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Un instrument de musique impropre désacralise la liturgie - par le maestro Aurelio Porfiri

Nous ne vivons pas dans une culture sacrée aujourd'hui. Notre culture n'est pas imprégnée de sacré.

Les Israélites vivaient dans des circonstances très différentes. L'invitation du Psaume 150 à jouer de tous les instruments de musique de la liturgie doit être comprise dans ce contexte.

Ce psaume n'est pas une invitation à une joie insensée. Au moment du psaume, tous les instruments étaient sacrés. Ils ne sont plus. Aujourd'hui, le profane domine le sacré.

Plinio Corrêa de Oliveira, un penseur catholique brésilien, écrit : "Posséder l'innocence implique de posséder une première notion cristalline de la perfection originelle de tout."

Nous avons perdu cette innocence. Par conséquent, nous ne pouvons pas voir ce qui se cache derrière les choses, y compris les dangers qu’elles cachent.

La musique d'église désacralisée par l'utilisation d'instruments de musique inappropriés désacralise la liturgie. Nous ne pouvons pas nous permettre cela.

Image: © LawrenceOP, CC BY-NC, #newsAkkvjxqyqa
ne nous laissez pas succomber
Longtemps je me suis poser la question (pourquoi le concile Vatican II , et j'ais apprit en fouillant sur internet que Jean XXIII était F.M. et que Paul VI étai un adversaire acharné sur les apparition de Notre Dame à Fatima , avec des imbéciles de ce genres il ne pouvait pas en êtres autrement ,réfléchissez vous qui les encensez ces "Papes " et ne voyez que par eux .
dvdenise
PAUL VI au cours de la Messe à la Cova da Iria LE 13 MAI 1967
prononça l'homélie suivante :
« Si grand est Notre désir d’honorer la Très Sainte Vierge Marie, Mère du Christ, et par là même Mère de Dieu et notre Mère, si grande est Notre confiance en sa bonté pour la sainte Eglise, et pour Notre charge apostolique, si grand est Notre besoin de son intercession près du Christ, son divin Fils, …Plus
PAUL VI au cours de la Messe à la Cova da Iria LE 13 MAI 1967
prononça l'homélie suivante :

« Si grand est Notre désir d’honorer la Très Sainte Vierge Marie, Mère du Christ, et par là même Mère de Dieu et notre Mère, si grande est Notre confiance en sa bonté pour la sainte Eglise, et pour Notre charge apostolique, si grand est Notre besoin de son intercession près du Christ, son divin Fils, que nous sommes venu, humble et confiant pèlerin, à ce sanctuaire béni, où se célèbre aujourd’hui le cinquantenaire des apparitions de Fatima et où se commémore le 25ème anniversaire de la consécration du monde au Coeur immaculé de Marie.

Et nous sommes heureux de nous rencontrer avec vous, Frères et Fils très chers, et de vous associer tous à la manifestation de Notre dévotion à Notre-Dame, et à Notre prière, afin que notre commune vénération soit plus manifeste et plus filiale, plus vive aussi et mieux acceptée notre invocation.

Nous vous saluons, Frères et Fils ici présents, vous spécialement citoyens de cette illustre nation qui dans sa longue histoire a donné à l’Eglise des saints et des grands hommes, un peuple courageux et croyant ; nous vous saluons, pèlerins venus du voisinage ou venus de loin, vous aussi, fidèles de la sainte Eglise catholique, qui de Rome, de vos pays et de vos demeures, de partout dans le monde. êtes en ce moment tournés vers cet autel, tous, oui tous, nous vous saluons. »

Nous ne voulons exclure personne de Notre souvenir spirituel
« Nous célébrons actuellement avec vous et pour vous la sainte messe, et ensemble nous sommes unis comme les fils d’une même famille près de notre Mère du ciel, pour être admis dans la célébration du Saint Sacrifice, à une communion plus étroite et plus salutaire avec le Christ notre Seigneur et notre Sauveur.

