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L'Église de Bergoglio a un "complexe d'infériorité" envers le monde

L'évêque Athanasius Schneider est préoccupé par le fait que l'Église actuelle est en train de se conformer au monde, un processus commencé avec le Concile Vatican II.

Sur ncregister.com Schneider a mis en garde le 23 janviers contre les tendances dans l'Eglise pour plaire au monde, "Le désir de parler comme le monde aime ou de parler pour gagner la sympathie du monde, ou ne pas être marginalisé ou persécuté par le monde, se révèle en effet comme un complexe d'infériorité. "

Schneider voit le plus grand danger spirituel "dans l'anthropocentrisme" que pour lui est le pas décisif vers l'idolâtrie. Pour lui, cela est exprimé dans la liturgie "renouvelée" après le Concile.

Image: Athanasius Schneider, © Lawrence OP, CC BY-NC-ND, #newsAgnrhtbltw
petero
AveMaria44 jeudi dernier
L'église de Bergoglio, l'église luthérienne, c'est le naturalisme humaniste sentimental, mais ce n'est pas la religion de l'Agneau sans tache qui a vaincu le péché, la mort, le monde, le Prince de ce monde, ce n'est pas l'Unam, Sanctam, Catholicam et Apostolicam Ecclesia, Colonne et Maitresse de Vérité qui a la mission d'enseigner tous les peuples pour les amener à …Plus
AveMaria44 jeudi dernier
L'église de Bergoglio, l'église luthérienne, c'est le naturalisme humaniste sentimental, mais ce n'est pas la religion de l'Agneau sans tache qui a vaincu le péché, la mort, le monde, le Prince de ce monde, ce n'est pas l'Unam, Sanctam, Catholicam et Apostolicam Ecclesia, Colonne et Maitresse de Vérité qui a la mission d'enseigner tous les peuples pour les amener à l'obéissance de la Foi.

Petero : vous n'avez rien compris cher AveMaria44 et vous déshonorez ma Très Sainte Mère en portant son nom Très Saint, tout en prononçant ces paroles.

Mon Eglise, ma Très Sainte Eglise Catholique et Romaine, elle est Maîtresse et Colonne de la Vérité quand elle enseigne la Charité, pas la Foi qui ne sert à rien sans la Charité, cette Charité qui est absente de votre Cœur quand votre bouche est remplie de la Foi. Ce n'est pas en faisant venir à genoux les pécheurs devant la table de ma Très Sainte Communion, que vous les attirerez à moi ; mais en suivant mon exemple, moi qui suis sorti de la Maison Père, le Ciel, pour aller à la recherche des brebis perdues, à cause des mauvais pasteur qui les ont chassés de ma maison, parce qu'elles ne s'agenouillaient pas devant eux, qui ne sont que mes pauvres serviteurs, qui ont fini par se prendre pour moi et faire ce que je ne leur avait pas demandé de faire.

C'est moi qui me suis mis à genoux devant mes brebis blessées, trouver sur les bords du chemin, par mes disciples envoyé au devant d'eux pour les inviter à venir dans ma maison bâtie sur la terre, ma Très Sainte Eglise Catholique et Apostolique en demandant à mes envoyés, mes Apôtres de faire de même, car le serviteur n'est pas au dessus du maître et Seigneur que Je Suis.

C'est vous avec vos salamalèques, vous qui vous êtes couvert de manteaux brodés d'or et d'argent, vous qui vous êtes fait mettre un anneau d'or à vos mains, pour vous faire adoré, pour que les brebis se prosternent devant vous, brebis que vous avez laissez à la porte de ma bergerie, en remontant le voile qui me séparait elle, mettant à la place une grille devant laquelle elles devaient venir se mettre à genoux devant vous pour recevoir mon Très Saint Sacrement, quand j'ai envoyé mes Apôtres aux milieux d'elles dans le monde, pour les faire asseoir, leur annoncer ma Bonne Nouvelle en mon Nom, comme je l'ai fait moi-même, en leur disant :

"Allez dans le monde entier, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, leur enseignant tout ce que je leur ai prescris, et les ramenant dans vos bras, quand elles se laisseraient portés, jusque dans ma bergerie que j'ai confié à mes serviteurs que j'ai établis à la tête de ma maison, la Nouvelle Tente de la rencontre, que j'ai fait bâtir dans toutes vos villes et vos villages, et que vous avez finis par vider, à cause de la dureté de cœur de ceux qui ont usurpés le titre de pasteurs, de bon pasteur, en traitant mes brebis blessées par le péché, comme des esclaves, les faisant mettre à genoux devant moi, qu'ils croyaient représentés alors qu'ils ne représentaient qu'eux-mêmes.

