L'ex-synode commence par une retraite homosexualiste : Lorsque les liturgies sont modifiées, c'est "douloureux"
Radcliffe était déjà homosexualiste avant que la hiérarchie n'en soit infectée. En 2015, il a blasphémé en affirmant que l'homosexualité "peut être l'expression du don de soi du Christ".
Lors de la "retraite", il a tenté d'interpréter la guerre civile ecclésiastique : "Si nous sommes vraiment sur le chemin du Royaume, est-ce vraiment important que vous vous aligniez sur les soi-disant traditionalistes ou les progressistes ?"
Dans une deuxième intervention, il a mentionné que les catholiques "aiment les liturgies" comme un aperçu de la beauté divine, mais il a ensuite réduit la liturgie à l'émotion ("les églises de leur enfance", "les dévotions populaires"), en disant que "lorsque les liturgies sont changées ou les églises démolies, les gens éprouvent une grande douleur, comme si leur maison dans l'Église était détruite".
Sut Twitter, CatholicSat a noté que Radcliffe continue de faire référence à l'homosexuel impénitent James Alison, un ancien dominicain qui a déclaré en 1996 que ses vœux étaient "invalides" parce qu'il agissait sur la "fausse prémisse" que les homosexuels étaient objectivement désordonnés et que, par conséquent, le célibat était obligatoire.
Le Vatican lui a répondu qu'il devait demander la laïcisation, mais Alison a refusé et a finalement été défroqué.
Le maître des novices d'Alison, aujourd'hui évêque, a transmis la lettre d'Alison en 2017 à l'homosexualiste Bergoglio, qui a appelé Alison et a prononcé la phrase absurde : "Je vous donne le pouvoir des clés", signifiant littéralement que François avait fait Alison "pape".
Cependant, Alison a pris cela comme une permission d'exercer son ministère de président du Novus Ordo, qu'il considère comme invalide.
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