"Le danger aujourd'hui, c'est l'en-arrièrisme, la réaction contre la modernité. C'est une maladie nostalgique. C'est pourquoi j'ai décidé que l'autorisation de célébrer selon le Missel romain de 1962 est désormais obligatoire pour tous les prêtres nouvellement consacrés. Après toutes les consultations nécessaires, j'ai pris cette décision parce que j'ai constaté que les bonnes mesures pastorales mises en place par Jean-Paul II et Benoît XVI étaient utilisées de manière idéologique, pour revenir en arrière. Il était nécessaire de mettre fin à cet en-arrièrisme, qui n'était pas dans la vision pastorale de mes prédécesseurs."
Au moins c'est clair, tout le monde peut conclure, excepté les affiliés aux loges...