N'est ce pas se compromettre que de s'afficher comme il l'a fait avec monsieur Zemmour qui nie la Personne de Jésus Christ ?
Vous dénoncez un jugement quand il s'agit d'une unique question qui demande réponse et explications.
Pourquoi s'est il rallié à monsieur Zemmour.
Où se trouve l'ennemi ?
Dans certaines extrapolations sans doute qui au lieu d'éclaircir un débat ne font que l' obscurcir.
Je maintiens cette interrogation.

Je ne fais habituellement pas de politique et ne connais pas les faits auxquels vous faites allusion.
Donc, merci de m'en citer au moins un.

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Il est clair que Philippe de Villiers est franchement catholique et il ne fait aucune concession sur la doctrine à ma connaissance.

Ensuite, Philippe de Villiers a, me semble-t-il, pratiqué la politique non pas dans un esprit sectaire mais avec le souci du bien commun. Sans doute s'est-il allié avec l'un ou l'autre dans la mesure où ceux-ci pouvaient contribuer au bien commun. C'est une question d'intelligence, non pas de ruse mais de finesse en vue de mieux atteindre la fin.

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Il a compris le reproche que Notre Seigneur adresse aux catholiques d'être moins habiles que leurs ennemis dans la poursuite de la fin.

Il a compris aussi la parabole du bon grain et de l'ivraie qui sont souvent mêlés dans le coeur de l'homme. Notre Seigneur nous détourne de vouloir trop vite arracher l'ivraie de peur que nous arrachions aussi le bon grain.

Notamment, il a compris ce que St Thomas d'Aquin a pratiqué toutes sa vie : reconnaître la vérité partout où elle se trouve sans acception de personne et l'aimer plus que tout.

Il a enfin compris la règle de St Ignace : se servir des choses créées autant que... pas plus que... nécessaire en vue de la fin pour laquelle Dieu nous a créés.

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Encore une fois, je ne comprends pas cette rudesse impitoyable vis à vis de ceux qui ont largement contribué au bien commun et à une culture catholique. Ce sont des dons de Dieu et il est mal de les combattre.

Certes, tout n'est pas parfait et dès qu'on réalise quelque chose, on se heurte à mille obstacles. Mais ce n'est pas en regardant les choses de haut et en se retirant à l'abri du vrai combat, du corps à corps, qu'on travaillera au règne du Christ. Au lieu d'alourdir leur croix, il faut venir en aide et encourager ceux qui sont aux avant-postes du combat et souvent dans la mêlée.