Dersou Ouzala met en PLS les détracteurs de Maria Valtorta
Le 11 janvier dernier retournait à Dieu Iouri Solomine, un acteur russe connu pour avoir interprété le rôle de Vladimir Arseniev dans le film soviéto-japonais oscarisé "Dersou Ouzala", réalisé par Akira Kurosawa en 1975.
Basé sur un fait réel arrivé à un officier de l'armée russe dans les années 1900 et relaté par celui-ci en trois livres devenus célèbres dans son pays, ce film relate l'histoire d'une très grande amitié qui se noua entre deux hommes, Arzeniev et Dersou Ouzala, un trappeur solitaire mongol, lors de leur rencontre au fil d'une exploration de la taïga russe.
Même si certains, au seul rappel de ce synoptique, sont déjà parti dans des fantasmes des plus scabreux car pour eux il n'est plus d'espoir de guérison, jamais Solomine ni Kurosawa, et encore moins Arzeniev lui-même, n'auraient imaginé que cette histoire puisse être un jour mal interprétée, car à leur époque, les histoires d'amitiés entre hommes de valeur étaient encore auréolées de noblesse, et perçues pour ce qu'elles étaient : dignes et exemplaires, sujettes à être racontées dans des livres et reprises dans des scénarios.
Mais cette époque est bien malheureusement révolue. Aujourd'hui, bien peu pourraient encore voir ce film sans la moindre arrière pensée, comme il me fut permis de le découvrir moi-même dans ma jeunesse. En effet, plusieurs scènes évoquant l'amitié entre les deux hommes, qui plus est des scènes en soirée autour d'un feu de camp, avec accompagnement de chants russes à la balalaika, ne manqueront pas de susciter la suspicion chez un grand nombre de nos contemporains fiers de l'être. Lâchons le mot qui ne fait plus aucun mystère, ils penseront immanquablement : "En fait, ce film ne ferait-il pas l'éloge de l'homosexualité des deux héros ? Mais bien sûr que si ! Moi, je te dis que si, ça crève les yeux !"
Avis donc à tous ces gens prenant leurs fantasmes pour la réalité : non, il n'y a pas même un demi quart de gramme, dans ce chef d'œuvre de la littérature et du grand écran, de la perversion qu'ils y voient, eux.
Il n'y a que la honte, qui est uniquement la leur, d'avoir imaginé qu'il puisse y en avoir, et c'est tout. Ce qui est souillé ne voit partout que son propre reflet : la souillure.
C'est exactement le même phénomène qui se passe avec "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta : si ces gens sont capables de supputer pareille abjection au sujet de Arseniev et de son ami Dersou Ouzala, à combien plus forte raison feront-ils la même chose mais en pire, concernant l'amitié souverainement pure et sainte entre Jésus et son apôtre Jean dans l'EMV, d'autant plus que les détails sur cette tendre amitié y abondent ?
Ces détails, arrivés dans des oreilles indignes de les entendre, ne serviront qu'à les condamner un jour plus sévèrement, et malheureusement pas à les purifier, ce qui était pourtant le but initial. Que la volonté des hommes soit donc faite, puisqu'elle ne veut pas se prosterner devant la Volonté divine, autrement qu'en y étant forcée.
Mais que les vrais amis de Dieu se réjouissent de se purifier dans la vraie amitié capable d'unir saintement deux hommes entre eux pour un motif céleste, et tout spécialement notre divin Modèle Jésus-Christ et "le disciple que Jésus aimait".
Et que l'âme de Iouri Solomine repose en paix, avec celle de Maksim Mounsouk ( l'acteur mongol interprétant Dersou dans le film de Kurosawa ) +
Basé sur un fait réel arrivé à un officier de l'armée russe dans les années 1900 et relaté par celui-ci en trois livres devenus célèbres dans son pays, ce film relate l'histoire d'une très grande amitié qui se noua entre deux hommes, Arzeniev et Dersou Ouzala, un trappeur solitaire mongol, lors de leur rencontre au fil d'une exploration de la taïga russe.
Même si certains, au seul rappel de ce synoptique, sont déjà parti dans des fantasmes des plus scabreux car pour eux il n'est plus d'espoir de guérison, jamais Solomine ni Kurosawa, et encore moins Arzeniev lui-même, n'auraient imaginé que cette histoire puisse être un jour mal interprétée, car à leur époque, les histoires d'amitiés entre hommes de valeur étaient encore auréolées de noblesse, et perçues pour ce qu'elles étaient : dignes et exemplaires, sujettes à être racontées dans des livres et reprises dans des scénarios.
Mais cette époque est bien malheureusement révolue. Aujourd'hui, bien peu pourraient encore voir ce film sans la moindre arrière pensée, comme il me fut permis de le découvrir moi-même dans ma jeunesse. En effet, plusieurs scènes évoquant l'amitié entre les deux hommes, qui plus est des scènes en soirée autour d'un feu de camp, avec accompagnement de chants russes à la balalaika, ne manqueront pas de susciter la suspicion chez un grand nombre de nos contemporains fiers de l'être. Lâchons le mot qui ne fait plus aucun mystère, ils penseront immanquablement : "En fait, ce film ne ferait-il pas l'éloge de l'homosexualité des deux héros ? Mais bien sûr que si ! Moi, je te dis que si, ça crève les yeux !"
Avis donc à tous ces gens prenant leurs fantasmes pour la réalité : non, il n'y a pas même un demi quart de gramme, dans ce chef d'œuvre de la littérature et du grand écran, de la perversion qu'ils y voient, eux.
Il n'y a que la honte, qui est uniquement la leur, d'avoir imaginé qu'il puisse y en avoir, et c'est tout. Ce qui est souillé ne voit partout que son propre reflet : la souillure.
C'est exactement le même phénomène qui se passe avec "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta : si ces gens sont capables de supputer pareille abjection au sujet de Arseniev et de son ami Dersou Ouzala, à combien plus forte raison feront-ils la même chose mais en pire, concernant l'amitié souverainement pure et sainte entre Jésus et son apôtre Jean dans l'EMV, d'autant plus que les détails sur cette tendre amitié y abondent ?
Ces détails, arrivés dans des oreilles indignes de les entendre, ne serviront qu'à les condamner un jour plus sévèrement, et malheureusement pas à les purifier, ce qui était pourtant le but initial. Que la volonté des hommes soit donc faite, puisqu'elle ne veut pas se prosterner devant la Volonté divine, autrement qu'en y étant forcée.
Mais que les vrais amis de Dieu se réjouissent de se purifier dans la vraie amitié capable d'unir saintement deux hommes entre eux pour un motif céleste, et tout spécialement notre divin Modèle Jésus-Christ et "le disciple que Jésus aimait".
Et que l'âme de Iouri Solomine repose en paix, avec celle de Maksim Mounsouk ( l'acteur mongol interprétant Dersou dans le film de Kurosawa ) +