Nous ne voulons exclure personne de Notre souvenir spirituel, parce que nous voulons que tous vous participiez à cette grâce, celle que nous demandons au ciel : nous vous portons dans Notre coeur, vous Nos frères dans l’épiscopat, vous prêtres, et religieux et religieuses, consacrés au Christ dans un amour total ; vous aussi, familles chrétiennes, vous êtes présentes à Notre pensée, ainsi que vous, très chers laïcs, qui voulez collaborer avec le clergé pour le développement du règne de Dieu ; vous encore, jeunes et enfants, que nous voudrions avoir tous ici autour de nous ; et vous les affligés et les fatigués, et vous les malades, et ceux qui pleurent, vous qui certainement avez à la mémoire comment le Christ vous a appelés à lui pour vous unir à sa Passion rédemptrice et vous réconforter. Notre regard se porte aussi vers tous les chrétiens non catholiques, mais nos frères dans le baptême ; pour eux, Notre souvenir est espoir de parfaite communion, dans l’unité voulue par le Seigneur Jésus. Notre regard s’étend à tout le monde, nous voulons que Notre charité soit sans limite et en ce moment nous l’élargissons à l’humanité entière, à tous les gouvernants, à tous les peuples de la terre. »

Les intentions qui caractérisent le pèlerinage
« Vous savez quelles sont nos intentions spéciales, celles qui veulent caractériser ce pèlerinage. Nous les rappelons ici afin qu’elles donnent une voix à notre prière et qu’elles soient une lumière pour tous ceux qui nous écoutent. »

La paix intérieure de l’Eglise et la pureté de la foi au lendemain du Concile oecuménique
« La première intention est l’Eglise une, sainte, catholique et apostolique. Nous voulons prier, avons-nous dit, pour sa paix intérieure. Le Concile oecuménique a réveillé beaucoup d’énergies au sein de l’Eglise, il a ouvert des perspectives plus larges dans le champ de sa doctrine, il a appelé tous ses fils à une conscience plus claire, à une collaboration plus intime, à un apostolat plus vivant. Il nous importe qu’un tel avantage et qu’un tel renouvellement se conservent et grandissent. Quel dommage ce serait si une interprétation arbitraire et non autorisée par le magistère de l’Eglise faisait de ce réveil une inquiétude désagrégeant sa traditionnelle et constitutionnelle consistance, si elle substituait à la théologie des grands et authentiques maîtres des idéologies nouvelles et particulières, dont le résultat serait d’enlever à la règle de la foi tout ce que la pensée moderne, à qui manque parfois même la lumière de la raison, ne comprend pas, n’apprécie pas, et qui transformerait ainsi la préoccupation apostolique de la charité qui sauve en un accord avec les formes négatives de la mentalité profane et des moeurs mondaines.

Combien serait illusoire notre effort de rapprochement universel s’il n’offrait pas à nos frères chrétiens encore séparés de nous, et à l’humanité, à qui manque notre foi dans sa présentation authentique et dans son originelle beauté, le patrimoine de vérité et de charité dont l’Eglise est dépositaire et dispensatrice ?

Nous voulons demander à Marie une Eglise vivante, une Eglise vraie, unie, une Eglise sainte. Avec vous nous voulons prier ici afin que les espérances et les énergies suscitées par le Concile mûrissent en fruits abondants sous l’influence de l’Esprit-Saint dont nous célébrons demain la fête de Pentecôte et de qui vient la vraie vie chrétienne ; les fruits énumérés par l’apôtre Paul : « La charité, la joie, la paix, la longanimité, la bénignité, la bonté, la fidélité, la douceur, la tempérance. » (Gal., V, 22.)

Nous voulons prier afin que le culte de Dieu encore et toujours fleurisse dans le monde et que sa loi forme la conscience et les moeurs de l'homme moderne. La foi en Dieu est la lumière suprême de l’humanité ; et cette lumière, non seulement ne doit pas être éteinte dans le coeur des hommes, mais doit plutôt être ranimée par le stimulant qui lui vient de la science et du progrès. »

L’Eglise du silence
« Cette pensée qui anime et agite notre prière porte en ce moment notre souvenir vers ces pays dans lesquels la liberté religieuse est pratiquement opprimée et où la négation de Dieu est présentée comme représentative de la vérité des temps modernes et la libération des peuples, alors que tout ceci est faux. Nous prions pour ces pays ; nous prions aussi pour nos frères croyants de ces nations afin que la force intime de Dieu les soutienne et que leur soit accordée la véritable liberté civile. »

