Léon XIV fait à nouveau l'éloge d'un prêtre homosexuel et hérétique
Léon XIV a déclaré : "Don Milani a été un prophète de la paix : "Don Milani a été un prophète de l'Église toscane et italienne. Le pape François l'a décrit comme un témoin et un interprète de la transformation sociale et économique. Sa devise était 'I care', ce qui signifie 'je suis intéressé', 'je suis concerné', 'je me soucie profondément'".
Déjà dans un discours au clergé romain le 12 juin, Léon XIV avait affirmé que "ces derniers temps, nous avons eu de saints prêtres qui ont su conjuguer la passion pour l'histoire avec l'annonce de l'Évangile, comme [...] Don Milani, prophète de la paix et de la justice".
Léon XIV marche à nouveau sur les traces de François. François a entamé la réhabilitation de Don Milani en se rendant sur sa tombe en 2017 et en faisant son éloge à plusieurs reprises.
Homosexuel et hérétique
Don Lorenzo Milani était un prêtre florentin ordonné en 1947. Il était également enseignant et activiste social.
En 1954, il est envoyé en exil à Barbiana, un hameau isolé (100 âmes) en Toscane.
Cristina Siccardi est l'une des principales critiques de Don Milani. Dans Corrispondenza Romana, elle a offert une vision critique de Don Milani, corrigeant la tendance à le dépeindre simplement comme un "croyant blessé par l'Église et un éducateur passionné".
Selon les recherches de Siccardi, Don Milani était un homosexuel et un hérétique qui a sublimé sa déviation à travers son activité éducative.
Elle suggère que son modèle d'école, sa pédagogie et son action sociale reflètent un changement idéologique "révolutionnaire" ou séculier. Cela a contribué à l'avènement d'une "culture chaotique et délétère de la déséducation", qui manquait de respect pour l'autorité hiérarchique et la discipline.
Citations de Don Milani révélant des déviations psychologiques et morales
En 1954, il écrit à sa mère : "Il est évident pour tout le monde que j'ai été envoyé ici [à Barbiana] comme le prêtre démagogue homosexuel et hérétique, qui a peut-être même avoué sa culpabilité parce qu'il ne s'est pas défendu".
Une lettre de Barbiana à Giorgio Pecorini, datée du 15 novembre 1959, est particulièrement révélatrice. Don Milani y parle de ses élèves masculins : "S'il y a un danger pour mon âme, ce n'est certainement pas d'avoir trop peu aimé, mais d'avoir trop aimé, c'est-à-dire jusqu'à les mettre au lit ! Et puis, qui pourra jamais aimer les garçons jusqu'à l'os sans, à la fin, leur mettre dans le derrière, sinon un professeur qui, avec eux, aime aussi Dieu, craint l'enfer et aspire au ciel ?".
Comme le rappelle son biographe Michele Gesualdi, Don Milani disait en 1965 aux élèves qu'il voulait les prendre dans ses bras mais qu'il "ne devait pas, parce que c'étaient des hommes". Même le défenseur Gesualdi a admis que Don Milani avait des fantasmes pédophiles.
L'œuvre principale de Don Milani est Expériences pastorales. En 1958, La Civiltà Cattolica a écrit qu'il était "plein d'obsessions et de contradictions". Dans ce livre, Milani parle de lui-même : "J'ai enlevé la paix à mon peuple. Je n'ai semé que discorde, discussions et approches contradictoires. J'ai toujours traité les âmes et les situations avec la dureté qui sied au maître. Je n'avais pas de manières, pas de considération, pas de tact".
Traduction de l'IA