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Forum économique mondial : Misters Pig de tous les pays, unissez-vous ! Par Gianni Toffali

La soi-disant "opinion publique" est convaincue que les grands de ce monde se sont réunis à Davos du 15 au 19 janvier au Forum économique mondial (WEF) dans un acte d'amour pour l'humanité.

En théorie, l'Agenda de Davos, copie recyclée de l'Agenda 2030, portait sur la "sécurité mondiale", une "économie mondiale intégrée", l'"égalité des sexes", l'"éradication de l'extrême pauvreté", la "protection de l'environnement" et l'"information".

En réalité, les objectifs étaient quelque peu différents des intentions. Le New York Post a décrit le menu des super-riches : "Caviar, champignons magiques, desserts à la feuille d'or, selfies de la liste A et, clou du spectacle pour ces messieurs - sans surprise, la quasi-totalité des participants : des prostituées à 2 500 dollars la nuit et des dîners secrets".

Pour les moins expérimentés, l'organisation polyvalente a mis en place la plateforme de rencontres "Titt4Tat".

Le rêve des grands Monsieur Cochon du monde de goûter aux spécialités suisses pour remplacer les habituels chocolats à l'ancienne s'est réalisé avec succès. Et en plein jour !

Vous êtes surpris ? Les "majordomes" de Klaus Schwab ont expliqué : "À Davos, les gens sont seuls et leurs partenaires restent à la maison. L'alcool et les fêtes contribuent à la forte demande pour ce type de services".

En résumé, la fête est bonne pour les affaires dans tous les secteurs, mais surtout dans celui du sexe.

Et les participants du WEF sont appelés les grands de ce monde...

Traduction de l'IA

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Arthur De la Baure

Benoit XVI, Urbi et orbi (Noël 2005)
« Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem ; ne crains pas, aie confiance en Lui ! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques. »

"Benoit XVI programma enfin un pèlerinage au Portugal pour mai 2010. Ce voyage, ponctué de neuf discours importants, lui permettrait de célébrer tout à la fois les apparitions de Fatima et... le centenaire de la Révolution de 1910 ! Incroyable, quand on sait ce que fut cette révolution, assassine, anti-cléricale et persécutrice de l’Église, d’ailleurs prestement condamnée par saint Pie X, le 24 mai 1911, dans l’encyclique Jamdudum in Lusitania : «Nous réprouvons, condamnons et rejetons la loi sur la séparation de la République portugaise et de l’Église : loi qui méprise Dieu et répudie la foi catholique.» Dans l’avion qui le menait à Lisbonne, il déclara que «la plus grande persécution contre l’Église ne vient pas des ennemis du dehors, mais elle naît du péché dans l’Église». À l’aéroport, il complétait sa pensée : «le passage au Régime Républicain, qui s’est produit voici un siècle au Portugal, a ouvert, dans la distinction entre l’Église et l’État, un nouvel espace de liberté pour l’Église».
C’était consacrer le dogme démocrate-chrétien de la laïcité de l’État et rejeter le Règne Social du Christ, préférer la secte maçonnique au long règne paisible du président Salazar, qui fit du Portugal, pendant près de quarante ans, la “vitrine de Notre-Dame ”.
Et qu’en était-il du grand combat de l’Église et de révolution, "satanique dans son essence" ? Rien d’autre qu’une “ tension ”, normale, entre le présent et le passé, et sans incidence sur la marche du progrès : «L’idéal chrétien de l’Universalité et de la Fraternité avait inspiré cette aventure commune également marquée par les influences des Lumières et du laïcisme. Cette tradition a donné naissance à ce que nous pouvons appeler une “ sagesse”, c’est-à-dire un sens de la vie et de l’histoire marqué par une cohérence éthique et un " idéal” réalisé par le Portugal, lequel a toujours cherché à établir des relations avec le reste du monde.»
Voilà comment on veut réconcilier le Christ et Bélial !"

Claudius Cartapus

Dommage que Klaus Schwab soit vieux, il aurait certainement pu faire un bon film de James Bond... Il ne lui manque que le minou dans les bras... 😂

C'est vrai et je suis bien d'accord avec vous. Klaus Schwab était nettement moins laid quand il avait 20 ans et qu'il courait les filles...