La paix du monde
« Et maintenant, la seconde intention de notre pèlerinage remplit Notre âme : le monde, la paix dans le monde.
Vous savez comment la conscience que l’Eglise a de sa mission dans le monde, une mission d’amour et de service, est aujourd’hui, après le Concile, rendue claire et plus active. Vous savez comment le monde est dans une phase de grandes transformations à cause de son énorme et merveilleux progrès dans la connaissance et la conquête des richesses de la terre et de l’univers. Mais vous savez et vous voyez combien le monde n’est pas heureux, n’est pas tranquille ; et la première cause de cette inquiétude est la difficulté pour l’entente, la difficulté pour la paix. Tout semble pousser le monde à la fraternité, à l’unité ; et à l’encontre au sein de l’humanité éclatent encore, épouvantables, des conflits continuels. Deux motifs principaux rendent grave cette situation historique de l’humanité : elle regorge d’armes affreusement meurtrières, et elle n’est pas aussi en progrès sur le plan moral que sur le plan scientifique et technique.

Plus encore, une grande partie de l’humanité souffre toujours de l’indigence et de la faim, tandis que s’est éveillée en elle la douloureuse conscience de ses besoins face au bien-être d’autrui.

Le monde est en danger
« C’est pourquoi nous disons : le monde est en danger. C'est pourquoi nous sommes venu au pied de la Reine de la Paix lui demander comme don celui que seul Dieu peut donner : la paix.
Car cette paix, oui, est un don de Dieu, qui suppose l’intervention de son action si bonne, si miséricordieuse et si mystérieuse.
Mais ce n’est pas toujours un don miraculeux ; c’est un don qui accomplit ses prodiges dans le secret des coeurs des hommes ; un don qui a besoin d’une libre acceptation et d’une libre collaboration. Et alors notre prière, après s’être tournée vers le ciel, se tourne vers les hommes du monde entier :

Hommes, nous vous disons en ce suprême instant, rendez-vous dignes du don divin de la paix.
Hommes, soyez des hommes.
Hommes, soyez bons, soyez sages, soyez ouverts à la considération du bien général du monde.
Hommes, soyez magnanimes.
Hommes, sachez voir votre prestige et votre intérêt non comme étant contraires, mais comme étant solidaires avec le prestige et l’intérêt d’autrui.
Hommes, ne pensez pas à des projets de destruction et de mort, de révolution et de subversion ; pensez aux projets de commun bien-être et de collaboration sincère.
Hommes, pensez à la gravité et à l’importance de cette heure qui peut être décisive pour le monde d’aujourd’hui et de demain. Et recommencez à vous approcher les uns des autres avec la volonté de construire un monde nouveau. Oui, le monde des hommes vrais, qui ne pourra jamais être tel sans le soleil de Dieu sur son horizon.
Hommes, écoutez à travers notre humble et faible voix résonner l'écho de la parole du Christ : "Bienheureux les doux parce qu’ils posséderont la terre ; bienheureux les pacifiques parce qu’ils seront appelés enfants de Dieu."

Voyez, Fils et Frères qui nous écoutez, combien le tableau du monde et de ses destinées se présente ici dans son immensité dramatique. C’est le tableau que la Madone découvre devant nous ; le tableau qu’elle contemple avec ses yeux épouvantés mais toujours confiants ; le tableau que nous contemplerons toujours, et nous en faisons la promesse, en suivant la recommandation que la Madone elle-même nous a donnée : celle de la prière et de la pénitence ; Dieu veuille donc que ce tableau du monde n’ait jamais plus à enregistrer de luttes, de tragédies et de catastrophes, mais bien les conquêtes de l’amour et les victoires de la paix. »
dvdenise
Angelo Roncalli est né le 25 novembre 1881 à Sotto Il Monte dans un village de campagne, dont la population est près de 4300 habitants. Ce village est situé dans le nord de l’Italie en Lombardie dans la province de Bergane. Il porte aujourd’hui le nom de « Sotto Il Monte Giovanni XXIII » ____________________________________________________
Le père d'Angelo est Giovanni Battista Roncalli né en …Plus
Angelo Roncalli est né le 25 novembre 1881 à Sotto Il Monte dans un village de campagne, dont la population est près de 4300 habitants. Ce village est situé dans le nord de l’Italie en Lombardie dans la province de Bergane. Il porte aujourd’hui le nom de « Sotto Il Monte Giovanni XXIII » ____________________________________________________
Le père d'Angelo est Giovanni Battista Roncalli né en 1854 et décédé en 1935. Il était cultivateur. Sa mère, Mariana Bielia, est née en 1854 et décédée en 1939. Angelo est le quatrième d’une famille de 13 enfants et l’aîné des garçons. Il est issu d’un milieu très modeste.

