François au Canada : Le pardon, le vide et un drapeau travesti
En d'autres temps, un voyage papal occupait la première page des journaux, aujourd'hui on ne le trouve même plus sur la deuxième. Specola écrivait le 26 juillet, à propos du voyage de François au Canada : "L'image de François a perdu tout intérêt."
Le spectacle d'excuses de François au Canada s'est déroulé dans une petite salle qui était encore trop grande. Beaucoup de chaises vides. Un homme portait un drapeau travesti (photo de l'article). Des gradins et des écrans avaient été installés à l'extérieur. Mais il n'y avait personne.
Specola raconte : "Nous avons passé des heures à demander le pardon, entre sanglots et larmes, sans très bien savoir à qui nous le demandions, ni pourquoi."
Le conseiller en communication de François, Tornielli, est sorti en déclarant que les missionnaires ne respectaient pas la culture locale, à l'exception des jésuites au Paraguay ou du père jésuite Matteo Ricci en Chine. Specola commente : "Vous pouvez voir que le seul passé qui est sauvé est celui qui porte l'estampille de la "justice sociale", le reste n'est que crime, meurtre, ou au mieux imbécilité."
"Ils essaient de nous dire, poursuit Specola, que jusqu'à l'arrivée des vilains esprits conciliaires, l'institution entière n'était qu'un ramassis de criminels. Maintenant, nous avons atteint le point culminant de l'histoire, et nous passons nos vies à diaboliser un passé que nous aimerions voir dans le présent."
#newsMwbezhifgk
Le spectacle d'excuses de François au Canada s'est déroulé dans une petite salle qui était encore trop grande. Beaucoup de chaises vides. Un homme portait un drapeau travesti (photo de l'article). Des gradins et des écrans avaient été installés à l'extérieur. Mais il n'y avait personne.
Specola raconte : "Nous avons passé des heures à demander le pardon, entre sanglots et larmes, sans très bien savoir à qui nous le demandions, ni pourquoi."
Le conseiller en communication de François, Tornielli, est sorti en déclarant que les missionnaires ne respectaient pas la culture locale, à l'exception des jésuites au Paraguay ou du père jésuite Matteo Ricci en Chine. Specola commente : "Vous pouvez voir que le seul passé qui est sauvé est celui qui porte l'estampille de la "justice sociale", le reste n'est que crime, meurtre, ou au mieux imbécilité."
"Ils essaient de nous dire, poursuit Specola, que jusqu'à l'arrivée des vilains esprits conciliaires, l'institution entière n'était qu'un ramassis de criminels. Maintenant, nous avons atteint le point culminant de l'histoire, et nous passons nos vies à diaboliser un passé que nous aimerions voir dans le présent."
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