L'essentiel du dernier entretien de François
Au lieu de cela, il veut parler des "personnes d'orientation sexuelle différente", du respect de la "diversité sexuelle" et des "options sexuelles différentes", c'est-à-dire de l'idéologie du genre sans en utiliser le terme.
On a demandé à François ce qui l'avait rendu heureux au cours de ses dix années de pontificat. Il a répondu hypocritement que c'était le fait de donner "à chacun une place dans l'Église", alors qu'il a été le pontife le plus clivant de l'histoire de l'Église.
François reconnaît qu'il y a eu un "changement dans la papauté" à partir de Paul VI, la qualifiant de "plus moderne" [= décadente] avec de "nouvelles façons d'être" [confuses].
Il a affirmé que son "compagnon" Benoît, dont il a détruit l'œuvre de toute une vie, Summorum Pontificum, lui "manquait".
François philosophe sur le fait qu'un des "mots clefs" de Jésus est "tous" [todos]. Il semble ignorer que le Christ ne l'emploie que rarement et seulement dans des circonstances précises, comme "vous tous qui travaillez".
Tous les participants au synode sur la synodalité, hommes ou femmes [triés sur le volet par François], auront le droit de voter, a annoncé François, ce qui n'est pas surprenant puisque, dans l'Église Novus Ordo, la "vérité" est réduite à un simple jeu de pouvoir politique.
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