En 1893, à l'âge de 12 ans, il entre au séminaire de Bergame pour faire son cours classique. Un de ses oncles et un prêtre du nom de Giovanni Morlani lui viennent en aide. De là, il est transféré à Rome au séminaire Dell’Apollinare, (séminaire romain de grande réputation) où il termine ses études avec succès et obtient un doctorat en théologie.

En 1895, il débute un journal qu’il tiendra jusqu’à sa mort. En 1901, il fait son service militaire au 73e régiment d’infanterie. Angelo fait la demande d’anticipation du service militaire. Ainsi il se sacrifie pour son frère Zaverio qui est plus habile que lui pour le travail aux champs. Même si cette période est un vrai purgatoire pour Angelo, il écrit : « Je sens Dieu avec toute sa sainte Providence près de moi. »

Le 10 août 1904, il est ordonné prêtre dans la basilique « Santa Maria in Montesanto » située à Rome sur la Piazza del Populo.

De 1905 au 22 août 1914, il est secrétaire personnel de l’évêque de Bergame Giacomo Radini. Durant cette période, il enseignera l’histoire de l’Église au séminaire de Bergame.

En 1915, il est appelé à la guerre. Il a le grade de sergent et sert pour l’armée royale italienne comme aumônier militaire. Après la guerre, il revient au séminaire de Bergame avec la fonction de directeur spirituel.

En 1921, le pape Benoit XV le nomme à la curie romaine avec la fonction de prélat domestique et il reçoit le titre de Monseigneur. Il travaillera dans la future Congrégation (Propaganda Fide)pour l’évangélisation des peuples. Il vit alors à Rome dans un logement avec deux de ses sœurs.

En 1925, le pape Pie XII le nomme évêque. Il est envoyé en Bulgarie comme délégué apostolique et cumule la fonction d’évêque titulaire d’Areopoli. Il connaîtra un ministère ardu dans une terre orthodoxe. Il ponctuera son ministère par de multiples visites dans les communautés notamment des visites dans l’hôpital catholique qui soigne des malades de toutes confessions. Il dira quand même "Je suis béni d’être à l’écart de l’Italie durant la dictature fasciste".

De 1935 à 1944, il reçoit une affectation de délégué apostolique de Mesembria à Istanbul en Turquie et est promu archevêque. La situation est difficile car il a un double rôle de diplomate et d’oecuméniste. Dans un régime laïc, il est obligé de se déplacer en habit civil, il dira: « On est prêtre aussi bien en pantalon qu’en soutane». Cette période de la vie de Mgr Roncalli coïncide avec la Seconde Guerre Mondiale.

Dès 1940, il est prévenu des persécutions nazies par l’arrivée de réfugiés polonais. On se souviendra particulièrement de son travail en faveur des Juifs fuyant les pays d'Europe occupés par les nazis. On se souviendra particulièrement de ses interventions auprès du roi de Bulgarie, de sa complicité et du support apporté aux religieuses Notre-Dame de Sion et de son intervention auprès du Vatican.

Suite à son intervention, le Vatican diffusera le message suivant: " Toute aide à des juifs est considérée comme un acte de miséricorde". Son travail d’intervention et de diplomatie aurait réussi à sauver plus de 20 000 juifs.

Avant de quitter la Turquie, il prophétisera dans une de ses homélies, "J'ai le rêve de voir se faire un jour un concile oecuménique".

En 1944, le pape Pie XII le nomme Nonce apostolique de Paris. L'Archevêque Roncalli négociera avec succès un problème avec les évêques sous le régime de Vichy et procédera à une épuration qui résulta en une réduction du nombre des évêques.

Le 12 janvier 1953 à 72 ans, le pape Pie XII l’élève au rang de cardinal et le nomme Patriarche de Venise. Ce cadeau devait être la fin d’une carrière couronnant une vie de bon diplomate et de bon pasteur. Il organise quand même un synode diocésain. Afin de démontrer son caractère jovial et près du peuple, il utilise les transports en commun et les gondoles. Il dira :«Je veux être votre frère aimable et compréhensif ».

