L'église Todos-Todos-Todos traite un prêtre méritant comme un chien
Sous la direction du père Rowe, l'église Sainte-Anne est passée de 30 paroissiens en 1996 à 850 aujourd'hui.
Dans le sillage de Traditionis Custodes, Costelloe voulait que le révérend Rowe signe une déclaration sur la liturgie qui contenait des erreurs factuelles afin d'être autorisé à continuer à St Anne. Le père Rowe a eu l'honnêteté de ne pas le faire et Costelloe l'a puni pour son honnêteté.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là.
Le matin du mardi 2 janvier 2024, le père Rowe se rendit à Sainte-Anne pour récupérer ses derniers effets personnels et objets liturgiques.
À la porte de l'église, il rencontre une de ses anciennes paroissiennes qui a changé de camp, une dame très furieuse qui escorte Daniel Lynch (directeur exécutif du bureau de l'archevêque), un serrurier et deux autres employés d'entretien de l'archevêché à l'église pour changer les serrures.
L'"Église du dialogue et de la synodalité" a été prise en flagrant délit de fermeture de portes et d'exclusion.
"C'est une question de décence et de courtoisie élémentaires que de me communiquer poliment et respectueusement des changements aussi importants que celui-ci avant qu'ils ne soient effectués", a écrit le révérend Rowe dans une déclaration en janvier :
"Je n'ai reçu aucun préavis et j'ai le droit de récupérer mes effets personnels dans les bâtiments avant qu'on m'en interdise l'accès.
Une vingtaine d'autres paroissiens étaient également présents. Ils ont été consternés par le comportement de la femme et les actions de l'archidiocèse.
La femme a insulté le révérend Rowe, prétendant qu'elle parlait au nom de la communauté de la messe en latin, alors que plus de 650 paroissiens avaient signé une lettre de soutien au prêtre.
Le père Rowe a ensuite retiré ses effets personnels et remis l'église dans l'état où elle se trouvait le jour où elle lui a été confiée en tant que recteur de St Anne en 2010.
Les objets retirés étaient sa propriété personnelle : "Je ne pouvais pas, en toute conscience, laisser mes objets liturgiques entre les mains de l'archevêque qui, comme vous devez le savoir maintenant, veut restreindre considérablement la messe traditionnelle en latin.
Le prêtre avait toutes les raisons de craindre que ses objets soient détruits, "tout comme beaucoup de belles statues et d'objets liturgiques ont été détruits après Vatican II".
Il explique que ces objets ne sont d'aucune utilité pour les presbytres du Novus Ordo - "il est donc crucial qu'ils soient protégés".
L'Église de François n'appliquant la sévérité du droit canonique qu'aux catholiques, le révérend Rowe a retiré le Saint-Sacrement de l'église en stricte conformité avec les normes du droit canonique.
L'Église de la Miséricorde de François ("Todos, todos, todos") réservait d'autres mauvais coups au père Rowe :
- Les comptes bancaires de Sainte-Anne ont été fermés sans qu'il en soit informé.
- Plusieurs années auparavant, le Père Rowe avait eu vent de l'intention de vendre l'église Sainte-Anne et d'utiliser l'argent pour construire un presbytère pour les présidents Novus Ordo des environs.
- Le 22 décembre, Monseigneur Costelloe a déclaré au Révérend Rowe que même s'il avait signé la déclaration mensongère, il aurait quand même été démis de ses fonctions de recteur.
- Aucun successeur du père Rowe n'a été nommé, ce qui en dit long sur l'avenir de la messe à Perth.
Traduction de l'IA
