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Ça bombarde dur mais l'Antéchrist est increvable

Article précédent : La Chine rouge et le Vatican rouge sur la même longueur d'onde antéchristique

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Le magazine allemand « Der Spiegel » a publié un rapport de 19 pages critiquant la façon qu’a le pape François de conduire l’Église catholique et l’accusant d’avoir ignoré les victimes de prédateurs sexuel en Argentine.

Sur la couverture su « Spiegel » apparaît la photo du pape avec comme titre « Tu ne mentiras pas » et comme sous-titre « Le silence des bergers ».

Le magazine reconnaît que cinq ans et demi après l’arrivée du pape François, « l’Église catholique est divisée comme jamais elle ne l’a été auparavant. » Il est vrai, note encore le « Spiegel » que le pape lui-même a dit en privé : « Je peux entrer dans l’histoire comme étant celui qui aura divisé l’Église ».

Enfin, le magazine révèle, preuves à l’appui, que du temps où il était archevêque de Buenos Aires, Jorge Berglio n’a ni accueilli ni même écouté les victimes de prêtres prédateurs de son diocèse. Il a plutôt chercher à protéger des clercs que la justice civile avait condamnés après enquête.

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Une bombe à retardement pour François ? C’est la question qui est clairement posée sur le site « Kathnet ».

De nouveaux soupçons à l’encontre du pape François, en lien avec les cas d’abus sexuels perpétrés au sein de l’Église catholique, sont apparus ce lundi.

D’après « LifeSiteNews » et le vaticaniste italien Marco Tossati, en 2013, quelques mois après son élection, François aurait personnellement mis fin à des investigations menées par la Congrégation pour la doctrine de la foi visant le cardinal Cormac Murphy O’Connor. Marco Tossati dit tenir son information d’une source vaticane haut placée, directement active au sein de la Curie.

Le cardinal O’Connor, décédé en 2017, était connu comme membre du groupe surnommé « maffia de Saint-Gall » qui aurait joué un rôle déterminant lors de l’élection de François. Il lui était reproché d’avoir protégé un de ses prêtres accusé d’avoir violé une jeune femme et abusé d’une trentaine de jeunes gens. Le cardinal avait pourtant continué, malgré sa connaissance des faits et les plaintes des parents, à nommer ce prêtre dans des paroisses successives. Un rapport prouve que le Cardinal O’Connor a dû se résoudre, à un moment donné, à reconnaître les méfaits du prêtre : il aurait alors proposé aux victimes 50 000 livres anglaises contre le silence face aux médias. Plus tard, il aurait nié ce fait, reportant la faute sur son évêque auxiliaire. La jeune femme violée dans les années 60 déclare avoir reçu 40 000 livres de dédommagement de la part du diocèse. Plus inquiétant encore, elle dit avoir été victime d’un autre abus sexuel, et en accuse directement le cardinal O’Connor, encore jeune à l’époque. Elle s’est confiée, entre 2009 et 2010, au cardinal Vincent Nichols, alors archevêque de Westminster, qui a refusé d’examiner l’affaire.

Les choses ne s’arrêtent pas là. En 2011, deux diocèses anglais (Portsmouth et Northampton) ont informé la Congrégation pour la doctrine de la Foi de la situation et ont prié le Cardinal Levada de donner une suite à l’affaire.

Entre temps, François fut élu pape, avec semble-t-il l’appui du cardinal O’Connor que Jorge Bergolio avait coutume d’appeler « mon homme de confiance ». Et quelques mois après son élection, le pape François stoppe net toutes les investigations menées par le cardinal Müller, alors Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.

Le vaticaniste Marco Tossati raconte que cette demande d'arrêter les investigations fut faite alors que le cardinal Müller célébrait une messe pour des étudiants à l’église Santa Monica. D’après Tossati, le secrétaire de François se serait introduit dans le sanctuaire pour dire au célébrant : « Le pape désire vous parler ». Le cardinal Müller répond : « Sait-il que je suis en pleine célébration ? ». « Oui, répond le secrétaire, mais il dit qu’il veut vous parler immédiatement. »
Ils se sont donc rendus à la sacristie où les attendait François, visiblement de mauvaise humeur. Toujours selon Tossati, après quelques explications, le pape François aurait demandé qu’on arrête les recherches sur l’affaire O’Connor. « LifeSiteNews » a, par la suite, demandé à la Congrégation pour la doctrine de la foi de confirmer ou d’infirmer ces informations, mais celle-ci n’a pas voulu s’exprimer : pas de commentaire. Un non-démenti ?

Toute cette affaire, indépendamment des investigations internes à l’Église, représente pour le pape François une bombe à retardement. Et ce, parce qu’en Grande Bretagne, les investigations concernant les abus sexuels dans l’Église catholique sont traités par l’État lui-même. Or, l’État a déjà exigé que le diocèse de Westminster lui communique les documents concernant le cardinal O’Connor. Trois autres diocèses (Arundel and Brighton, Portsmouth et Northhampton) ont déjà transmis à l’État les documents qu’ils possédaient.

En attendant ce qui adviendra, cette affaire ne montre-t-elle pas de problématiques dysfonctionnements dans l’actuelle gouvernance de l’Église ?

D'après Kathnet (trad. MH/APL)

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Mgr Robert Mutsaerts avait été désigné par la conférence des évêques des Pays-Bas pour assister au synode sur la jeunesse. Sur RITV, il a expliqué à Jeanne Smits pourquoi il a décidé de ne pas se rendre à Rome.

Selon Mgr Mutsaerts, au vu de tous les développements récents et le manque actuel de transparence, « ce synode ne sera guère crédible. »

Et l’évêque de préciser : « De divers côtés, c’est aujourd’hui Mgr Viganò qui se voit subitement attaqué. Peu m’importe d’ailleurs de savoir si ses motivations sont pures, oui ou non. Je n’en sais rien. J’ai le sentiment qu’elles le sont mais je n’ai pas moyen de le savoir. Mais la question est de savoir si ce qu’il dit est vrai ou non : c’est cela, le nœud de l’affaire. Il n’y a qu’un seul moyen d’y répondre, c’est d’enquêter. Et le pape se tait : c’est incompréhensible, c’est véritablement incompréhensible. Il se contente de passer à la suite de l’ordre du jour. (...) Notre crédibilité est dans la balance. Cette lumière, ce n’est pas à nous de la faire. Si j’ai bien compris, le pape désigne le cléricalisme comme cause principale. C’est sans doute vrai pour partie, mais pour une très grande partie, il faut chercher ailleurs. »

Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Pro Liturgia, 24 & 25 septembre 2018)

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>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
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GChevalier
« C'est parfait, mon cher Bolivar !
Continuons donc notre tintamarre !
- Très bien, mon cher Mendoza,
Ou Margallón, comme tu voudras,
Puisque nous sommes des francs-maçons,
Il faut que nous continuions
À bien amuser la galerie
Avec nos forfanteries.
Montfort AJPM
- Et moi aussi, n'est-ce pas ?
- Bien sûr puisque tu es avec moi !
Tu fais mine de m'interviewer,
Mais tout cela, c'est pour rigoler !
C'est juste une affaire de style
Pour amuser les imbéciles.
C'est ti pas vrai ce que je dis ? »
Et aux éclats tous les deux rient.
AJPM
Les âmes du Purgatoire reçoivent plus de soulagement d'une de nos actions faite avec une grande union à Jésus que d'une prière vocale à la va-vite ;
Tout ça, grommelle Antéchrist, de la foutaise !