Pape dictateur, pape despote, pape hypocrite ?
En plus de ses facettes de "Pape Dictateur" (Sir Henry Sire dixit) et de "Pape Despote", Don Jorge Mario Bergoglio a montré en tant que Pontife un nouveau visage : celui de l'hypocrisie, un trait très caractéristique de l'arrogance jésuite (non jésuite), qui se croit tout permis, même le mensonge.
Hier, 7 février, l'évêque de Rome a donné une interview à l'hebdomadaire italien Credere, un journal du Gruppo Editoriale San Paolo, reproduite en partie dans un article publié sur le site du journal La Stampa, par Domenico Agasso.
Dans une partie de l'interview, faisant référence aux critiques soulevées dans le monde entier au sein de l'Église catholique concernant la honteuse déclaration de Fiducia Supplicans, Bergoglio a déclaré : "Personne n'est scandalisé si je donne ma bénédiction à un homme d'affaires qui exploite peut-être les gens : et c'est un péché très grave. Mais ils sont scandalisés si je la donne à un homosexuel. .... C'est de l'hypocrisie ! Le cœur du document est l'hospitalité".
Une vieille devise ou un proverbe espagnol dit que "l'homme est esclave de ses paroles et maître de ses silences". L'accusation d'hypocrisie que Don Jorge Mario lance contre les critiques de l'abominable bénédiction se retourne contre lui, comme un modèle ou un paradigme de l'exercice de l'hypocrisie.Tout d'abord, beaucoup d'entre nous ont été choqués par les nombreuses occasions où "Sa Sainteté" a béni non seulement des hommes d'affaires exploiteurs, mais aussi des promoteurs du génocide par l'avortement, qu'il a autorisés à recevoir la communion en sa présence (l'ancien président argentin Alberto Fernandez, la législatrice américaine Nancy Pelosi, etc.) Dans le même ordre d'idées, l'actuel pontife n'a eu aucun problème à s'associer avec la ploutocratie mondialiste ultra-minoritaire et extrêmement puissante, également promotrice du génocide prénatal dans le monde entier, regroupée au sein du Conseil pour un capitalisme inclusif, un organisme créé et présidé par la baronne Lynn Forester de Rothschild. Beaucoup d'"église des pauvres pour les pauvres", mais Don Jorge Mario n'a aucun problème à être le partenaire - poète bouffon (selon la baronne elle-même) - de certains des milliardaires les plus puissants du monde[2]. De la même manière que nous avons été scandalisés, animés par une sainte colère et indignation, lorsque Jorge Mario a approuvé de manière non scientifique et irresponsable l'expérience criminelle de la vaccination de masse dans le monde avec un produit qui n'avait aucune garantie scientifique. Ou lorsqu'il a reçu en audience chaleureuse et amicale le président américain criminel Joseph Biden, qu'il a non seulement approuvé dans sa conduite génocidaire Le sinistre président n'a pas seulement été un avorteur, il l'a aussi soutenu par son silence complice, puisqu'il a l'intention d'étendre la pratique diabolique de l'avortement volontaire jusqu'au moment de la naissance de l'enfant.
C'est une chose étrange pour un pontife, car il ment aussi hypocritement lorsqu'il affirme que "personne n'est scandalisé" : il sait très bien que nous sommes des centaines de milliers et des millions à être scandalisés - et nous le lui avons fait savoir - par le bon traitement qu'il accorde à ceux qui commettent un péché qui crie au ciel (exploiter le travailleur), ainsi que par son amitié, sa promotion et sa tolérance à l'égard de ceux qui commettent un crime abominable (l'avortement) ou qui l'approuvent, comme l'économiste italo-américaine Mariana Mazzucato, le président brésilien Ignacio Lula da Silva, l'ancien président bolivien Evo Morales, le répudiateur ancien président américain Bill Clinton ou le promoteur amoral du génocide prénatal, le spéculateur et prédateur financier George Soros.
