AveMaria44 jeudi dernier
L'église de Bergoglio, l'église luthérienne, c'est le naturalisme humaniste sentimental, mais ce n'est pas la religion de l'Agneau sans tache qui a vaincu le péché, la mort, le monde, le Prince de ce monde, ce n'est pas l'Unam, Sanctam, Catholicam et Apostolicam Ecclesia, Colonne et Maitresse de Vérité qui a la mission d'enseigner tous les peuples pour les amener à l'obéissance de la Foi.
Petero : vous n'avez rien compris cher AveMaria44 et vous déshonorez ma Très Sainte Mère en portant son nom Très Saint, tout en prononçant ces paroles.
Mon Eglise, ma Très Sainte Eglise Catholique et Romaine, elle est Maîtresse et Colonne de la Vérité quand elle enseigne la Charité, pas la Foi qui ne sert à rien sans la Charité, cette Charité qui est absente de votre Cœur quand votre bouche est remplie de la Foi. Ce n'est pas en faisant venir à genoux les pécheurs devant la table de ma Très Sainte Communion, que vous les attirerez à moi ; mais en suivant mon exemple, moi qui suis sorti de la Maison Père, le Ciel, pour aller à la recherche des brebis perdues, à cause des mauvais pasteur qui les ont chassés de ma maison, parce qu'elles ne s'agenouillaient pas devant eux, qui ne sont que mes pauvres serviteurs, qui ont fini par se prendre pour moi et faire ce que je ne leur avait pas demandé de faire.
C'est moi qui me suis mis à genoux devant mes brebis blessées, trouver sur les bords du chemin, par mes disciples envoyé au devant d'eux pour les inviter à venir dans ma maison bâtie sur la terre, ma Très Sainte Eglise Catholique et Apostolique en demandant à mes envoyés, mes Apôtres de faire de même, car le serviteur n'est pas au dessus du maître et Seigneur que Je Suis.
C'est vous avec vos salamalèques, vous qui vous êtes couvert de manteaux brodés d'or et d'argent, vous qui vous êtes fait mettre un anneau d'or à vos mains, pour vous faire adoré, pour que les brebis se prosternent devant vous, brebis que vous avez laissez à la porte de ma bergerie, en remontant le voile qui me séparait elle, mettant à la place une grille devant laquelle elles devaient venir se mettre à genoux devant vous pour recevoir mon Très Saint Sacrement, quand j'ai envoyé mes Apôtres aux milieux d'elles dans le monde, pour les faire asseoir, leur annoncer ma Bonne Nouvelle en mon Nom, comme je l'ai fait moi-même, en leur disant :
"Allez dans le monde entier, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, leur enseignant tout ce que je leur ai prescris, et les ramenant dans vos bras, quand elles se laisseraient portés, jusque dans ma bergerie que j'ai confié à mes serviteurs que j'ai établis à la tête de ma maison, la Nouvelle Tente de la rencontre, que j'ai fait bâtir dans toutes vos villes et vos villages, et que vous avez finis par vider, à cause de la dureté de cœur de ceux qui ont usurpés le titre de pasteurs, de bon pasteur, en traitant mes brebis blessées par le péché, comme des esclaves, les faisant mettre à genoux devant moi, qu'ils croyaient représentés alors qu'ils ne représentaient qu'eux-mêmes.
Et voilà que vous insultez, vous crachez sur mon Jean-Baptiste à moi, mon prophète Elie que j'ai fait sortir du Palais que mes Princes s'étaient fait construire, au 15ème siècle, pour qu'il aille au devant de mes brebis que vous avez dispersé et fait sortir de mon Eglise, avec le Jansénisme, cette doctrine hérétique sur la grâce et la prédestination, issue de la pensée de Jansénius et selon laquelle, sans tenir compte de la liberté et des mérites de l'homme, la grâce du salut ne serait accordée qu'aux seuls élus dès leur naissance. Ces élus pour lesquels vous vous prenez, à l'image de ceux qui il y a 2000 ans m'ont rejetés, car je n'étais pas allé vers eux qui se croyaient purs, juste, mais vers les pécheurs qu'ils méprisaient, comme vous-mêmes vous les méprisez aujourd'hui, vous prenant pour des élus, alors que vous vous damnez en refusant de leur donner ma sainte communion, qui est le secours que je leur accorde pour sortir de l'enfer dans lequel le péché les entraînes et dans lequel vous les maintenez enfermés en exigeant d'eux qu'ils viennent à genoux dans ma bergerie mendier mon pardon, et mon pain de vie ; quand moi je suis sorti au devant de mon fils prodigue revenant vers moi, partant ensuite dans le monde à la recheche de ma brebis perdues, qui était trop faible, trop abattue par son péché, pour revenir à moi, ayant oublié jusqu'à ma miséricorde, parce qu'elle n'était plus prêchée, par ceux que je leur avait envoyés, pour qu'ils viennent à moi, dans ma maison, recevoir le secours apportée par ma grâce et donnée gratuitement.
Malheureux êtes vous, qui maintenant allez devoir rendre des comptes, pour avoir ainsi traités mes brebis pécheresses et insultés les bons pasteurs que je vous ai donnés, après avoir rassemblé le Concile Vatican II pour préparer mon retour. Oui, c'est vous qui allez pleuré maintenant, après les avoir fait pleurés, elles, en les humiliant comme vous les avez humiliés en abusant des pouvoirs que je vous avez donnés, pour vous faire traités comme des princes de l'Eglise que vous n'avez jamais été. Car les princes de mon Eglise, ils ont un cœur débordant de Charité, comme l'Est mon Sacré cœur. C'est vous qui viendrez bientôt vous mettre à genoux devant moi, pour me demander pardon d'avoir ainsi maltraité les brebis que je vous avais confié.