Lors d'une rencontre à Athènes le 4 décembre avec des représentants grecs-orthodoxes, François a accusé ses prédécesseurs d'avoir contribué à la division avec les orthodoxes.
Un François geignard a reconnu que "des actions et des décisions qui n'avaient que peu ou rien à voir avec Jésus et l'Évangile, mais qui étaient plutôt marquées par la soif d'avantages et de pouvoir, ont gravement affaibli notre communion".
Comme il se doit, il s'est exprimé à la forme nous (Pluralis majestatis) que les papes utilisent au lieu du "je", affirmant que "nous avons laissé la fécondité être compromise par la division." C'est précisément ce que fait François avec Traditionis custodes.
C'est pourquoi il a ressenti le besoin de "demander à nouveau le pardon de Dieu et de nos frères et sœurs pour les erreurs commises par de nombreux catholiques [= François inclus]".
En tolérant les crimes contre la foi qui se produisent sous sa responsabilité personnelle, François, en revanche, utilise le mantra "Tu ne …Plus