L'evêque concède : François est peut-être pape - mais de "quelque autre culte"
"François, le Miséricordieux" est peut-être "un pape valable d'une autre Église ou d'un autre culte", écrit Monseigneur René Gracida, 96 ans, l'ancien évêque de Corpus Christi, sur Abyssum.org (25 …More
"François, le Miséricordieux" est peut-être "un pape valable d'une autre Église ou d'un autre culte", écrit Monseigneur René Gracida, 96 ans, l'ancien évêque de Corpus Christi, sur Abyssum.org (25 février).
Cependant, "François n'est pas, et n'a jamais été, un pape de l'Église catholique romaine".
Gracida a déclaré à plusieurs reprises que Francis est un "antipape". Probablement pour des raisons d'âge, il n'a jusqu'à présent été ni censuré ni puni.
L'évêque écrit que son "intuition (peut-être guidée par l'Esprit Saint) m'a dit que Jorge Bergoglio n'est pas vraiment le pape" dès qu'il est sorti sur le balcon de Saint-Pierre, "mal habillé" et "flanqué de deux hommes dont j'avais des raisons de croire qu'ils étaient homosexuels".
Cependant, "François n'est pas, et n'a jamais été, un pape de l'Église catholique romaine".
Gracida a déclaré à plusieurs reprises que Francis est un "antipape". Probablement pour des raisons d'âge, il n'a jusqu'à présent été ni censuré ni puni.
L'évêque écrit que son "intuition (peut-être guidée par l'Esprit Saint) m'a dit que Jorge Bergoglio n'est pas vraiment le pape" dès qu'il est sorti sur le balcon de Saint-Pierre, "mal habillé" et "flanqué de deux hommes dont j'avais des raisons de croire qu'ils étaient homosexuels".
Il y a déjà eu deux et même trois Papes à une certaine époque.
En fait, il faut voir que le Concile Vatican I a voulu définir un pouvoir papal discrétionnaire, pas encadré du tout, et une infaillibilité elle très encadrée. D'un point de vue purement logique, il y a deux problèmes : par quelle infaillibilité l'infaillibilité a-t-elle été décrétée ? Et pourquoi celle-ci devrait-elle être …More
Il y a déjà eu deux et même trois Papes à une certaine époque.
En fait, il faut voir que le Concile Vatican I a voulu définir un pouvoir papal discrétionnaire, pas encadré du tout, et une infaillibilité elle très encadrée. D'un point de vue purement logique, il y a deux problèmes : par quelle infaillibilité l'infaillibilité a-t-elle été décrétée ? Et pourquoi celle-ci devrait-elle être strictement encadrée alors que l'exercice du pouvoir ne l'est aucunement ?
Pire.
L'étape suivante a été de dire que les Evêques réunis en Concile ou en Synode sont également infaillibles. On est dans l'ère de Vatican II. Exemple : à la sortie du vote du document finalisant le synode sur la jeunesse, le Pape en exercice a dit expressément : "Ce document nous est donné par l'Esprit Saint".
Finalement, il n'y a plus que les pauvres fidèles prêtres de base à n'avoir pas l'Esprit Saint ; ils sont là pour suivre les directives du Parti de l'appareil ecclésial.
Et si le fait que nous ayons deux Papes, un en exercice et l'autre en prière, était le signe de ce problème très profond ?
En fait, il faut voir que le Concile Vatican I a voulu définir un pouvoir papal discrétionnaire, pas encadré du tout, et une infaillibilité elle très encadrée. D'un point de vue purement logique, il y a deux problèmes : par quelle infaillibilité l'infaillibilité a-t-elle été décrétée ? Et pourquoi celle-ci devrait-elle être strictement encadrée alors que l'exercice du pouvoir ne l'est aucunement ?
Pire.
L'étape suivante a été de dire que les Evêques réunis en Concile ou en Synode sont également infaillibles. On est dans l'ère de Vatican II. Exemple : à la sortie du vote du document finalisant le synode sur la jeunesse, le Pape en exercice a dit expressément : "Ce document nous est donné par l'Esprit Saint".
Finalement, il n'y a plus que les pauvres fidèles prêtres de base à n'avoir pas l'Esprit Saint ; ils sont là pour suivre les directives du Parti de l'appareil ecclésial.
Et si le fait que nous ayons deux Papes, un en exercice et l'autre en prière, était le signe de ce problème très profond ?