volet dans l'église Saint-Gilles de Bruxelles. Ils ont bu du café et mangé des croissants.
M. @Catholique et Français - quel nom abject et ridicule ! -, c'est François 1er lui-même qui vous parle. Je vous prie de retirer ce message diffamatoire, faisant l'amalgame entre mes gentils migrants triés sur le volet mangeurs de croissants , et cet affreux migrant qui avait choisi l'hospitalité française, preuve de son absence totale de goût. Je vous prie également de mettre une pachamama en bois sur votre table de nuit, dans le cas où un migrant adorateur de cette divinité voudrait venir y faire ses dévotions. Moyennant quoi, nous pourrions nous rencontrer pour fumer le café croissant de la paix, dans n'importe quel lieu de culte, sauf bien sûr en France ou en Argentine, mes pays détestés.
Bien à vous, en n'importe quel prophète, selon votre religion :
François Bergoglio.
C'est peut-être pour les offenser et les stigmatiser que l'on offre des croissants à des musulmans ?! Où va se cacher l'islamophobie, quand-même ...
Comment (et quand) les croissants sont-ils arrivés en France ?
Un scandale de plus !
1. Il n'agit pas en pape mais comme un représentant de commerce.
2. Dans ce contexte, il utilise puis jette des "amis" (en supposant qu'il en ait).