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cath.jouenne
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APOCALYPSE 19 - PERE NATHAN. Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean Dix-neuvième partie : Apocalypse 18, 21-24 & 19, 1-21 Alors un ange puissant prit une pierre comme une …More
APOCALYPSE 19 - PERE NATHAN.

Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean

Dix-neuvième partie : Apocalypse 18, 21-24 & 19, 1-21

Alors un ange puissant prit une pierre comme une grosse meule et il la projeta dans la mer en disant : Ainsi, d’une seul coup, sera projetée Babylone la grande cité, et on ne la trouvera plus désormais.

Et les voix des citharistes et des trouvères, des joueurs de flûte et de trompette, chez toi ne s’entendront plus désormais ; et des artisans de tous métiers, chez toi ne se verront jamais plus ; et la voix de la meule chez toi ne s’entendra jamais plus.

Et la lumière de la lampe chez toi ne brillera jamais plus ; et la voix du jeune époux et de l’épousée chez toi ne s’entendra jamais plus. Car tes marchands étaient les grands de la terre, car tes sortilèges ont égaré toutes les nations.

C’est chez toi que l’on a trouvé le sang des prophètes et des saints et aussi de ceux qui furent immolés sur la terre.


Après j’entendis comme la grande rumeur d’une foule immense qui dans le ciel disait : Alléluia ! Le salut, la gloire, la puissance sont à notre Dieu.

Véritables et justes sont ses jugements. Car il a jugé la grande prostituée qui corrompait la terre de sa prostitution et il a vengé sur elle le sang de ses serviteurs.

Et une deuxième fois ils dirent : Alléluia. Sa fumée monte pour les siècles des siècles.

Et les vingt-quatre et les quatre Vivants se prosternèrent et ils adorèrent Dieu qui siège sur le trône et ils dirent : Amen, Alléluia.

Alors sortit du trône une voix qui disait : Louez votre Dieu, vous, tous ses serviteurs, ceux qui le craignent, les petits et les grands
.


J’entendis alors comme la rumeur d’une foule immense, et comme la rumeur des océans, et comme le grondement de puissants tonnerres. Ils disaient : Alléluia, il a établi son règne, le Seigneur notre Dieu tout puissant.

Réjouissons-nous, exultons, rendons-lui gloire, car elles sont venues, les Noces de l’Agneau. Son épouse s’est préparée.

Il lui a été donné d’être vêtue de lin blanc et pur et ce lin, ce sont les œuvres justes des saints.

Alors il me dit : Ecris : Heureux les invités au festin des Noces de l’Agneau. Puis il me dit : Ce sont les paroles véritables de Dieu.


Et je tombai à ses pieds pour l’adorer et il me dit : Garde-toi de le faire. Je suis serviteur avec toi et avec ceux qui possèdent le témoignage de Jésus. C’est Dieu que tu dois adorer, car le témoignage de Jésus, c’est l’esprit de la prophétie.

Alors je vis le ciel ouvert, et voici un cheval blanc. Celui qui le monte s’appelle Fidèle et Véritable, et c’est dans la justice qu’il juge et qu’il combat.

Ses yeux, une flamme ardente, et sur sa tête de nombreux diadèmes. Inscrit sur lui, un nom que nul ne connaît sinon lui. Il est revêtu d’un manteau trempé de sang, et son nom : le Verbe de Dieu.

Et les armées du ciel le suivent sur des chevaux blancs. Elles sont vêtues d’un lin blanc et pur.

De sa bouche sort un glaive affilé pour en frapper les nations. Lui-même les paîtra avec une verge de fer et Lui-même foulera la cuve du vin de la colère du Dieu tout puissant.


Il a sur son manteau et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Et je vis un ange debout dans le soleil, criant d’une voix puissante à tous les oiseaux qui volent au milieu du ciel : Venez, rassemblez-vous pour le grand festin de Dieu !


Vous y mangerez la chair des rois, la chair des chefs, la chair des puissants, la chair des chevaux et de leur cavalier, la chair de tous les hommes libres et esclaves, petits et grands.

Je vis alors la bête et tous les rois de la terre rassemblés pour combattre celui qui est assis sur le cheval et son armée.

Et la bête fut capturée, et avec elle le faux prophète, celui qui faisait des prodiges devant elle par lesquels il égarait ceux qui avaient reçu la marque de la bête et ceux qui adoraient son image. Ils furent jetés vivants, tous les deux, dans l’étang de feu embrasé de souffre.

Les autres furent tués par le glaive de celui qui était assis sur le cheval, le glaive qui sort de sa bouche, et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. (18, 21-24 et 19, 1-21)
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