Et voilà que vous insultez, vous crachez sur mon Jean-Baptiste à moi, mon prophète Elie que j'ai fait sortir du Palais que mes Princes s'étaient fait construire, au 15ème siècle, pour qu'il aille au devant de mes brebis que vous avez dispersé et fait sortir de mon Eglise, avec le Jansénisme, cette doctrine hérétique sur la grâce et la prédestination, issue de la pensée de Jansénius et selon laquelle, sans tenir compte de la liberté et des mérites de l'homme, la grâce du salut ne serait accordée qu'aux seuls élus dès leur naissance. Ces élus pour lesquels vous vous prenez, à l'image de ceux qui il y a 2000 ans m'ont rejetés, car je n'étais pas allé vers eux qui se croyaient purs, juste, mais vers les pécheurs qu'ils méprisaient, comme vous-mêmes vous les méprisez aujourd'hui, vous prenant pour des élus, alors que vous vous damnez en refusant de leur donner ma sainte communion, qui est le secours que je leur accorde pour sortir de l'enfer dans lequel le péché les entraînes et dans lequel vous les maintenez enfermés en exigeant d'eux qu'ils viennent à genoux dans ma bergerie mendier mon pardon, et mon pain de vie ; quand moi je suis sorti au devant de mon fils prodigue revenant vers moi, partant ensuite dans le monde à la recheche de ma brebis perdues, qui était trop faible, trop abattue par son péché, pour revenir à moi, ayant oublié jusqu'à ma miséricorde, parce qu'elle n'était plus prêchée, par ceux que je leur avait envoyés, pour qu'ils viennent à moi, dans ma maison, recevoir le secours apportée par ma grâce et donnée gratuitement.

Malheureux êtes vous, qui maintenant allez devoir rendre des comptes, pour avoir ainsi traités mes brebis pécheresses et insultés les bons pasteurs que je vous ai donnés, après avoir rassemblé le Concile Vatican II pour préparer mon retour. Oui, c'est vous qui allez pleuré maintenant, après les avoir fait pleurés, elles, en les humiliant comme vous les avez humiliés en abusant des pouvoirs que je vous avez donnés, pour vous faire traités comme des princes de l'Eglise que vous n'avez jamais été. Car les princes de mon Eglise, ils ont un cœur débordant de Charité, comme l'Est mon Sacré cœur. C'est vous qui viendrez bientôt vous mettre à genoux devant moi, pour me demander pardon d'avoir ainsi maltraité les brebis que je vous avais confié.
JeanDC
Dans quel grimoire peut-on avoir puisé ce charabia?
L'Église de Bergoglio, comme vous dites, n’est-elle pas la vôtre? Cette Église apostolique qui est Une, Sainte et Universelle et dont aussi font partie les églises séparées et la Fraternité des Saint-Pie X incluse.
Il me semble que l’Église luthérienne ressemble plus à la fraternité de saint-Pie X en terme de rigidité et de fermeture, mais …Plus
Dans quel grimoire peut-on avoir puisé ce charabia?

L'Église de Bergoglio, comme vous dites, n’est-elle pas la vôtre? Cette Église apostolique qui est Une, Sainte et Universelle et dont aussi font partie les églises séparées et la Fraternité des Saint-Pie X incluse.

Il me semble que l’Église luthérienne ressemble plus à la fraternité de saint-Pie X en terme de rigidité et de fermeture, mais plus humble et épurées en liturgie, mobilier et accessoires liturgiques.

Tant qu’au naturalisme, l’humaniste et le sentimentalisme on peut discourir longtemps sur ces "isme" et toutes les formes que ces concepts peuvent prendre; mais je ne m’en inquiète pas car ça fait partie de la recherche de vérité de toute personne. Ce qui serait imprudent ce serait d’en faire une vérité absolue.

