L’imposition d’insectes dans nos assiettes, élément essentiel de la déconstruction (comprendre)

La nature est bien faite. Le fait même d’éprouver un sentiment de répulsion à l’endroit d’une chose n’est jamais le fruit du hasard. Ainsi, si la plupart d’entre nous est contre la légalisation du mariage homosexuel, cela n’est pas par homophobie à l’endroit de la personne concernée (l’homosexualité cachée et en privée, ne dérange au fond que peu de monde), mais bien plutôt parce que nous savons intuitivement que la «normalisation-universalisation» absolue de l’homosexualité mettrait en péril la reproduction de l’espèce (puisque les gays, en effet, ne peuvent pas se reproduire entre eux). Quand l’être humain rejette spontanément une chose, c’est qu’en général cette chose n’est pas bonne pour lui. Ce principe, qui fonctionne d’ailleurs également pour les espèces animales, est à la base de l’évolution (attention, cela ne fait pas de moi un partisan de Darwin, loin s’en faut…)

Or, ce phénomène s’applique aussi, bien évidemment, à la nourriture. C’est pourquoi, pour ne citer qu’un exemple, nous avons tous une répulsion naturelle face à l’idée de boire notre propre urine ou de manger nos propres excréments (oui, pardon pour les âmes sensibles…). C’est que si nous le faisions, nous en mourrions par empoisonnement très rapidement. Bref, nous n’aimons pas ce qui peut nous nuire. Que ce processus soit souvent inconscient ou instinctif (comme dans le cas des animaux) n’enlève rien à sa véracité.

Ainsi, si tout être humain sain d’esprit éprouve aussi un sentiment de rejet naturel à l’idée de manger des insectes, cela non plus n’est pas dû au hasard. C’est que, comme toute étude sérieuse le montre, se nourrir avec des insectes serait à court terme très nocif pour notre santé.

Fort de ces considérations, une question devient inévitable. Pourquoi donc cet acharnement du politiquement correct à vouloir à tout prix nous habituer à l’idée de manger un jour des insectes, «nourriture» qui pourtant et à juste titre nous dégoûte?
Eh bien, au fond, cela n’a rien d’étonnant. Bien compris, ce processus ne fait que s’inscrire logiquement dans la volonté globale de déshériter l’être humain, de faire «tabula rasa» de toute sa mémoire. Bref, il faut le déshabituer de tout, le rendre vide; faire en sorte qu’il n’ait plus de souvenir, plus de racine culturelle, plus d’histoire, ce qui le rendra infiniment malléable pour le nouveau normatif satanique d’indifférenciation qu’on lui imposera. C’est que manger un bon steak ou des pommes frites, pourrait rappeler aux hommes postmodernes, cette terrible époque où ils étaient tous des salauds de fascistes intolérants et non « inclusifs », encore capables de différencier une femme d’un homme, une petite fille d’un petit garçon, un chien d’un chat et (surtout) le bien du mal.

Cette volonté de la dictature culturelle mondiale de vouloir maintenant aussi changer radicalement nos habitudes culinaires, n’a d’autre but que d’accélérer ce processus qui commença avec le protestantisme et la franc-maçonnerie spéculative voici presque 500 ans: vider l’être humain de Dieu, pour pouvoir le remplir ensuite plus facilement avec le diable (un peu comme il est nécessaire en informatique de vider la mémoire d’un disque dur pour pouvoir lui installer un nouveau programme).
Manger, c’est pouvoir vivre. Sans nourriture, nous mourons. Changer les codes fondamentaux de la nutrition, aura donc un impact psychologique et culturel extrêmement profond chez l’être humain.

En outre, et pour des raisons évidentes, cela sera d’autant plus vrai pour les chrétiens qui ont reçu le message essentiel du Christ- la Nouvelle Alliance- pendant la Cène (un repas). Oui, pour les chrétiens, le repas garde toujours en soi quelque chose de sacré où les insectes (dont le terme «vermine» est une des dénominations possible) n’ont bien sûr pas leur place. L’introduction d’insectes dans l’imaginaire culinaire ou gastronomique (je ne sais pas comment il faut dire…) humain, a aussi pour but de toucher au caractère sacré de la Sainte Cène, donc (certes, ce n’est pas une surprise) d’attaquer le christianisme. Oui, remplacer, si c’était possible, le pain et le vin par…..de la vermine.
In fine, nous devons considérer l’introduction (qui va être de plus en plus imposée) d’insectes dans la nourriture humaine comme une attaque «de plus» contre le réel, au même titre que l’étaient déjà la légalisation du meurtre de l’innocent absolu qui est l’enfant-à-naître, le mariage homosexuel « contre Dieu et nature », la PMA «pour toutes» ou encore la théorie du genre.
Après nous avoir imposés, hélas avec succès, les lois d’infamie de dénis du réel et notre défiguration (consentie) par le torchon de soumission (masque), la dictature essaye maintenant de nous imposer l’amour de la vermine. C’est qu’il s’agir d’avilir l’homme jusqu’à ce point de non-retour où il ne sera plus capable de pensée Dieu, où il ne sera plus capable de percevoir en lui, l’image de Dieu (si c’était possible). Au fond, c’est logique.
Jean-Pierre Aussant
jean pierre aussant
Mon article aussi publié en Allemagne par la revue "politically incorrect" Auferlegung von Insektennahrung als Element der Dekonstruktion | PI-NEWS
Aline Litw
Le parasite du grillon qui pousse l'hôte au SUICIDE est le nématomorphe, il est évident que broyé sous forme de farine les gens seront empoisonnés et poussés au suicide, Quelle est la particularité des sauterelles d’Apocalypse 9 :3 ?
En plus de sortir en très grand nombre pour se répandre sur la terre, le verset précise qu’on leur a donné un pouvoir semblable à celui des scorpions.
Cela génère …Plus
Le parasite du grillon qui pousse l'hôte au SUICIDE est le nématomorphe, il est évident que broyé sous forme de farine les gens seront empoisonnés et poussés au suicide, Quelle est la particularité des sauterelles d’Apocalypse 9 :3 ?
En plus de sortir en très grand nombre pour se répandre sur la terre, le verset précise qu’on leur a donné un pouvoir semblable à celui des scorpions.
Cela génère une angoisse encore plus terrible !Ces dangers sont principalement liés :
à des substances chimiques (venins, facteurs antinutritionnels, médicaments vétérinaires utilisés dans les élevages d’insectes, pesticides ou polluants organiques présents dans l’environnement ou l’alimentation des insectes, etc.)
à des agents physiques (parties dures de l’insecte comme le dard, le rostre, etc.)
à des allergènes communs à l’ensemble des arthropodes (acariens, crustacés, mollusques, etc.)
à des parasites, des virus, des bactéries et leurs toxines ou encore des champignons
aux conditions d’élevage et de production, pour lesquelles il conviendrait de définir un encadrement spécifique permettant de garantir la maîtrise des risques sanitaires.