Mais il ne nie pas non plus qu'il agit en véritable hypocrite, puisqu'il reconnaît qu'il bénit des hommes d'affaires exploiteurs et des génocidaires avoués et publics, ce qui est un "très grave péché" : esclave de ses mots, il le confesse lui-même.
Ensuite, il continue malheureusement à nous prendre pour des imbéciles ou des idiots, car il réitère une fois de plus l'argument contradictoire, dépourvu de toute logique, qu'il avait déjà énoncé dans une autre interview publiée le 29 janvier sur le site du journal La Stampa : "Mais je ne bénis pas un "mariage homosexuel", je bénis deux personnes qui s'aiment [...]". Mais en réalité, s'ils s'aiment, ils sont unis, ils sont accouplés, donc il bénit l'union, quel que soit le nom qu'il veut lui donner. L'hypocrisie jésuite dans toute sa splendeur.
N'est-il pas également hypocrite de parler des "périphéries" et de voir une mondaine et féministe britannique donner des conférences sur "l'idéologie du genre et la mission des femmes dans l'Église" au Conseil des 9 cardinaux qui écoutent docilement les "enseignements" d'un "évêque" anglican ? N'y a-t-il pas de femmes catholiques dans les périphéries - Afrique, Asie - qui puissent offrir leur témoignage féminin fidèle au Christ et à son Église ? Pourquoi faut-il que ce soit une Barbie protestante "britannique", blanche, anglo-saxonne ?
Et n'est-il pas hypocrite de garder un silence absolu face au génocide prénatal perpétré l'année dernière dans le monde, quelque 45 millions de personnes assassinées avant leur naissance ? N'est-il pas hypocrite de critiquer publiquement la peine de mort et de la retirer du catéchisme de l'Église catholique, et en même temps de ne pas prononcer un seul mot pour condamner un tel génocide ?
Il est très triste et embarrassant de contempler la dégradation et la décadence d'un prélat, compatriote de surcroît, qui est passé de la promotion de la théologie du peuple et de la prédication de la justice sociale à la bénédiction de la sodomie. Et ce, au même endroit où saint Pierre et des milliers de chrétiens ont été martyrisés et enterrés.
Du martyre chrétien à la sodomie jésuite : en plus de la colère et de l'indignation, cela suscite le dégoût.
José Arturo Quarracino
8 février 2024
Hier, 7 février, l'évêque de Rome a donné une interview à l'hebdomadaire italien Credere, un journal du Gruppo Editoriale San Paolo, reproduite en partie dans un article publié sur le site du journal La Stampa, par Domenico Agasso.
Dans une partie de l'interview, faisant référence aux critiques soulevées dans le monde entier au sein de l'Église catholique concernant la honteuse déclaration de Fiducia Supplicans, Bergoglio a déclaré : "Personne n'est scandalisé si je donne ma bénédiction à un homme d'affaires qui exploite peut-être les gens : et c'est un péché très grave. Mais ils sont scandalisés si je la donne à un homosexuel. .... C'est de l'hypocrisie ! Le cœur du document est l'hospitalité".
Une vieille devise ou un proverbe espagnol dit que "l'homme est esclave de ses paroles et maître de ses silences". L'accusation d'hypocrisie que Don Jorge Mario lance contre les critiques de l'abominable bénédiction se retourne contre lui, comme un modèle ou un paradigme de l'exercice de l'hypocrisie.Tout d'abord, beaucoup d'entre nous ont été choqués par les nombreuses occasions où "Sa Sainteté" a béni non seulement des hommes d'affaires exploiteurs, mais aussi des promoteurs du génocide par l'avortement, qu'il a autorisés à recevoir la communion en sa présence (l'ancien président argentin Alberto Fernandez, la législatrice américaine Nancy Pelosi, etc.) Dans le même ordre d'idées, l'actuel pontife n'a eu aucun problème à s'associer avec la ploutocratie mondialiste ultra-minoritaire et extrêmement puissante, également promotrice du génocide prénatal dans le monde entier, regroupée au sein du Conseil pour un capitalisme inclusif, un organisme créé et présidé par la baronne Lynn Forester de Rothschild. Beaucoup d'"église des pauvres pour les pauvres", mais Don Jorge Mario n'a aucun problème à être le partenaire - poète bouffon (selon la baronne elle-même) - de certains des milliardaires les plus puissants du monde[2]. De la même manière que nous avons été scandalisés, animés par une sainte colère et indignation, lorsque Jorge Mario a approuvé de manière non scientifique et irresponsable l'expérience criminelle de la vaccination de masse dans le monde avec un produit qui n'avait aucune garantie scientifique. Ou lorsqu'il a reçu en audience chaleureuse et amicale le président américain criminel Joseph Biden, qu'il a non seulement approuvé dans sa conduite génocidaire Le sinistre président n'a pas seulement été un avorteur, il l'a aussi soutenu par son silence complice, puisqu'il a l'intention d'étendre la pratique diabolique de l'avortement volontaire jusqu'au moment de la naissance de l'enfant.
