Un jour sur Terre (Earth -2007) La démarche peut paraître didactique, mais à l’exception du discours alarmiste de rigueur vers la fin, le métrage préfère célèbrer les miracles de la vie et de sa …More
Un jour sur Terre (Earth -2007)
La démarche peut paraître didactique, mais à l’exception du discours alarmiste de rigueur vers la fin, le métrage préfère célèbrer les miracles de la vie et de sa diversité face aux climats extrêmes plutôt que de sermonner son audience.
L’Homme est ouvertement occulté (jamais on ne voit l’ombre d’une installation humaine contrairement au Peuple migrateur qui le mettait en scène à plusieurs reprises pour condamner ses actes - la chasse, la pollution. Ne vous attendez donc pas à voir des plans de machines dévorant des hectares de forêt ou d’oiseaux mazoutés. Aux leçons de morale, les auteurs préfère favoriser le grand spectacle et tentent de nous faire tomber amoureux d’une nature franche et inaccessible, oubliée. Un paradis terrestre fantasmé que l’on pensait déjà disparu.
Les réalisateurs communiquent ainsi leur amour pour une planète infiniment belle et indirectement remettent l’humanité à sa place face à une immensité naturelle qui tôt ou tard reprendra le dessus sur elle. Oui, jamais la nature n’avait été sublimée de la sorte, avec l’engouement de l’amoureux transi et le recul scientifique plein de clairvoyance.
Des images qui savent nous mettre l’eau à la bouche et qui paraissent déjà inoubliables, comme promises à la postérité dans la mémoire collective, qui sera, on l’imagine bien, à tout jamais reconnaissante aux auteurs de ce documentaire d’avoir su immortaliser ces moments de grâce en péril.
(à-voir-à-lire.com)
La démarche peut paraître didactique, mais à l’exception du discours alarmiste de rigueur vers la fin, le métrage préfère célèbrer les miracles de la vie et de sa diversité face aux climats extrêmes plutôt que de sermonner son audience.
L’Homme est ouvertement occulté (jamais on ne voit l’ombre d’une installation humaine contrairement au Peuple migrateur qui le mettait en scène à plusieurs reprises pour condamner ses actes - la chasse, la pollution. Ne vous attendez donc pas à voir des plans de machines dévorant des hectares de forêt ou d’oiseaux mazoutés. Aux leçons de morale, les auteurs préfère favoriser le grand spectacle et tentent de nous faire tomber amoureux d’une nature franche et inaccessible, oubliée. Un paradis terrestre fantasmé que l’on pensait déjà disparu.
Les réalisateurs communiquent ainsi leur amour pour une planète infiniment belle et indirectement remettent l’humanité à sa place face à une immensité naturelle qui tôt ou tard reprendra le dessus sur elle. Oui, jamais la nature n’avait été sublimée de la sorte, avec l’engouement de l’amoureux transi et le recul scientifique plein de clairvoyance.
Des images qui savent nous mettre l’eau à la bouche et qui paraissent déjà inoubliables, comme promises à la postérité dans la mémoire collective, qui sera, on l’imagine bien, à tout jamais reconnaissante aux auteurs de ce documentaire d’avoir su immortaliser ces moments de grâce en péril.
(à-voir-à-lire.com)
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@shazam Très bien ,mais dites des chose qui tienne vraiment debout et respectez ce qui appartiens au créateur d'abord ,donc ne pas vous prendre pour les organisateurs du climat et si il est bien mal aujourd'hui ce n'est que se que nous méritons de nos insultes multiples envers lui ,bien pires que mes mots envers vous .Bien à vous .
4) Documentaires TV.
Émissions intéressantes dénichées sur Gloria TV...
Voir aussi ma Sélection de bons FILMSMore
4) Documentaires TV.
Émissions intéressantes dénichées sur Gloria TV...
Voir aussi ma Sélection de bons FILMS
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@Ne nous laissez pas sucomber
« … alors arrêtez de pleurnichez sur votre l'écologie bidon. Vous ne faite que peindre le Diable sur la muraille."
?
Je vous prierais d’être correct dans vos réflexions, car vous êtes souvent ‘limite’. Si cela n’est pas rare chez des jeunes gens mal éduqué de pratiquer la vulgarité de l’invective postillonante, cela ne devrais pas être le cas pour quelqu’un de …More
@Ne nous laissez pas sucomber
« … alors arrêtez de pleurnichez sur votre l'écologie bidon. Vous ne faite que peindre le Diable sur la muraille."
