Le synode de François inclut désormais aussi les polygames
Il appelle à une "réforme" institutionnelle et structurelle [= décadence] de l'Église "à tous les niveaux", souhaite un "espace plus accueillant" pour ceux qui ressentent "une tension" entre une appartenance [supposée] à l'Église et "leurs propres relations d'amour [!]", comme les adultères, les parents isolés, les polygames et - bien sûr - les homosexuels.
Le document exige l'administration des sacrements aux adultères et aux polygames (sic) et souhaite un "dialogue" avec les prêtres catholiques déchus.
Bien que la participation des fidèles au synode ait été catastrophiquement basse, bien en deçà des attentes initiales, (moins de 1 %), le document affirme que la participation a "dépassé toutes les attentes".
Un autre élément de propagande est le prétendu "désir d'inclusion radicale : personne n'est exclu", alors que tout le monde sait que les catholiques ordinaires sont exclus dans le Vatican extrémiste de François. Sarcastiquement, Grech a répété que "le processus synodal consiste à écouter tout le monde" alors que tout est décidé par François et ses laquais.
Il a exprimé sa surprise feinte de voir converger "de nombreuses contributions [=sur des sujets en dessous de la ceinture] provenant de différents contextes ecclésiaux et culturels".
À un moment donné, Grech a été plutôt honnête, car les cardinaux, les politiciens et autres menteurs pensent généralement le contraire de ce qu'ils disent. Il a déclaré : "Nous ne faisons pas la promotion d'un agenda".
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