« Les États ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières », expliquait saint Jean-Paul Il à l'occasion de la Journée mondiale de la paix 2001. « En outre, les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale », ajoutait-il.

Benoît XVI, dans son message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié en 2013 : « Avant même le droit d'émigrer, il faut réaffirmer le droit de ne pas émigrer, c'est-ô-dire d'être en condition de demeurer sur sa propre terre », répétant avec son prédécesseur que « le droit primordial de l'homme est de vivre dans sa patrie: droit qui ne devient toutefois effectif que si l'on tient constamment sous contrôle les facteurs qui poussent à l'émigration ». (Discours au 4ème Congrès mondial des Migrations, 1998).

Quel culot ! "Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu !", il a jamais lu ça ? C'est vrai qu'on doit pas avoir les mêmes lectures... En ordonnant à l'Europe d'accueillir ce qu'il appelle improprement et malhonnêtement des "migrants", François se mêle de ce qui ne le regarde absolument pas; cela est d'autant plus grave et insensé que ces clandestins sont sans doute pour la plupart mahométans, c'est à dire adeptes d'une religion qui est l'ennemie mortelle de la civilisation des pays qu'ils investissent. Et en "fustigeant" (sic !) "les signes d'un retour au passé" (que signifie ce sabir ?), en pourfendant "la montée des nationalismes et des populismes" (en français : "le réveil du patriotisme et de la colère des peuples") qui "poussent à ériger des murs" (c'est à dire, tout simplement, "à se protéger"), François use d'un langage obscène, odieux et pour tout dire, un langage de vipère mondialiste et maçonnique ! La seule chose qu'il serait en droit de demander, c'est que ces individus, qu'ils soient acceptés ou qu'ils soient refoulés, soient traités avec humanité et Charité. Il n'est ni Président de la République Française, ni roi d'Angleterre, ni Président de l'Europe, que je sache ! Et au lieu de mettre son vilain nez dans les affaires des autres, il ferait mieux de se préoccuper de la perte de la Foi et de l'état effroyable de l'Église Catholique; ça, c'est son boulot... normalement ! Chacun son métier et les vaches seront bien gardées comme on dit chez moi. Quant à ses mamours avec Fidel Castro, le tyran marxiste-léniniste, avec le catholique avorteur et vicelard Joe Bidon ou avec le Macron (pas besoin de qualificatif pour celui-là...), c'est à vomir de dégoût ! Indigne d'un successeur de Saint-Pierre ! Et encore, si c'était pour les prêcher et les convertir, on pourrait comprendre... En tout cas, excellente intervention de Charlotte d'Ornellas.