Suite au décès de Pie XII, un conclave est organisé avec la participation de 51 cardinaux. Après 3 jours de conclave et 10 jours de scrutin infructueux, Angelo Roncalli est élu Pape à 77 ans. Son intronisation fut effectuée le 4 novembre 1958.

Pour certains détracteurs, on voyait sa nomination comme une catastrophe et pour d’autres, on le désignait comme un saint. Plusieurs croyaient qu’il serait un pape de transition et ne ferait que le maintien de la curie romaine. Cependant à la grande surprise de plusieurs, il deviendra un Pape rempli d’énergie et d’esprit de réforme.

Il sera le premier pape depuis Pie X à sortir de l’enceinte du Vatican après son élection. Il effectue des visites dans les paroisses de Rome, dans la basilique Saint-Jean de Latran, dans les hôpitaux et même dans les prisons, rompant ainsi avec la tradition.

Pour se situer dans l’histoire, le premier concile oecuménique, convoqué par Pie X eut lieu du 8 décembre 1869 au 20 septembre 1870 où il fut brusquement interrompu suite à la prise de Rome par les troupes de Victor Emmanuel II. Vatican I sera donc considéré comme un concile inachevé.

Le 25 janvier 1959, Jean XXIII convoque le XXIe concile oecuménique du Vatican appelé aussi concile Vatican II. Ce concile se vivra dans un esprit de modernisation .
Le 17 mai 1959, le pape annonce la création d’une commission anté-préparatoire.
Le 5 juin 1960, la phase préparatoire est officiellement inaugurée. Durant l’été 1962, le pape énonce la liste des sept premiers schémas qui seront discutés.
Le 11 octobre 1962, après 3 ans de préparation, c’est l’ouverture du concile. IL Y AURA ALORS 2500 PARTICIPANTS REPRÉSENTANT 135 NATIONS.

DISCOURS D'INAUGURATION

« L’humble successeur du Prince des apôtres qui vous parle, le dernier en date, a voulu en convoquant ces importantes assises donner une nouvelle affirmation du magistère ecclésiastique toujours vivant et qui continuera jusqu’à la fin des temps.

Par le Concile, en tenant compte des erreurs, des besoins et des possibilités de notre époque, ce magistère sera présenté aujourd’hui d’une façon extraordinaire à tous les hommes qui vivent sur la Terre. (…) Ce qui est très important pour le Concile oecuménique, c’est que le dépôt sacré de la doctrine chrétienne soit conservé et présenté d’une façon plus efficace. »

Il y aura quatre sessions plénières du concile de 1962 à 1965: - la première du 11 oct. au 8 déc.1962 - la deuxième 29 sept. au 4 déc. 1963 - la troisième du 14 sept. au 21 nov. 1964 - la quatrième à l'automne 1965

En septembre 1962, le pape est atteint par un cancer d’estomac et de la prostate. Malgré sa maladie, il s’efforcera de permettre au concile de progresser.

Deux mois avant son décès, le 11 avril 1963, il promulgue une encyclique Pacem in terris. w2.vatican.va/…/hf_j-xxiii_enc_…Ce sera perçu comme son testament spirituel. Cette encyclique est adressée à tous les hommes et femmes de bonne volonté et ce, au-delà du monde catholique. Il affirme que la guerre ne peut être un instrument de justice et que ce devrait être la loi morale qui prédomine.

