Date de Pâques : François acceptera-t-il des absurdités astronomiques pour l'œcuménisme ?
S'exprimant lors des vêpres œcuméniques samedi soir, François a appelé tous les chrétiens à se mettre d'accord sur une date commune pour Pâques, ajoutant que "l'Église catholique est ouverte à l'acceptation de la date que tout le monde souhaite : une date d'unité".
La date de Pâques est claire et a été décidée lors du concile de Nicée en 325. Elle est fixée au premier dimanche suivant la première pleine lune qui survient au moment de l'équinoxe de printemps ou après (autour du 21 mars).
Le calendrier grégorien suit les faits astronomiques.
Le calendrier julien, plus ancien, que suivent les orthodoxes, est tout simplement erroné sur ce point. Les orthodoxes doivent cesser de se ridiculiser en ne respectant même pas l'équinoxe de printemps.
En 2025, Pâques tombera à la même date dans les calendriers grégorien et julien.
En dehors des rêves de François, les groupes orthodoxes ne parviennent même pas à se mettre d'accord entre eux sur une date commune pour Noël.
VENDREDI 4 Mai 1962 : « LE PAPE EN RUSSIE, À MOSCOU, PUIS DÉBUT DU TEMPS DU PRÉ-AVISO » Mari-Loli et Conchita recueillirent ce jour-là de nouvelles et prophétiques révélations sur les futures tribulations du Pré-Aviso : un retour du communisme dont Conchita répéta au cours de son extase qu'il « reviendrait [aussi] en Espagne ». La Vierge annonça également à la voyante que « le Pape ira en Russie, à Moscou », voyage tout à fait inconcevable dans le climat politique des années 60. « Dès le retour du Souverain pontife au Vatican, de violentes persécutions devraient éclater un peu partout en Europe », signes de l'entrée du monde, et de l'Église en particulier (on croira qu'elle est sur le point de disparaitre), dans le temps du Pré- Avertissement.
On s'en rapproche, certainement avant la fin de la décennie. Ce sera probablement le cas lors de l'année du Grand Miracle (potentiellement 2028), mais il doit d'abord se produire les éléments précédents d'abord, comme le Pré-Avertissement, et l'Avertissement (potentiellement 2027). Le début du Pré-Avertissement qui serait potentiellement antérieur à 2027, est marqué par un voyage du pape à Moscou qui doit avoir lieu. Est-il même sur le point d'y aller, en 2025 ??? Pas vraiment.
Il faudra une consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie avec toute la hiérarchie catholique. Le problème est que l'église est occulté...et occupé par des guignols Franc-maçon.
L’année 2025 est exceptionnellement riche en événements pour l’Église ! Outre le Jubilé et le 1.700e anniversaire du Concile de Nicée, les orthodoxes et les catholiques célébreront Pâques le même jour, le 20 avril 2025. Une coïncidence due à la concordance exceptionnelle des calendriers julien (orthodoxe) et grégorien (catholique et autres confessions chrétiennes). Pour les catholiques comme pour les orthodoxes, Pâques est le sommet de la vie liturgique. Mais en raison de différences de calculs, elle n’est pas toujours célébrée le même jour. Sujet de discussions récurrent au sein du dialogue œcuménique, la date de Pâques a été abordée pour la première fois lors du concile de Nicée en 325. À l’époque, la date est fixée au premier dimanche après la pleine lune suivant l’équinoxe de printemps. Mais le calendrier julien (créé par Jules César autour de 45 avant J.-C.) calcule une année légèrement trop longue (onze minutes de trop). À la Renaissance, le décalage est tel que le pape Grégoire XIII, en 1582, supprime dix jours et réforme le calendrier. Le calendrier grégorien devient alors la référence pour les Églises occidentales. En revanche, l'Église orthodoxe reste sur le calendrier julien. Si catholiques et orthodoxes observent la même règle édictée au concile de Nicée concernant la date de Pâques, cette dernière peut être célébrée le même jour ou jusqu'à cinq semaines plus tard selon que le comput est julien ou grégorien. Trouver une date commune pour célébrer la résurrection du Christ demeure néanmoins un vœu cher au pape François. Un vœu qu’avait déjà exprimé le pape Paul VI dans une lettre du 26 mars 1975 destinée au patriarche œcuménique Dimitrios Ier. L’ancien Pape avait alors mentionné les raisons d'une telle proposition : "La résurrection de Notre Seigneur Jésus Christ est le fondement même de notre foi, cette foi qui est mise en question par tant de gens. (...) Forts de cette conviction et confiants dans le pouvoir du Christ ressuscité et de son Esprit, nous exprimons l'espoir qu'en célébrant ce mystère suprême d'un même cœur et d'une même voix, nous pourrons rendre gloire à Dieu, Père de notre Seigneur Jésus-Christ". Depuis le début de son pontificat, le pape François réitère les appels afin que catholiques et orthodoxes célèbrent le même jour la résurrection du Christ. Un groupe de travail interconfessionnel, baptisé Pasqua Together 2025 (Pâques ensemble 2025), a même été créé en 2022 en vue de retrouver une date commune. Le 19 septembre dernier, alors qu’il recevait des membres de ce groupe de travail (appelé aussi à travailler sur l’initiative JC2033 en vue de la célébration des 2.000 ans de la mort du Christ), le pape François a insisté pour que "la célébration commune du jour de la résurrection ne soit plus une exception, mais devienne la norme". Le Pape a estimé que la concordance des dates de Pâques et de l’anniversaire du Concile de Nicée (lors duquel fut fixé le Credo, mais aussi la date de Pâques), est un "signe important" et une occasion qu’il "ne faut pas laisser passer en vain". Le pape François pourrait revenir sur cette question lors d’un voyage à Nicée – actuelle Iznik, ville portuaire proche d’Istanbul en Turquie – où il a annoncé vouloir se rendre à l'occasion du 1.700e anniversaire du concile. Il pourrait réaliser ce voyage avec le patriarche Bartholomée Ier à la fin du mois de mai 2025. Néanmoins, rien n’est encore confirmé à cette heure. Source: fr.aleteia.org/2025/01/08
«De manière providentielle, Pâques sera célébrée cette année le même jour dans les calendrier grégorien et julien, justement au cours de cet anniversaire oecuménique», a déclaré le pape en référence au Concile de Nicée, qui s'est déroulé il y a 1.700 ans et est considéré comme le premier concile visant à résoudre les problèmes entre les différentes Eglises.