Fr.sourire un véritable tiède ????
fr.sourire 26/05/2014 20:23:33
"...A ce sujet, je suis sûr que le prétendu hérétique Arnaud Dumouch aurait nombre de retours très positifs à publier en matière de conversions ou de retours dans l'Eglise catholique via certaines de ses vidéos, aussi critiquables ou parfois blâmables que soient certaines de ses positions..."

En effet, pour fr.sourire, une thèse "critiquable" et/ou "parfois blâmable" sont des "valeurs sûres" qui invitent à la conversion !!!!!

Arnaud Dumouch "La seule chose que Dieu ne veut pas mais qu’il finit par respecter, c’est le péché contre l’Esprit (la damnation éternelle)"

Arnaud Dumouch Sujet: Re: Peut-on réciter une prière des morts musulmane pour accompagner un musulman vers la mort ? Ven 25 Fév 2011, 20:35
"Il faut être capable de dire, pour le musulman mourant et en son nom à lui, sa profession de foi musulmane."

Comment pouvez-vous, "fr.souriolanocous", comparer les bons fruits de l'évangélisation de l'Abbé Pagès et les vidéos syncrétistes, la soupe moderno-hérétique de ce "théologien" auto-déclaré ???

Remarque n°2

Citant Spe Salvi, Arnaud Dumouch prêche ici une sorte d'exemption des peines du Purgatoire (ce qui demeure dans certains cas, une possible option offerte par Jésus), mais rien ne permet d'affirmer avec autant d'opiniâtreté, le caractère systématique de cette possibilité. Une personne morte en état de péché mortel, ayant obstinément refusé la grâce de la Rédemption tout au long de sa vie, empêtrée dans l'erreur et la haine de la vérité, sera selon l'enseignement de l 'Eglise, directement jugée pour l'Enfer.

Remarque :

il est souvent utilisé par ledit "théologien" et ceux qui avec lui, professent un salut dans le "passage de la mort", ce passage d'un texte conciliaire : "Le « moment » transformant de cette rencontre échappe au chronométrage terrestre – c'est le temps du cœur, le temps du « passage » à la communion avec Dieu dans le Corps du Christ", pour rallonger ce "tunnel" (type NDE), et permettre à l'âme (donc séparée du corps), de se convertir et choisir librement le Christ. Or, ceux qui citent ce passage donnent précisément une dimension terrestre, temporelle à ce "passage, qui peut tout autant ne représenter qu'une fraction de seconde !

La mort dont il est question ici et qui intéresse l' Eglise (car elle ne serait se prononcer au-delà), est donc la mort au sens propre, à savoir : l'instant où l'âme se sépare du corps. Lorsque l'âme est séparée du corps, l'homme est donc réputé être mort. Tout ce qui peut se passer après cet instant se passe donc APRES LA MORT, prétendre à une possibilité de conversion après la mort est une erreur en opposition avec l'enseignement de l'Eglise qui stipule :

"La mort met fin à la vie de l’homme comme temps ouvert à l’accueil ou au rejet de la grâce divine manifestée dans le Christ (cf. 2 Tm 1, 9-10). Chaque homme reçoit dans son âme immortelle sa rétribution éternelle dès sa mort en un jugement particulier qui réfère sa vie au Christ, soit à travers une purification, soit pour entrer immédiatement dans la béatitude du ciel soit pour se damner immédiatement pour toujours »
C’est dans ce sens que saint Jean de la Croix parle du jugement particulier de chacun de nous : « Au soir de notre vie, nous serons jugés sur l’amour (S. Jean de la Croix, n. 64) »
Catéchisme de l’Église catholique, 1021-1022

MORT. — I. Définition. II. Cause. III. Effets. IV. Moment.
I. DÉFINITION. — 1° Sens analogiques. — La mort s'opposant à la vie, le terme « mort » revêt des significations différentes en raison des « vies » différentes auxquelles on l'oppose. Ainsi : 1. la grâce sanctifiante étant la vie surnaturelle de l'âme, la privation de cette grâce est appelée mort. Eph., 2, 5. — 2. La perte de la vie glorieuse du paradis, c'est-à-dire la damnation éternelle est appelée la seconde mort. Apoc., XX, 6, 14; cf. Sap., I, 12. — 3. Par opposition à la vie de péché, la vie sainte est appelée mort en ou avec Jésus-Christ. Rom., VI, 2 sq.
2°. Sens propre. — La mort, prise en son sens propre, est la séparation de l'âme immortelle d'avec le corps. Cf. Eccl., XII, 7; I Reg., XV, 32. Aussi la sainte Écriture la désigne-t-elle sous des noms qui affirment cette séparation : dissolutio, Phil., I, 23; II Tim., IV, 6; depositio tabernaculi, II Pet., I, 14;terrestris domus dissolutio, exspoliatio; peregrinatio a corpore. II Cor., V, 1, 4, 8. La liturgie a conservé plus d'une de ces expressions dans l'office et la messe des défunts.

Seulement voila, l'Eglise ne donne pas une nouvelle définition de la mort, elle se contente d'exhorter les fidèles à la conversion durant sa vie terrestre ! Dans sa théorie, Arnaud Dumouch redéfinit la mort et appuie une grande partie de son travail sur des expériences dites de NDE, raison par ailleurs pour laquelle il fut refoulé en DEA par le père Maldamé. Si l'on peut prendre en compte tout ce qui peut nous être donné pour aider et éclairer la compréhension du mystère de la mort, il est irresponsable et très peu inspiré rde baser son travail sur un seul élément par ailleurs si fortement controversé, y compris dans le milieu médical.

Voici quelques éléments de compréhension sur la question de l' instant de la mort :