Le 11 mai 1962, il reçoit le prix Balzan pour son engagement en faveur de la paix.
SAINT JEAN XXIII, PRIEZ POUR NOUS.
Catholique et Français
A propos de "saint" Paul VI à la Cova da Iria le 13 mai 1967 (cinquantenaire de la première Apparition de la Très Sainte Vierge Marie : "...Bien que le pape Paul VI ait toujours dédaigné les Demandes de la Vierge de Fatima, il s’est toutefois rendu à la Cova da Iria en 1967 pour le cinquantenaire des Apparitions. Arrivé le 13 mai, à 9h40, à l’aéroport, le Pape mit ensuite deux heures pour …Plus
A propos de "saint" Paul VI à la Cova da Iria le 13 mai 1967 (cinquantenaire de la première Apparition de la Très Sainte Vierge Marie : "...Bien que le pape Paul VI ait toujours dédaigné les Demandes de la Vierge de Fatima, il s’est toutefois rendu à la Cova da Iria en 1967 pour le cinquantenaire des Apparitions. Arrivé le 13 mai, à 9h40, à l’aéroport, le Pape mit ensuite deux heures pour parcourir les quarante-trois kilomètres qui le séparaient de la Cova da Iria. Il avançait lentement, sans cesse ovationné, acclamé par les paysans portugais qui se pressaient sur son passage. Enfin, à midi, il monta sur le podium installé devant la basilique. D’un pas rapide, Paul VI passa à côté de la statue de Notre-Dame sans La saluer, sans La prier, sans La regarder. Puis il célébra, seul, une messe basse en portugais, en présence d’un million de pèlerins. Il avait imposé à sœur Lucie d’être présente. Il lui donna la communion et, après la messe, elle lui fut présentée. Le journaliste Robert Serrou décrit la scène : « Paul VI lui tend les bras. La religieuse se précipite aux genoux du Saint-Père qui lui met la main gauche sur sa tête… Sa timidité a disparu, elle a tant de choses à dire au Pape qu’elle ose lui demander un entretien seule à seul. “Voyez, ce n’est pas le moment, répond Paul VI. Et puis, si vous voulez me communiquer quelque chose, dites-le à votre évêque; c’est lui qui me le communiquera; soyez bien confiante et bien obéissante à votre évêque !” » Les pèlerins voulaient voir sœur Lucie. Ils criaient : «Lucia ! Lucia ! Lucia !» Mgr Hnilica conduisit alors la voyante sur le devant de la tribune. Lorsque ces centaines de milliers de fidèles l’aperçurent auprès du Pape, ils exultèrent. Les applaudissements emplirent l’esplanade tandis que la messagère de l’Immaculée, en proie à une vive émotion, pleurait. Quelques jours plus tard, Paul VI dira à son ami Jean Guitton : « Oh ! c’est une jeune fille très simple, une paysanne sans complications. Le peuple voulait la voir, et je la lui ai montrée !» (…) En commentant la prédication et les actes de Paul VI ce jour-là, l’abbé de Nantes remarquait : «Il n’y a rien là qui rappelle Fatima, ses Miracles, son Message ! (…) La paix demeurait, dans le Message de la Vierge Marie, un Don de Dieu accordé à la prière et à la pénitence de son Église catholique. La paix, dans le message de Paul VI, est l’œuvre des hommes auxquels s’adressent son amour, son culte et maintenant sa prière même ! (…) » Assurément, le Pape était acquis à la thèse moderniste de Dhanis. (…) Le 5 juin 1967, trois semaines après la venue de Paul VI à Fatima, la guerre des Six Jours commença d’incendier le monde ! Les Israéliens s’emparèrent de Jérusalem et plantèrent leur drapeau sur le mont Sinaï. (…) Cinq mois après le pèlerinage de Paul VI à Fatima, l’évêque de Leiria se rendait à Rome avec un groupe de pèlerins portugais. Au cours de l’audience pontificale du 27 septembre, Mgr Venancio donna au Saint-Père une lettre de sœur Lucie dont le texte n’a pas été rendu public. Quarante ans plus tard, il demeure encore secret. Cependant, nous savons que sœur Lucie s’est plainte à Paul VI d’être réduite au silence et de ne pouvoir remplir sa mission. Le P. Kondor, vice-postulateur de la cause des Bx Francisco et Jacinta, écrit en effet : «L’interdiction de recevoir des visites lui fut imposée pour protéger son recueillement. Cela ne s’accordait pas avec ses désirs puisqu’elle voulait utiliser tous les moyens possibles pour “faire connaître et aimer” davantage la Vierge Marie. Néanmoins, elle respecta toujours ces dispositions. Elle reçut pendant longtemps des milliers de lettres de personnes qui voulaient se conformer aux Demandes de l’Ange et de Notre-Dame. Elle ne pouvait pas y répondre. «Comme elle fit part, en 1967, de sa situation au pape Paul