Le cardinal Müller parle du "poison qui paralyse l'Eglise".
"La crise dans l'Eglise est due à l'homme", a prêché le cardinal Gerhard Müller à des milliers de catholiques réunis pour le Student Leadership Summit de Phoenix le 1er janvier.
Selon lui, " le poison qui paralyse l'Eglise " consiste à s'adapter à l'esprit de l'époque, à relativiser les commandements et à réinterpréter la doctrine révélée.
Il en résulte un catholicisme sans dogmes, sans sacrements, et un magistère infaillible.
Cependant, celui qui croit n'a pas besoin d'idéologie [environnementaliste, homosexualiste ou progressiste]", a-t-il expliqué.
Les appels à la "modernisation" exigent que l'Église renonce à sa prétention de vérité, au profit de la construction d'une "nouvelle religion d'unité mondiale" que Müller a qualifiée de "religion civile".
Cependant, Dieu ne peut pas être changé par les caprices de la société, a-t-il dit.
Image: Gerhard Ludwig Müller, © Mazur, CC BY-NC-SA, #newsBpyrjlxhbk
Selon lui, " le poison qui paralyse l'Eglise " consiste à s'adapter à l'esprit de l'époque, à relativiser les commandements et à réinterpréter la doctrine révélée.
Il en résulte un catholicisme sans dogmes, sans sacrements, et un magistère infaillible.
Cependant, celui qui croit n'a pas besoin d'idéologie [environnementaliste, homosexualiste ou progressiste]", a-t-il expliqué.
Les appels à la "modernisation" exigent que l'Église renonce à sa prétention de vérité, au profit de la construction d'une "nouvelle religion d'unité mondiale" que Müller a qualifiée de "religion civile".
Cependant, Dieu ne peut pas être changé par les caprices de la société, a-t-il dit.
Image: Gerhard Ludwig Müller, © Mazur, CC BY-NC-SA, #newsBpyrjlxhbk