C'est une chose étrange pour un pontife, car il ment aussi hypocritement lorsqu'il affirme que "personne n'est scandalisé" : il sait très bien que nous sommes des centaines de milliers et des millions à être scandalisés - et nous le lui avons fait savoir - par le bon traitement qu'il accorde à ceux qui commettent un péché qui crie au ciel (exploiter le travailleur), ainsi que par son amitié, sa promotion et sa tolérance à l'égard de ceux qui commettent un crime abominable (l'avortement) ou qui l'approuvent, comme l'économiste italo-américaine Mariana Mazzucato, le président brésilien Ignacio Lula da Silva, l'ancien président bolivien Evo Morales, le répudiateur ancien président américain Bill Clinton ou le promoteur amoral du génocide prénatal, le spéculateur et prédateur financier George Soros.
Mais il ne nie pas non plus qu'il agit en véritable hypocrite, puisqu'il reconnaît qu'il bénit des hommes d'affaires exploiteurs et des génocidaires avoués et publics, ce qui est un "très grave péché" : esclave de ses mots, il le confesse lui-même.
Ensuite, il continue malheureusement à nous prendre pour des imbéciles ou des idiots, car il réitère une fois de plus l'argument contradictoire, dépourvu de toute logique, qu'il avait déjà énoncé dans une autre interview publiée le 29 janvier sur le site du journal La Stampa : "Mais je ne bénis pas un "mariage homosexuel", je bénis deux personnes qui s'aiment [...]". Mais en réalité, s'ils s'aiment, ils sont unis, ils sont accouplés, donc il bénit l'union, quel que soit le nom qu'il veut lui donner. L'hypocrisie jésuite dans toute sa splendeur.
N'est-il pas également hypocrite de parler des "périphéries" et de voir une mondaine et féministe britannique donner des conférences sur "l'idéologie du genre et la mission des femmes dans l'Église" au Conseil des 9 cardinaux qui écoutent docilement les "enseignements" d'un "évêque" anglican ? N'y a-t-il pas de femmes catholiques dans les périphéries - Afrique, Asie - qui puissent offrir leur témoignage féminin fidèle au Christ et à son Église ? Pourquoi faut-il que ce soit une Barbie protestante "britannique", blanche, anglo-saxonne ?
Et n'est-il pas hypocrite de garder un silence absolu face au génocide prénatal perpétré l'année dernière dans le monde, quelque 45 millions de personnes assassinées avant leur naissance ? N'est-il pas hypocrite de critiquer publiquement la peine de mort et de la retirer du catéchisme de l'Église catholique, et en même temps de ne pas prononcer un seul mot pour condamner un tel génocide ?
Il est très triste et embarrassant de contempler la dégradation et la décadence d'un prélat, compatriote de surcroît, qui est passé de la promotion de la théologie du peuple et de la prédication de la justice sociale à la bénédiction de la sodomie. Et ce, au même endroit où saint Pierre et des milliers de chrétiens ont été martyrisés et enterrés.
Du martyre chrétien à la sodomie jésuite : en plus de la colère et de l'indignation, cela suscite le dégoût.
José Arturo Quarracino
8 février 2024