VI, celui-ci lui suggéra de répondre à ces questions, souvent les mêmes, par une unique et longue lettre qu’elle a elle-même nommée les "Appels du Message de Fatima".» Sœur Lucie a terminé cette “longue lettre”, qui constitue un véritable livre, le 25 mars 1974. En effet, nous avons vu, de nos yeux vu, cette date, écrite de sa plume, à la fin des deux cahiers de son manuscrit. Or, son livre ne fut édité que le 8 décembre 2000, vingt-cinq ans après !... et profondément révisé. Pourtant, même remanié, ce texte témoigne des préoccupations de la messagère du Ciel sous le pontificat de Paul VI. (…) Dans les lettres que sœur Lucie a écrites à la même époque, c’est-à-dire dans les années soixante-dix, revient sans cesse l’expression «désorientation diabolique». Par exemple, elle écrit le 12 avril 1970 à l’une de ses amies : «Que l’on récite le Chapelet tous les jours ! Notre-Dame a répété cela dans toutes ses Apparitions, comme pour nous prémunir contre ces temps de désorientation diabolique, pour que nous ne nous laissions pas tromper par de fausses doctrines et que, par le moyen de la prière, l’élévation de notre âme vers Dieu ne s’amoindrisse pas !» Plus loin, elle soulignait la responsabilité des autorités : «Malheureusement, en matière religieuse, le peuple, dans sa majeure partie, est ignorant et se laisse entraîner là où on le porte. D’où la grande responsabilité de celui qui a la charge de le conduire; et nous sommes tous les conducteurs les uns des autres, car nous avons tous le devoir de nous aider mutuellement à marcher sur le bon chemin.» (…) Extraits de "Fatima, Salut du monde", p. 308-324 (2007. Auteur : Frère François de Marie des Anges; ce livre est un abrégé des 3 tomes écrits par Frère Michel de la Trinité, "Toute la Vérité sur Fatima").
Catholique et Français
Quant à Roncalli, on en a parlé autre part et il faut se garder d'un excès de louanges comme d'un excès de critiques, même s'il est à l'origine du naufrage de Vatican II !
ne nous laissez pas succomber
@Ludovic Denim , la messe V2 comme vous dite n'est la que depuis le concile Vatican II suite a la remis aux hommes du sacrée et enlevez à Dieu part Paul VI ce triste Papoulet qui suivi le mortel Jean XXIII , donc 1959 , avant les Messes était à la gloire de Dieu et les chantes était sublimes et prient , aujourd'hui c'est las Vegas ou le concoure eurovision des chansons salasses comme les humains …Plus
@Ludovic Denim , la messe V2 comme vous dite n'est la que depuis le concile Vatican II suite a la remis aux hommes du sacrée et enlevez à Dieu part Paul VI ce triste Papoulet qui suivi le mortel Jean XXIII , donc 1959 , avant les Messes était à la gloire de Dieu et les chantes était sublimes et prient , aujourd'hui c'est las Vegas ou le concoure eurovision des chansons salasses comme les humains les aimes aujourd'hui ,si vous saviez nous somme passer du jour à la nuit en même pas 50 ans .
Ludovic Denim
Quand je vais à une messe V2, j'ai vraiment l'impression d'assister à un culte protestant avec leur musique qui est horrible. Du coup, je ne m'explique toujours pas comment ça se fait qu'il y ait des Protestants dans le monde vu que leur messe est tellement niaise que ça a fait fuir / apostasier tous les Catholiques dans le monde ou presque. Ce serait presque une bonne nouvelle de voir cette …Plus
Quand je vais à une messe V2, j'ai vraiment l'impression d'assister à un culte protestant avec leur musique qui est horrible. Du coup, je ne m'explique toujours pas comment ça se fait qu'il y ait des Protestants dans le monde vu que leur messe est tellement niaise que ça a fait fuir / apostasier tous les Catholiques dans le monde ou presque. Ce serait presque une bonne nouvelle de voir cette apostasie en se disant que finalement les gens ont du goût et voient tout de suite que cette messe est horrible. Les prélats sont grandement responsables, même si beaucoup d'entre eux ignorent comment nous en sommes arrivés là puisque ça fait maintenant plusieurs générations. Je ne m'explique pas comment ils peuvent trouver normal de faire une telle messe à la guimauve avec une musique aussi horrible quand il y en a...
ne nous laissez pas succomber
Il n'y à que les Âmes sensibles qui peuvent comprendre (et encore avec effort )ce qui se cache derrière les choses et bien souvent en fin de vie avec le recule du temps , merci seigneur pour elles .