Je crois que Jésus était un peu humaniste. En tout cas pour un Dieu qui s’est incarné pour venir à la rencontre de son peuple c’est du jamais vu dans toutes les croyances et pseudo divinités. Il était sentimental car il n’était pas impassible devant le malheur, la douleur et la mort autant pour lui que pour les autres. Il n’était pas stoïque.

La foi ce n’est pas d’avoir un prêtre dos à nous et de recevoir à genoux la communion sur la langue. Jésus nous a légué ce mémorial sous forme de repas de communion avec lui et l’Église que nous sommes tous. Il n’a pas demandé aux apôtres de recevoir à genoux et sur la langue le pain et le vin qu’il avait transsubstantiés en son corps et son sang. Probablement qu’ils étaient tous assis sur des coussins ou sur des bancs très bas, en bois ou en pierres atour d'une table basse, car le mobilier de ce temps était à sa plus simple expression. Les esclaves de ce temps on les agenouillait mais Jésus n’a fait que demander à ceux qui étaient courbés ou écrasés de se relever s'ils désiraient être déliés.

L'Église n’est pas la vérité en elle même elle enseigne la vérité qui est Jésus à sa tête, le fils du Dieu vivant uni au Père dans l’Esprit Saint dont L’Église est assurée de sa protection et de ses secours. Et Jésus a laissé à son Église toute son humanité :
"… ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux" (Mat 16.19)

Jean 14:
…6 « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.»
…16 Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, …17 l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous.
…25 Je vous ai dit ces choses pendant que je demeure avec vous. …26 Mais le consolateur, l'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit.

Mathieu 16
…18 Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.

Comment peut-on obéir à la foi? La foi c’est de croire en quelqu’un en quelque chose d’accepter en toute liberté qui nous croyons et ce que nous croyons. Obéir ça ne vient pas du cœur, c’est un ordre, une directive, une règle; il n’y a pas de choix sinon on en subit les conséquences. L’obédience est une notion verticale, la foi est une vertu théologale qui se vit par la raison, par le cœur et par les actions qu’elle engendre. On n’a pas la foi à jamais; c’est une vertu qui est gratifiée à ceux qui la cherchent vraiment et les deux autres vertus théologales, l’espérance et la charité, viennent au secours des vrais chercheurs,.

L’Espérance quand les contrecoups de la vie nous ont poussés dans les déserts de la révolte, du rejet, de la tristesse, de la maladie, de la mortalité, de nos échecs personnels: relations personnelles, travail et chômage, échec financier et toutes les formes d’exclusion, on espère en celui qui nous a été révélé et que nous désirons retrouver de tout notre cœur parce que malgré tout ce qui peut nous accabler nous savons qu’il est la seule vérité et le seul vrai amour.

De cette espérance naît l’Amour: la charité, mot souvent galvaudé parce qu’on la pratique à la verticale, on ne la vie pas. Une fois que l’espérance nous a révélé l’Amour, La Foi nous embrase mais ce n’est pas acquis pour toujours. Quelqu’un a déjà dit : "Veillez et prier…".

Dieu n'est pas une idole, Il est Celui qui est et par qui nous existons. Alors, pourquoi nous empêtrer dans la rigidité des reliquats liturgiques du passé? Ne serions-nous pas nostalgiques de nos idoles que représentaient les cultes pompeux du passé qui favorisaient plus les scrupules que les bons fruits?

Est-ce vraiment Dieu que nous cherchons en refusant Vatican II?
GChevalier
Schneider parle juste : quoi ajouter de plus ?
AveMaria44
L'église de Bergoglio, l'église luthérienne, c'est le naturalisme humaniste sentimental, mais ce n'est pas la religion de l'Agneau sans tache qui a vaincu le péché, la mort, le monde, le Prince de ce monde, ce n'est pas l'Unam, Sanctam, Catholicam et Apostolicam Ecclesia, Colonne et Maitresse de Vérité qui a la mission d'enseigner tous les peuples pour les amener à l'obéissance de la Foi.