04:55
Femmes en voile dans l'Église / Ladies in Veil at the Church
Titus Mobi
Félicitations à votre grand-mère pour le respect qu'elle portait à Notre Seigneur Jésus
U S Spacy
Merci
Hélène33
Je ne suis pas très d'accord avec ce qu'il est écrit : porter le voile est un choix très difficile à faire... Pas vraiment, car quand on est catholique, on accepte tout ce que l'Église enseigne et commande, quand bien même, à l'impossible, on serait le seul sur terre à le faire ou qu'on n'en comprendrait pas la raison avec les lumières naturelles de la raison. On obéit sans voir, sentir ni …Plus
Je ne suis pas très d'accord avec ce qu'il est écrit : porter le voile est un choix très difficile à faire... Pas vraiment, car quand on est catholique, on accepte tout ce que l'Église enseigne et commande, quand bien même, à l'impossible, on serait le seul sur terre à le faire ou qu'on n'en comprendrait pas la raison avec les lumières naturelles de la raison. On obéit sans voir, sentir ni goûter, car Dieu l'a dit.
Pardonnez ma redondance : je me dois de décrier, en charité, la vanité de ces femmes qui se maquillent et qui mettent du vernis à ongles. Notre-Seigneur a dit que son Royaume n'était pas de ce monde. Si donc on veut être son disciple, il faut renoncer à ce monde trompeur et prendre la voie étroite qui mène au Ciel : la voie de la mortification et de la mort à soi-même. Je répète encore les règles de la modestie : les manches courtes ne sont pas permises, il faut qu'elles descendent au minimum jusqu'aux coudes. Le décolleté ne doit pas descendre plus de la largeur de deux doigts depuis la naissance du cou, la jupe doit descendre plusieurs pouces en bas des genoux et les jambes ne doivent pas être découvertes, les bas ne doivent pas être de couleurs chair donnant l'impression que le bas de la jambe est nue. (pour plus de détails voir à partir de la page 25 : À une époque funeste où la sainte vertu de modesti… )
Avis aux dames. Extraits tirés du livre La sainte Messe, du Père Cochem :
'' Thomas Morus dit un jour à une jeune fille vêtue avec une recherche excessive : : « Si, en récompense du soin que vous prenez, le Dieu juste ne vous donne pas l'enfer, il commettra certainement une criante injustice. » Avis à toutes les femmes trop occupées de plaire. « Êtes-vous une fiancée se rendant à ses noces? demandait un jour saint Jean Chrysostome à une personne de ce genre qui entrait dans l'église. Si vous allez dans le lieu saint pour implorer miséricorde, pourquoi ce luxe? Est-ce là une livrée de chrétienne repentante? Non seulement vous ne sortirez pas justifiée, mais vous augmenterez le nombre de vos dettes, vous provoquerez de nouveau sur vous la colère du Ciel. »
Les personnes parées avec excès font beaucoup de mal dans l'église, car elles détournent de l'autel les regards des hommes, à qui, le démon aidant, elles inspirent de criminels désirs. • Elles offrent du poison à leur prochain, écrivait saint Jérôme à Népotien. Or, celui qui prépare le poison commet un péché grave, que la personne à laquelle il le destine le boire ou non. Ces femmes dangereuses se rendent donc très coupables par le seul fait qu'elles présentent à tous un breuvage mortel ; d'autant plus coupables qu'elles agissent ainsi à l'église, pendant la Messe, alors qu'elles devraient expier leurs fautes. » Le langage de saint Ambroise n'est pas moins sévère : « Plus une femme se montre magnifique devant les hommes, dit-il, plus abominable elle est devant Dieu ; plus elle est louée du monde, plus elle est méprisée et détestée de Dieu. »

Écoutez le sévère mais juste langage du Père Jean Lejeune, de la congrégation de l'Oratoire : « La charité, la chasteté, la pénitence n'étouffent pas toujours l'amour de la parure. » — « Les toilettes coupables, dit-il ailleurs, sont semblables au feu de l'enfer, qui brûle sans consumer. » Par là, les femmes perdent les âmes : mais leurs victimes, hélas! ne sont pas seulement les pécheurs ; les justes subissent comme les autres les atteintes de ces flammes dévorantes. Aussi le saint religieux ajoute : « Les vains ornements sont des torches qui communiquent le feu du péché ; ce sont des présages de la réprobation éternelle. »

Toutes les femmes, toutes les jeunes filles vaniteuses devraient méditer avec effroi ces paroles. Si une personne chaste, charitable, pénitente, mais trop portée au luxe, court, par ce seul fait, le risque de perdre éternellement son âme, comment celles qui joignent à ce goût immodéré l'impudicité, l'impénitence et la dureté de cœur se sauveront-elles? Si une mise élégante est une torche qui enflamme les justes eux-mêmes de désirs impurs, combien ne troublera-t-elle pas davantage les jeunes gens inconsidérés? Effet à redouter surtout pendant la sainte Messe, durant laquelle les regards hardis recherchent d'ordinaire les personnes belles et attrayantes, et où le péché est beaucoup plus grand, en raison du temps et du lieu. ''

Voyez la photo de la famille Giannini, cette bienheureuse famille qui a eu la grâce d'accueillir chez-elle l'orpheline sainte Gemma Galgani ; la vierge stigmatisée. Ici on voit une photo où la sainte n'est pas présente. On voit les parents, leurs 12 enfants et tante Cecilia (la soeur du père de famille). Remarquez la modestie chrétienne sans faste ni vanité.
Les saints, nos modèles.
U S Spacy
Ma grand-mère portait un voile pour aller à l'église.
Ludovic 2Nîm
Cela ne semble rien d'extraordinaire quand on regarde des vieilles photos de nos régions et de leurs traditions vestimentaires où les hommes également avaient coutume de porter un béret ou un autre type de chapeau (hors des églises évidemment pour les hommes).
AveMaria44
Eh oui, cela fait partie de la civilisation, les apostats ne savent plus s'habiller. Tous les costumes régionaux étaient décents et beaux.