?
Je vous prierais d’être correct dans vos réflexions, car vous êtes souvent ‘limite’. Si cela n’est pas rare chez des jeunes gens mal éduqué de pratiquer la vulgarité de l’invective postillonante, cela ne devrais pas être le cas pour quelqu’un de votre âge, de surcroît catholique, songez que des personnes de passage nous lisent.
Que diriez-vous si je vous disais : « alors arrêtez de venir pleurnicher sous les vidéos que je poste, vous ne faites que peindre le Diable sur la muraille. » ? Tout n'est pas permis. Je pense que vous le comprenez.
Merci d’en tenir compte et d'être respectueux dans vos post.
« … alors arrêtez de pleurnichez sur votre l'écologie bidon. Vous ne faite que peindre le Diable sur la muraille."
?
Je vous prierais d’être correct dans vos réflexions, car vous êtes souvent ‘limite’. Si cela n’est pas rare chez des jeunes gens mal éduqué de pratiquer la vulgarité de l’invective postillonante, cela ne devrais pas être le cas pour quelqu’un de votre âge, de surcroît catholique, songez que des personnes de passage nous lisent.
Que diriez-vous si je vous disais : « alors arrêtez de venir pleurnicher sous les vidéos que je poste, vous ne faites que peindre le Diable sur la muraille. » ? Tout n'est pas permis. Je pense que vous le comprenez.
Merci d’en tenir compte et d'être respectueux dans vos post.
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@shazam Bien mais vous ne dite pas qui en est le Maitre et se que nous avons fait de lui ,nous somme en perdition comme aux temps d'avant le déluge (les hommes se comportais comme des animaux ) ou est la différence aujourd'hui ?nous ne somme n'y maitre du temps de la météo et de la vie sur terre ,notre devoir était de respecter les lois du Seigneur ,il est même venu en personne pour nous le dire …More
@shazam Bien mais vous ne dite pas qui en est le Maitre et se que nous avons fait de lui ,nous somme en perdition comme aux temps d'avant le déluge (les hommes se comportais comme des animaux ) ou est la différence aujourd'hui ?nous ne somme n'y maitre du temps de la météo et de la vie sur terre ,notre devoir était de respecter les lois du Seigneur ,il est même venu en personne pour nous le dire ,mais les hommes imbu de leur personne ne le respecte pas ,alors arrêtez de pleurnichez sur votre l'écologie bidon .Vous ne faite que peindre le Diable sur la muraille .
Le casting est rare, la mise en scène époustouflante, et le scénario rebondit sans cesse entre tragédie et drôlerie. (...) Un grand spectacle familial, parfois dur mais jamais cruel, qui souligne une terrible évidence écologique sans assommer le spectateur de messages culpabilisants. (Le Parisien)
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Découpée en séquences humoristiques, touchantes ou tragiques, cette belle carte postale vivante …More
Le casting est rare, la mise en scène époustouflante, et le scénario rebondit sans cesse entre tragédie et drôlerie. (...) Un grand spectacle familial, parfois dur mais jamais cruel, qui souligne une terrible évidence écologique sans assommer le spectateur de messages culpabilisants. (Le Parisien)
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Découpée en séquences humoristiques, touchantes ou tragiques, cette belle carte postale vivante soulève, très superficiellement, la question de la pérennité de notre " planète miracle ". (Le Figaroscope)
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Ce superbe docu montre l'impact du réchauffement climatique sur les animaux de notre planète. (le journal ‘20 mn’)
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Rien à dire, c'est léché (...) Sauf que c'est un film historique qui défile sous nos yeux. Tout ce qui vit sur l'écran est en phase d'extinction (...) Et à peine un mot n'est glissé à ce sujet. Comme s'il ne fallait surtout ne pas froisser le spectateur venu voir de la belle image. (Libération)
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Découpée en séquences humoristiques, touchantes ou tragiques, cette belle carte postale vivante soulève, très superficiellement, la question de la pérennité de notre " planète miracle ". (Le Figaroscope)
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Ce superbe docu montre l'impact du réchauffement climatique sur les animaux de notre planète. (le journal ‘20 mn’)
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Rien à dire, c'est léché (...) Sauf que c'est un film historique qui défile sous nos yeux. Tout ce qui vit sur l'écran est en phase d'extinction (...) Et à peine un mot n'est glissé à ce sujet. Comme s'il ne fallait surtout ne pas froisser le spectateur venu voir de la belle image. (Libération)