@Tous frèresSans entrer dans un débat sans fin, il m'apparaît très clairement ce que veut dire Mgr Schneider.
Ceci :
lors d'une épidémie très grave, comme par exemple la peste ou la variole, le choléra, IL Y A UNE FRONTIÈRE ENTRE DEUX CATHEGORIES DE PERSONNES, ENTRE DEUX MONDES.
- CEUX QUI VONT MOURIR
- CEUX QUI VONT SURVIVRE.
Aucune mesure humaine ne pourra diviser artificiellement la population d'avantage que cette frontière fatale. On peut faire reculer cette frontière dans le bon sens, mais en gros, chacun sait que c'est pour chacun une question de VIE ou de MORT. On est en plein dans cette dualité, les autres sont subsidiaires.
Mais ici, IL N'Y A PAS CETTE DIVISION EN DEUX GROUPES ( pas plus que d'habitude avec la grippe ou le cancer ), entre ceux qui vont survivre et ceux qui vont mourir :
on a beau crier partout avec un haut-parleur "à la pandémie !!!!!!!!!!!!!! à la pandémie !!!!!!!!!!!!..."
Pas de pandémie, pas d'inquiétude lorsque vous sortez de chez vous, pas d'inquiétude au delà du raisonnable pour vos proches ( les gestes barrières comptent bien sûr, se laver les mains surtout et je suis très étonné que vous le remettiez en question, par quelle lubie ? ), pas de surmortalité visible, uniquement des gens traumatisés par le conditionnement de l'Etat à la peur, qui SE TRIMBALENT DEHORS AVEC UN MASQUE, QUI N'A POUR TOUTE UTILITÉ QUE DE LEUR INOCCULER DU GRAPHENE DANS LES POUMONS.
Aussi vrai que dehors, les risques de contagion par micro-postillons sont quasi nulles, c'était vrai avant la peur, c'est toujours vrai PENDANT la peur.
Donc, QU'EST-CE QUI VA CREER - ARTIFICIELLEMENT, CETTE FOIS - UNE DIVISION DANS LA POPULATION ? LE PASS SANITAIRE, LA THERAPIE GÉNIQUE INJECTABLE.
Ce n'est plus du tout une question de maladie ( qui rend moral le recours à toutes les solutions ou presque pour en finir ) , C'EST UNE QUESTION DE DISCRIMINATION SOCIALE, uniquement : je me fais vacciner
- parce que j'en ai marre de me faire harceler au travail, ou en famille, marre de devoir péniblement me justifier
- parce que je ne tiendrais pas longtemps si on me prive de cinéma, de piscine
- parce que j'ai absolument besoin de me déplacer en train
- parce que je n'aurais pas assez d'argent pour me faire dépister tous les 3 jours
- parce que je n'ai pas de voiture, et que je ne peux pas trouver d'autre boulot que auxiliaire de vie, ce qui m'empêche de trouver autre chose
- parce que je suis médecin et que si je critique l'injection, je risque la radiation.
- parce que je n'aime pas me sentir seul, et que j'aime communier à l'opinion de masse, il n'y a que cela pour me rassurer
- parce que je crains les "fake news" que le gouvernement ne cesse de dénoncer
Etc...etc....
On a donc bien créer ARTIFICIELLEMENT deux mondes qui se regardent en chien de faillence, quasiment dans l'impossibilité de dialoguer sauf pour se crêper le chignon, sûrs chacun de son bon droit, sûrs chacun de sa survie, mais pas de celle de L'AMOUR.
CAR C'EST L'AMOUR, ET NON LA SANTÉ, QUI EST PRIMORDIALE : NOUS NE SERONS PAS JUGÉS AU DERNIER JOUR SUR NOTRE SANTÉ, MAIS SUR L'AMOUR.
Or, là où l'on crée des divisions, on chasse l'amour.
Là où l'on met la moquerie, l'incompréhension sans merci, la discrimination, la privation de liberté, on chasse l'amour.
Là où l'on crée des obligations non justifiables de s'exposer à la mort ou à une foule d'effets nocifs POUR RIEN, on chasse l'amour dans le cœur de ceux qui n'avaient rien demander que de continuer de vivre en paix et qui deviennent vos victimes.
Lorsqu'on tente de bâtir un monde qui pompe ses soins thérapeutiques dans le ventre des mères en arrachant les reins de leurs avortons, on chasse l'amour, on combat l'amour.
C'est du communisme, c'est du totalitarisme, c'est de la tyranie, appelez cela comme vous voudrez :
MAIS CELA COMBAT ACTIVEMENT L'AMOUR, C'EST À DIRE DIEU LUI-MÊME.
Merci à mgr Schneider pour sa parole courageuse, que Dieu nous bénisse et nous garde +