La police belge tente d'empêcher la tenue d'une conférence conservatrice
L'un des orateurs est le célèbre politicien britannique Nigel Farage, qui a déclaré que le lieu du congrès avait été annulé deux fois. Le troisième lieu a reçu des appels de Close, qui a également parlé au traiteur, de sorte que la nourriture n'est pas arrivée : "Le pire, c'est que nous n'avons pas reçu les boissons", a plaisanté M. Farage.
Vers midi, la police est arrivée sur les lieux avec l'ordre du régime de fermer la conférence pour cause de "troubles à l'ordre public", alors qu'il n'y avait aucun "trouble à l'ordre public" en vue.
La police a décidé de fermer l'entrée et de ne laisser entrer personne, mais a autorisé les participants à partir. Les délégués ont un accès limité à la nourriture et à l'eau, dont la livraison est empêchée.
L'homme politique français Zemmour Eric s'est vu refuser l'accès au site (photo).
La Conférence va contester juridiquement l'ordre de fermer la conférence au troisième lieu.
Le sénateur américain James Vance, 39 ans, de l'Ohio, a écrit une lettre à l'ambassadeur de Belgique aux États-Unis pour se plaindre de cette répression de la liberté.
L'historien belge David Engels, catholique vivant en Pologne, a déclaré lors de la conférence qu'il avait honte de son pays : "La liberté a commencé à signifier l'esclavage ; la paix, la guerre ; et l'ignorance, la force".
Hermann Leopoldo Tertsch, ancien communiste repenti et homme politique espagnol, a déclaré à propos du régime européen : "Cela fait 50 ans qu'ils fonctionnent comme un système à parti unique. Chaque jour, il est de plus en plus probable qu'il y aura une alternative. Même avec leur monopole sur l'éducation, l'information et la communication, les gens abandonnent leur message".
Traduction de l'IA
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