
Bergoglio a dégradé l'office papal, a mis sa propre personne au premier plan, et est devenu aumônier des Nations unies, explique Valli.
Il analyse que François ne parle pas du Dieu de la Bible mais d'une caricature, un dieu adapté à "l'homme et à sa demande d'être considéré comme justifié tout en vivant comme si le péché n'existait pas".
La perspective théologique de Bergoglio est déviée pour Valli car le dieu de François "n'est pas celui qui pardonne mais plutôt celui qui enlève tout blâme", qui s'abstient de commander et préfère comprendre et excuser. Ce dieu n'est pas un juge mais seulement "la proximité". François parle de "fragilité" humaine, et non de péché. Dans la vision de Bergoglio, Dieu a le devoir de pardonner et les hommes un droit d'être pardonnés.
Valli demande si ce dieu est Satan qui pousse à la damnation et nie que les péchés et les vices avec lesquels il nous tente puissent tuer notre âme.
Image: Aldo Maria Valli © AldoMariaValli.it, #newsGiecvcmffx
