L'eucharistie "amazonienne" approuvée pour le Mexique
Arizmendi est responsable de la doctrine de la foi à la Conférence épiscopale mexicaine (CEM) et semble être également cardinal. San Cristóbal de Las Casas compte 1,6 million de catholiques et 135 prêtres.
Le prélat écrit que des "danses rituelles" ont été approuvées lors de l'offertoire, de la prière des fidèles ou de l'action de grâce après la communion : "Il ne s'agit pas de folklore, mais de simples mouvements de toute l'assemblée, monotones, contemplatifs, accompagnés de musique traditionnelle", précise-t-il.
Dans l'Eucharistie Novus Ordo, les femmes, une, deux ou trois, exercent un "ministère de porteuses d'encens" "à la place du prêtre", qui se contente d'imposer et de bénir l'encens.
Les femmes encensent ensuite l'autel, les images, l'évangéliaire, les ministres et l'assemblée "avec un encensoir propre à leur culture".
Un laïc "d'une importance morale reconnue" dirige certaines parties de la prière communautaire, soit au début de l'Eucharistie, pour introduire la communauté à la célébration, nommer les intentions et demander le pardon, soit dans la prière des fidèles, après que le président a prononcé l'invocation initiale et termine par la prière de conclusion, soit après la communion comme action de grâce, que le président conclut par la prière postcommunion.
Arizmendi montre que la Constitution Sacrosanctum Concilium du Concile Vatican II (décembre 1963), qui a échoué et qui est dépassée, encourageait déjà les "adaptations dans la liturgie" :
"L'Église ne cherche pas à imposer une uniformité rigide dans les choses qui n'affectent pas la foi ou le bien de toute la communauté, pas même dans la liturgie ; au contraire, elle respecte et promeut le génie et les particularités des différentes races et des différents peuples [à l'exception du vénérable rite romain]".
Pendant que la faction Novus Ordo se livre à ses fantaisies liturgiques, la population locale rejoint les sectes protestantes.
Traduction de l'IA